Un film qui, pour une fois, propose autre chose qu’un « Noël tout blanc » (yes, we went there).
Avec en tête d’affiche Forest Whitaker, et Madalen Mills, Jingle Jangle: A Christmas Journey met de l’avant des protagonistes BIPOCs* dans une toute nouvelle aventure du temps de fêtes.
*BIPOC: Black, indigenous and people of color
Dans cette production de Netflix, nous sommes transportés dans un monde imaginaire qui prend vie dans un conte, raconté par (ce qui semble être) une grand-mère à ses petits-enfants.
On y retrouve Madalen Mills dans le rôle de la petite-fille de Jeronicus Jangle (Forest Whitaker), un inventeur et créateur de jouets qui se retrouve dans le pétrin alors qu’il fait face un ultimatum imposé par l’un de ses investisseurs: rembourser ses dettes ou trouver une incroyable invention qui révolutionnera le monde des jouets.
Tout au long de l’histoire, nous suivons les attachants personnages au fil de leurs aventures et embûches; le tout dans un univers fantaisiste, aux couleurs du temps des fêtes.
Le synopsis coche définitivement toutes les cases du « feel good movie », et on a bien hâte de pouvoir visionner le long-métrage, qui sera disponible sur la plateforme de visionnement en continu dès le 13 novembre 2020.
Alors qu’il y a à peine quelques jours on annonçait que l’hilarant film de 2006 Borat: leçons culturelles sur l’Amérique pour profit glorieuse nation Kazakhstan aurait une suite qui devait paraître d’ici les élections présidentielles américaines du 3 novembre 2020, on découvrait aujourd’hui la bande-annonce officielle de ce deuxième film.
C’est Amazon Prime, via leur chaîne YouTube (Amazon Prime Video) qui partageait le premier aperçu du nouveau film, Borat Subsequent Moviefilm: Delivery of Prodigious Bribe to American Regime for Make Benefit Once Glorious Nation of Kazakhstan (que l’on traduit librement comme Borat long-métrage suite: Livraison d’un pot-de-vin prodigieux à régime américain pour profit jadis glorieuse nation Kazakhstan), hier, 1er octobre.
La chaîne en ligne de visionnement sur demande diffusera le long-métrage à compter du 23 octobre 2020, juste à temps pour faire un clin d’oeil aux imminentes élections présidentielles aux États-Unis.
Une fois de plus, dans ce film, on retrouve Borat (Sacha Baron Cohen), un journaliste de la télévision kazakh et nigaud de première, qui se retrouve cette fois-ci aux États-Unis en temps de pandémie mondiale. On le voit même enfiler dans la bande-annonce un costume de Donald Trump, ce qui laisse présager que Cohen n’y est pas allé de main morte pour faire de cette satyre humoristique un commentaire fort sur sa vision de « l’Amérique de Trump ».
Il va sans dire que l’immense production en « live action » du remake du film Le Roi Lion de 2019 a été un succès rugissant (ha-ha-ha).
Avec son incroyable distribution, dans laquelle on retrouvait entre autres les voix de Beyoncé, Donald Glover, Seth Rogen, James Earl Jones, Chiwetel Ejiofor, Alfre Woodard et Eric Andre, et ses animations CGI hyper réalistes d’animaux vivants dans de superbes forêts et la toundra, le long-métrage avait tout pour impressionner.
Malgré que le film n’ait pas reçu les commentaires escomptés auprès des critiques, le classique d’enfance des tous les « nineties kids » a connu un succès au box-office, et a amassé plus de 1,6 milliard à l’international; devenant ainsi le film d’animation le plus rentable de tous les temps. Il a également reçu quatre nominations aux Grammy’s (Grammy Awards), notamment pour la meilleure performance pop solo, la meilleure bande-son de compilation pour les médias visuels, la meilleure bande-son pour les médias visuels et la meilleure chanson écrite.
