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Les coupables de vos maux de dos pourraient bien être vos pieds

Plusieurs raisons peuvent expliquer de vilaines douleurs au dos, mais l’une d’entre elles est aussi fréquente que sous-estimée, selon ce que rapporte Top Santé.

C’est que plusieurs cas de maux au dos s’expliqueraient par un problème quelques pouces plus bas, soit au niveau des pieds.

En effet, selon plusieurs podiatres, leur spécialité (les pieds) peut largement s’associer à celle des chiropraticiens, dans certains cas, pour ainsi contribuer à la guérison de féroces maux de dos.

« Les pieds sont les fondations du corps. Si elles ne sont pas solides, l’édifice est bancal », lance Muriel Montenvert, podiatre.

Ainsi, lorsqu’un patient éprouve sans le savoir une difficulté à marcher ou un problème quelconque de posture lié aux pieds, il peut progressivement traîner et encourager une anomalie qui mènera éventuellement à un sérieux mal de dos.

On suggère donc de consulter un spécialiste afin de savoir si quelque chose cloche avec vos pieds, voire vos chaussures. Plusieurs options s’offrent aux patients, comme des semelles ou des talons orthopédiques, par exemple.

« La douleur dorsale disparaît en général au bout de trois à six semaines », affirme Jean-Luc Hamelin, qui souhaite lui aussi encourager les patients aux prises avec des maux de dos chroniques à consulter un podiatre.

ieurs raisons peuvent expliquer de vilaines douleurs au dos, mais l’une d’entre elles est aussi fréquente que sous-estimée, selon ce que rapporte Top Santé.

C’est que plusieurs cas de maux au dos s’expliqueraient par un problème quelques pouces plus bas, soit au niveau des pieds.

En effet, selon plusieurs podiatres, leur spécialité (les pieds) peut largement s’associer à celle des chiropraticiens, dans certains cas, pour ainsi contribuer à la guérison de féroces maux de dos.

« Les pieds sont les fondations du corps. Si elles ne sont pas solides, l’édifice est bancal », lance Muriel Montenvert, podiatre.

Ainsi, lorsqu’un patient éprouve sans le savoir une difficulté à marcher ou un problème quelconque de posture lié aux pieds, il peut progressivement traîner et encourager une anomalie qui mènera éventuellement à un sérieux mal de dos.

On suggère donc de consulter un spécialiste afin de savoir si quelque chose cloche avec vos pieds, voire vos chaussures. Plusieurs options s’offrent aux patients, comme des semelles ou des talons orthopédiques, par exemple.

« La douleur dorsale disparaît en général au bout de trois à six semaines », affirme Jean-Luc Hamelin, qui souhaite lui aussi encourager les patients aux prises avec des maux de dos chroniques à consulter un podiatre.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Percée importante dans la compréhension et le traitement de la fatigue chronique

Beaucoup de gens sont affectés par le syndrome de la fatigue chronique, sans toutefois obtenir la compréhension ou les soins requis.

Et pour cause, car le phénomène demeure somme toute mystérieux, malgré sa reconnaissance par le milieu médical.

Ce dernier, par l’entremise d’une équipe de chercheurs basée à l’Université de Floride du Sud, vient de découvrir un virus qui pourrait expliquer certains cas de fatigue chronique.

Il s’agit du HHV-6, herpèsvirus humain, qui, contrairement à son nom, ne semble pas que relatif à la fameuse infection transmissible sexuellement.

En fait, selon Santé Log, le HHV-6 est si commun que près de la totalité des humains le porterait dans son organisme. La différence étant que lorsqu’un individu présente un système immunitaire en santé, le HHV-6 demeure « invisible ».

Cependant, chez les personnes présentant un système immunitaire déficient, le virus peut se présenter sous forme de symptômes associés à la fatigue chronique.

Un traitement antiviral pourrait donc être étudié et mis à l’essai afin de cibler précisément les cas de SFC, toujours selon l’équipe de chercheurs américains.

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Le café à la rescousse du foie

Santé Log rapporte une nouvelle étude sur le café, qui dévoile un autre bienfait de la boisson réconfortante. Manifestement, les années noires de la caféine sont révolues, et le café est presque unanimement conseillé par les divers spécialistes dans le domaine.

Cette fois, on vante les mérites du café pour ses effets protecteurs sur le foie, qui bénéficierait d’une baisse des risques de maladie grave chez les consommateurs de la boisson chaude.

En provenance de la fameuse clinique Mayo, l’étude a été présentée à la Semaine des maladies digestives, qui se déroulait cette fois à Orlando.

Elle fait état de réduction des risques de maladies reliées à la cirrhose, à l’insuffisance hépatique ainsi qu’au cancer.

