Étiquette : cholestérol
Une équipe de l’Institut Taub de l’Université Columbia vient de découvrir que le bon cholestérol diminuerait le risque de développer la maladie d’Alzheimer.
Les chercheurs en question ont analysé un échantillon sanguin de 1 130 personnes âgées de 65 ans et plus. Les participants ne présentaient aucun antécédent de maladies cognitives ou de démence.
Ceux qui avaient les plus hauts taux de bon cholestérol (lipoprotéines de haute densité ou HDL) couraient 60 % moins de risques de développer l’Alzheimer. Ce taux de risque est indépendant de la prise de médicaments.
Les présentes découvertes, parues dans Archives of Neurology, ouvrent une nouvelle voie à la compréhension et à la prévention de cette maladie que l’on ne connaît que très peu encore.
En ce moment, 120 000 Québécois et Québécoises sont atteints de la maladie d’Alzheimer. On prévoit que d’ici une génération, 250 000 en souffriront.
Rappelons que les HDL redirigent le cholestérol de l’organisme au foie, où il est détruit, tandis que les LDL (lipoprotéines de basse densité ou mauvais cholestérol) font l’inverse.
Les enfants qui ont un indice de masse corporelle trop élevé entre 9 et 12 ans ont plus de risques d’avoir une haute pression sanguine, un haut taux d’insuline et un haut taux de cholestérol dès l’adolescence.
Tous ces symptômes augmentent le risque de problèmes cardiaques dès l’âge de 15 ou 16 ans, nous apprend le British Medical Journal.
Ces résultats proviennent d’une étude de l’Université de Bristol, en Angleterre, ayant porté sur 5 235 enfants. On a mesuré le tour de taille, le taux de gras et l’indice de masse corporelle des enfants à l’étude lorsqu’ils avaient de 9 à 12 ans.
En ayant éliminé tous les autres facteurs pouvant influer sur les résultats, on a pu conclure qu’un IMC élevé était en lien direct avec plusieurs symptômes graves des maladies du coeur.
Étonnamment, l’IMC était plus en lien avec ces problèmes que le tour de taille et le taux de gras des enfants.