Et la franchise Le Roi Lion n’a pas fini de croître, puisqu’il a été révélé que le deuxième film est déjà en préparation.
Walt Disney Studios se prépare pour une suite, confirme le média Deadline. Celle-ci sera cette fois réalisée par Barry Jenkins — réalisateur du prestigieux film Moonlight, plusieurs fois récompensé aux Grammy Awards.
Même si peu de détails ont été révélés quant à cette nouvelle production, selon Deadline, ce deuxième remake en version CGI explorera l’histoire d’origine de Mufasa à travers de nombreux flashbacks.
« En aidant ma sœur à élever deux jeunes garçons dans les années 1990, j’ai grandi avec ces personnages », déclarait Jenkins dans un communiqué. « Avoir l’opportunité de travailler avec Disney pour élargir cette magnifique histoire d’amitié, d’amour et d’héritage tout en faisant progresser mon travail de chronique de la vie et de l’âme des gens de la diaspora africaine est un rêve devenu réalité. » Ajoutait-il.
Aucune date de sortie officielle n’a encore été donnée.
La plateforme de visionnement sur demande, Amazon Prime, aurait récemment acheté la suite du film iconique des années 2000, Borat: leçons culturelles sur l’Amérique pour profit glorieuse nation Kazakhstan— une satyre humoristique mettant en vedette et produite parSacha Baron Cohen.
Paru en 2006, le film « politiquement incorrect » à souhait avait été un franc succès et avait même été sélectionné aux Oscars dans la catégorie du meilleur scénario.
Comédie rapidement devenue un classique du cinéma américain, Borat met en scène l’histoire de Borat (Sacha Baron Cohen), un journaliste de la télévision kazakh un peu imbécile heureux, qui est envoyé aux États-Unis pour faire un reportage sur le pays — qu’il admire d’ailleurs énormément. Accompagné de son équipe de documentaire un peu brique à braque, Borat fini par s’intéresser davantage à trouver et épouser Pamela Anderson qu’à son sujet de reportage initial.
Mais, pour cette suite à paraître en 2020, Baron Cohen s’en prend cette fois à l’Amérique de Trump. Elle fut tournée avec une petite équipe, afin de respecter les restrictions liées à la pandémie de la Covid-19. Selon l’AFP, elle devrait être diffusée avant l’élection présidentielle américaine du 3 novembre.
L’acteur et producteur britannique a aussi figuré dans plusieurs autres comédies du même genre depuis Borat, donc Brüno (2009) et Le Dictateur (2012).
Pour les fans de Dom (Vin Diesel), Letty (Michelle Rodriguez), Tej (Ludacris) et toute la bande de la saga Fast & Furious, vous serez ravis d’apprendre que nous avons enfin des détails croustillants sur le prochain film de la série cinématographique.
Alors qu’on apercevait, à notre plus grande et heureuse surprise, Han (Sung Kang) dans la bande-annonce de F9: The Fast Saga, d’autres rebondissements encore plus étonnants seraient à prévoir.
Selon les dires de l’actrice Michelle Rodriguez, les « rapides et dangereux » s’aventureront dans l’espace lors du film à paraître en avril 2021!
Elle l’aurait accidentellement confirmé lors d’une récente entrevue sur The Jess Cagle Show par Sirius XM.
Alors que Ludacris avait seulement fait allusion à cette possibilité lors d’une récente entrevue, Rodriguez aurait apparemment laissé le secret s’échapper en confirmant « ce à quoi son collègue avait fait allusion ». En effet, lors de son entrevue, lorsqu’on lui a demandé si le personnage de Letty irait rejoindre Ludacris dans l’espace, l’actrice a été prise au dépourvu et a répondu: « Oh non, impossible! Comment avez-vous découvert ça? Vous voyez ce qui se passe? Les gens commencent à parler dans les coulisses, man, quand un film ne sort pas… Et [on] ne l’oublie pas, les choses sortent. Personne n’était censé le savoir! »
Rodriguez a poursuivi en expliquant que son personnage ne se prêterait cependant pas à l’action «zéro-gravité».