Les spécialistes en tête de l’étude, à commencer par le Dr Craig Lambert, croient qu’il s’agit d’une découverte importante, puisqu’ils sont constamment à la recherche d’outils pour prévenir les maladies du foie.

La découverte des bienfaits d’un geste aussi simple et répandu que boire du café est donc une bénédiction pour ces chercheurs.

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Les États-Unis proposent le dépistage systématique du cancer du poumon chez les fumeurs chroniques

Certains spécialistes américains croient qu’il serait bénéfique de faire du dépistage systématique au sein de la population qui affiche des antécédents de tabagisme chronique.

On désigne cette portion de gens, aussi appelés « gros fumeurs », par ceux qui ont fumé plus de 20 cigarettes par jour durant des décennies.

Ainsi, l’American College of Chest Physicians propose de faire un travail accru de prévention auprès des gens de 55 à 74 ans qui ont ce genre d’historique.

On croit du côté de ces chercheurs, comme décrit dans leur étude rapportée par Santé Log, qu’on pourrait faire baisser les décès dus au cancer du poumon de 20 % chez ce groupe cible.

On aimerait implanter de telles mesures pour tout le monde, mais les coûts astronomiques d’une telle manœuvre ne sont pas à négliger. En ciblant les personnes les plus à risque statistiquement, les spécialistes de l’American College of Chest Physicians croient qu’il s’agit d’un très bon début.

Les États-Unis mettront-ils sur pied un tel programme et, surtout, d’autres nations suivront-elles l’exemple?

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Combattre la maladie par la nourriture

Êtes-vous du genre à croire fermement que la nourriture ingérée est capable de protéger de certaines maladies ou encore de favoriser la rémission? Ou croyez-vous que ce genre de raisonnement date des calendes grecques et que les médicaments sont la seule solution aux problèmes de santé ?

Peu importe le camp dans lequel vous logez, vous voudrez sans doute jeter un coup d’œil à cette nouvelle étude sur le sujet, des recherches rapportées par Nutrition News.

Des chercheurs viennent de démontrer que certains aliments, dont la pomme, peuvent non seulement prévenir le développement de certaines maladies, mais aussi en traiter ! Ce serait vrai pour certains cas de diabètes, de haute pression, et même de cancer…

Par exemple, la pomme renferme certains éléments extrêmement bénéfiques pour la santé, tels que les oligosaccharides, qui permettraient de tuer littéralement certaines cellules cancéreuses.

Ces théories seraient notamment observables en ce qui concerne le cancer du côlon, toujours selon les chercheurs.

Donc, il appert que les aliments peuvent véritablement influencer notre état de santé et même contribuer à la guérison, et qu’une pomme par jour ne fait pas qu’éloigner le docteur, mais aussi certaines maladies graves.

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Les migraines chroniques démystifiées grâce à la génétique

Il aura fallu qu’une chercheuse soit elle-même victime de migraines chroniques pour qu’elle se penche sur le dossier de façon sérieuse, et qu’on découvre finalement une explication logique et rationnelle à ce mal qui afflige tant de gens.

Il s’agit d’Emily Bates, explique Top Santé, qui fera certes figure d’héroïne pour toutes les personnes qui subissent de violents maux de tête fréquents.

Basée à l’Université de l’Utah, Bates aurait réussi à cerner le gène fautif et responsable de la migraine, le CKIdelta.

Le CKIdelta joue un rôle primordial pour le cerveau, mais aussi sur le déclenchement des migraines. Bien qu’il ne s’agisse que du début de la solution, la chercheuse américaine a bon espoir de pouvoir aider les gens qui sont dans sa condition dans un avenir rapproché.

« J’ai souffert de cette forme de migraine particulièrement invalidante depuis que je suis petite : des maux de tête qui s’accompagnent de nausées, de troubles de la vision et qui peuvent me laisser sur la touche pendant une journée. La découverte de ce gène pourrait ouvrir la voie à de nouvelles recherches pour trouver des traitements capables de changer le quotidien des personnes qui souffrent de migraine », résume Emily Bates.

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La vitamine E serait une arme redoutable pour lutter contre les troubles liés à l’obésité

L’obésité est un problème en soi et peut occasionner plusieurs problèmes, mais d’autres troubles de la santé peuvent survenir à cause d’une masse corporelle trop élevée.

Notamment des symptômes et maladies que l’on n’associait pas toujours à l’obésité il n’y a pas si longtemps, mais qui sont pourtant encouragés par cet état de fait, par exemple certaines maladies du rein.

Voilà que des spécialistes de la Case Western Reserve University croient pouvoir démontrer que plusieurs problèmes de santé liés à l’obésité, à commencer par ces problèmes aux reins, pourraient être contrés ou prévenus par une consommation accrue de vitamine E.