L’actrice a également abordé la façon dont la production est récemment devenue plus inclusive envers les femmes et personnages féminins de la saga, notamment suite à l’ajout d’une écrivaine (femme) à l’équipe.
« Je pense que beaucoup […] de ma nécessité d’avoir une écrivaine [dans l’équipe] était juste vraiment plus une question de candeur. Je pense que beaucoup de gars préfèrent toujours toutes les femmes « unidimensionnelles ». Donc, c’est comme si quand Mia [Jordans Brewster] est à l’écran, ils pensent automatiquement: « Oh, c’est la mère de l’enfant avec le personnage de Paul Walker. » Donc, nous [la production] devons nous en tenir aux trucs maternels chaque fois qu’elle parle, ou [encore]: « Oh, regarde, voilà Nathalie [Emmanuel], elle est la jeune créature incroyable et sexy, une nouvelle, alors nous allons toujours avoir les garçons qui la frappent. » Hum, ou comme avec moi: « Oh oui, le personnage de Michelle, Letty. Elle est toujours comme, vous savez, [dominante], en colère et prête à donner des raclées. Alors, mettons-la simplement en colère chaque fois qu’elle est à l’écran », et ça ne marche pas. Ce n’est pas naturel. Et je pense [qu’on avait] besoin une voix féminine pour comprendre ça. » Explique Michelle.
Finalement, les fans devront attendre un certain temps avant de voir comment Dominic Toretto s’en sort dans la stratosphère, puisque la sortie en salles de cinéma de F9: The Fast Saga a été reportée au 2 avril 2021 en raison de la pandémie de Covid-19.
La Force a de nouveau opéré. Star Wars a dominé tous les autres films présentés en Amérique du Nord.
Pour souligner la réouverture des cinémas depuis l’arrêt de leurs activités en raison de la pandémie, de nombreuses salles de cinéma en Amérique avaient programmé le week-end dernier des classiques du cinéma.
Outre Star Wars: The Empire Strikes Back, certaines salles avaient ramené les films Jaws, Ghostbusters ou Jurassic Park. Une initiative appréciée des cinéphiles qui permettait de voir une dernière fois ces films sur grand écran.
Du lot, c’est le second film paru de la saga Star Wars qui s’est imposé.
Autre phénomène, avec cette première position, c’est la 45e fois qu’un film de Star Wars se classe bon premier en tête du box-office lors d’un week-end en 40 ans.
Star Wars: The Empire Strikes Back, met en vedette Mark Hamill, Carrie Fisher, Harrison Ford et Billy Dee Williams. Il est considéré par plusieurs comme le meilleur film de la série.
Le propriétaire actuel de la franchise Star Wars, Disney, s’apprête à donner un nouveau souffle à la série de films. En février dernier, la multinationale révélait qu’elle allait lancer d’autres films se déroulant cette fois avant les films produits par Lucasfilms. Le premier film de cette nouvelle saga se nommant Star Wars: The High Republic.
La série de films Star Wars a généré à ce jour des revenus aux guichets dépassant les 10,3 milliards de dollars (US).
Le site spécialisé The Wrap est parvenu à cette conclusion en dénombrant tous les gros mots prononcés par les acteurs au cours de leur carrière.
Jonah Hill devance dans ce drôle de palmarès le vétéran acteur Samuel L. Jackson, qui a pourtant tourné beaucoup plus de films.
La vedette de 36 ans a tenu à remercier sur Instagram les personnes qui ont placé ces gros mots dans sa bouche.
«J’ai tellement de personnes à remercier. Martin Scorsese pour m’avoir poussé au-delà de la limite. Et bien sûr, le grand Samuel L. Jackson, humblement», écrit l’acteur.
Il est vrai que Jonah Hill doit une fière chandelle au cinéaste Martin Scorsese et à son film The Wolf of Wall Streetparu en 2013.
Durant les 180 minutes du film, l’acteur prononce pas moins de 715 blasphèmes.
L’infatigable chanteur des Rolling Stones est de la distribution du film «The Burnt Orange Heresy».
Le film réalisé par le cinéaste italien Giuseppe Capotondi raconte l’histoire d’un collectionneur d’arts qui astucieusement convainc un journaliste d’interviewer un artiste afin de lui voler l’une de ses oeuvres.
Outre le vénérable Mick Jagger, The Burnt Orange Heresy met en vedette Donald Sutherland, Claes Bang et Elizabeth Debicki, entre autres.
Pour le rockeur, il s’agit d’un premier retour au 7e art depuis qu’il est apparu dans le film The Man From Elysian Field, paru en 2001.
Si Jagger n’est pas souvent au grand écran, ce n’est pas par manque d’intérêt.
« J’aurais aimé faire plus de films. Vous savez, j’ai un autre emploi. J’ai plusieurs autres boulots en réalité », confit le chanteur à AP.
« J’ai toujours apprécié changer de perspectives. Lorsque je chante sur scène, c’est le plus souvent devant de grandes foules dans de grands espaces. Au cinéma, c’est plus subtil et les gestes sont moins élaborés. Vous devez atténuer vos gestes », conclut la vedette.
Le film The Burnt Orange Heresy prend l’affiche le 27 mars prochain.
Depuis que le «Megxit» est consumé, et que Harry et Meghan Markle ont annoncé qu’ils voulaient «devenir indépendants financièrement» de la couronne britannique, plusieurs experts croient que la Duchesse de Sussex renouera avec son métier d’actrice pour gagner sa vie.
La mère de 38 ans a certainement une valeur importante pour un studio de cinéma à la recherche d’une vedette pour vendre un film.
Les preneurs aux livres Paddy Power acceptent maintenant les paris sur le premier rôle que Meghan Markle choisira pour effectuer son retour au travail.
Selon la maison anglaise, la duchesse optera pour un rôle de superhéros au grand écran. Ainsi, ils croient que c’est dans la peau du personnage Catwoman que Meghan Markle a le plus de chance, 2/1, de revenir au cinéma. Dans le passé, ce rôle a déjà été interprété entre autres par Anne Hathaway, Halle Berry, Michelle Pfeiffer et Eartha Kitt.
Au second rang des prédictions, on retrouve deux personnages fort connus. À 4/1 se retrouvent Wonder Woman et la Batgirl.
À 8/1, on retrouve le personnage de Jean Grey de la série de films X-Men.
À 10/1, se sont plutôt les personnages de Black Widow, Supergirl et Storm de X-Men. Suivent ensuite Vixen (14/1), Misty Knight (16/1), et Wasp (20/1).
Miser sur le fait que Meghan Markle ne reviendra pas au cinéma en 2020 vaut une cote de 8/1 aux parieurs qui croient que la duchesse poursuivra ses activités de philanthropie.
Un nouveau pas vient d’être franchi dans l’usurpation de la personnalité.
Depuis vendredi dernier, l’application chinoise Zao fait un malheur sur Internet et est devenue virale.
Le fonctionnement est simple. Vous téléchargez une image de votre visage dans l’application, vous choisissez un film ou une série télé dans lequel vous aimeriez être la vedette, et l’application se charge d’intégrer votre visage à la place de celui du personnage.
Alors que plusieurs trouvent l’application divertissante, d’autres s’inquiètent du fait qu’elle repousse encore plus loin le droit à la protection de la vie privée.
Le problème, révèle Bloomberg, c’est qu’en acceptant d’utiliser Zao, vous octroyez aux développeurs les droits irrévocables, permanents, transférables et de revente de votre visage, et ce gratuitement.
Certes, l’application est amusante, mais lorsqu’on lit les petits caractères (que peu de gens lisent), on constate qu’il peut en coûter très cher à long terme de se laisser charmer par Zao.