Cette dernière serait donc très efficace en prévention de plusieurs maladies, rapporte Science Daily, et les chercheurs se réjouissent de ce constat.

La vitamine E peut être retrouvée de façon naturelle dans les huiles végétales, les noix et les grains, les légumes à feuilles vertes ainsi que dans plusieurs céréales fortifiées.

Les conclusions officielles de ces chercheurs américains doivent être dévoilées aujourd’hui (24 avril) lors du congrès annuel de l’American Society for Biochemistry and Molecular Biology.

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L’ostéopathie à la rescousse des maux de femmes enceintes

C’est sur le blogue de Santé Log que Frédérique Le Gall, sage-femme de profession, livre son témoignage pour encourager ses consœurs à parfaire leur formation.

Il est reconnu de par le monde que les douleurs chez les femmes enceintes passent presque toujours par des sciatalgies plus ou moins chroniques et douloureuses, en plus des lombalgies et autres maux pour lesquels la médecine n’a pas de traitement.

Frédérique Le Gall en avait assez de répondre à ses patientes qu’elles devaient se faire prescrire des médicaments après l’accouchement, ou encore d’être impuissante face à leur douleur lors de la grossesse.

Elle s’était elle-même fait traiter en ostéopathie et avait obtenu une amélioration immédiate de sa condition. En tombant enceinte et en retournant chez l’ostéopathe, elle a réalisé qu’elle avait ainsi réussi à passer sa grossesse sans ces douleurs invalidantes. Cela l’a convaincue de suivre la formation à l’IOPS (Institut Ostéopathique des Professionnels de Santé).

De nos jours, il y a de plus en plus d’ouverture chez les spécialistes de la santé, tant chez les médecins que les infirmiers. Ainsi, si vous souffrez de ces douleurs, il ne faut pas hésiter à demander une recommandation du médecin pour aller voir un ostéopathe.

Ces « médecins » alternatifs sont en mesure de traiter efficacement les maux qui surviennent à cause des étirements ligamentaires et de la pression effectuée sur la symphyse pubienne lorsque vous êtes enceinte.

Les études ostéopathiques nécessitent en moyenne 6 ans d’études très intensives et se spécialisent également en gynécologie. Renseignez-vous, vous éviterez ainsi de souffrir inutilement.

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Nouvel espoir de traitement du syndrome post-traumatique

Le syndrome post-traumatique et ses dérivés font l’objet de beaucoup d’études et de recherches, alors que de plus en de plus gens souffrent de ce problème psychologique.

Voilà qu’un nouveau traitement pourrait être accessible, rapporte Top Santé. Il s’agit d’un médicament qui chasserait les mauvais souvenirs, une solution qui semble trop facile, mais qui s’avère bien réelle.

Ce sont des chercheurs du laboratoire de stress traumatique basé à Toulouse qui ont développé la « pilule magique », qui doit maintenant entamer une phase d’essais cliniques plus poussés.

Le traitement a déjà été testé sur des patients, notamment dans plusieurs grandes villes du monde comme Boston, Montréal et, bien sûr, Toulouse.

« Avec une séance de traitement au propranolol, on avait montré une diminution de la réactivité physiologique aux souvenirs (transpiration, activité cardiaque…). C’était une première piste, un coup de génie », s’enorgueillit Philippe Birmes, directeur du laboratoire de Toulouse.

On attend avec impatience la suite des choses concernant le propranolol, qui promet une « guérison » en six séances seulement!

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L’insomnie pourrait mener droit au suicide

C’est une nouvelle qui frappe, alors que Santé Log rapporte une étude de la Georgia Health Sciences University qui trace un lien possible entre l’insomnie et le suicide.

On parle plus spécifiquement d’un point de non-retour où la personne qui souffre d’insomnie perd carrément l’espoir de s’endormir un jour… et pourrait alors entrevoir que mettre fin à ses jours s’avère une « solution » efficace.

Publiée dans le journal Clinical Sleep Medicine, l’étude analyse les réactions en chaîne que peut causer une insomnie chronique.

« Il s’avère que l’insomnie peut conduire à un type très spécifique de désespoir puissant prédicateur de suicide », conclut le Dr W. Vaughn McCall, du département de psychiatrie de l’Université de Géorgie.

C’est après avoir analysé les cas de 50 patients âgés de 20 à 80 ans, souffrant de problèmes connexes à la dépression en milieu hospitalier, que les chercheurs sont arrivés à ce constat. On a ensuite établi des liens avec les problèmes de sommeil des sujets, qui peuvent finir par causer un effet de spirale.

Ceux qui commençaient à douter sérieusement de trouver le sommeil un jour démontraient des symptômes suicidaires alarmants.

Bien qu’il reste encore des preuves à faire pour parler de cause à effet, les chercheurs semblent convaincus de ce qu’ils avancent.