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Nouvelle piste de solution pour traiter l’insomnie

Top Santé rapporte une découverte prometteuse de la part de chercheurs en matière de traitement de l’insomnie et des troubles liés au rythme circadien, aussi appelé l’horloge biologique.

C’est justement l’horloge biologique qui serait en cause dans plusieurs cas d’insomnie chronique, et des chercheurs britanniques de l’University College London, en compagnie de collègues de l’Université Queen Mary, semblent avoir déniché une piste de solution qui pourrait contribuer à enrayer le phénomène.

Les spécialistes ont utilisé un principe de traitement par vibrations sur des mouches, afin de manipuler le rythme circadien de ces sujets hors du commun.

« L’horloge biologique est réglée, chez la mouche, non seulement par le cycle quotidien de la lumière et de la température, mais aussi par des stimuli mécaniques qui excitent des récepteurs sensoriels dans le corps », explique d’abord le Dr Joerg Albert, directeur de la recherche et auteur de l’étude.

« Nos expérimentations offrent une nouvelle piste pour régler l’horloge biologique qui peut être utile pour le traitement de certaines pathologies liées à un dérèglement du rythme circadien comme l’insomnie, la dépression ou les troubles bipolaires », résume ensuite le chercheur et collègue du Dr Albert pour cette étude, Ralf Stanewsky.

Publiées dans le magazine Science, les conclusions de l’étude parlent d’un véritable impact sur le rythme circadien de la mouche à la suite d’une stimulation par vibrations de douze heures, ce qui pourrait paver la voie à un traitement expérimental du même genre chez l’homme.

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Les différents impacts du sport selon l’heure de la journée

On le sait, il faut se mettre au sport, à l’activité physique, et mener une vie active. Les différentes options en matière d’exercice sont nombreuses et permettent différents changements ou impacts sur le corps, mais saviez-vous que le moment de la journée que vous choisirez pour pratiquer votre activité physique préférée aurait lui aussi un impact direct sur le type de résultats obtenus?

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, en se basant sur quelques études réalisées sur le sujet, notamment de l’Appalachian State University en Caroline du Nord, de l’Université de Californie et de l’Université de Chicago.

Ainsi, on apprend que le meilleur moment pour perdre du poids grâce au sport serait le matin, très tôt, entre 6 h et 8 h. On attribue cet effet sur le poids au niveau élevé de cortisone observable le matin, et qui permet de brûler graisse et calories plus aisément.

L’activité physique en après-midi aurait plutôt un impact biologique sur le rythme circadien, et permettrait davantage de lutter et prévenir plusieurs maladies et troubles de l’humeur.

Pour terminer, ceux qui choisissent de pratiquer une activité physique le soir, soit entre 17 h et 19 h, verront leurs niveaux de stress et d’anxiété diminuer grandement, en plus d’afficher de meilleures performances qu’à tout autre moment de la journée.

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Les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein

Il s’agit d’un lien ou d’une cause à effet des plus surprenants et difficile à comprendre, mais il appert que les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein, selon Santé Log.

C’est précisément ce qui ressort d’une étude canadienne sur le sujet, effectuée auprès de près de 3000 femmes possédant différents bilans et statuts de santé.

Pour les chercheurs du Queen’s Cancer Research Institute et de l’Université de Colombie-Britannique en tête de l’étude, le fait de travailler un quart de nuit sur une longue période de temps « brise » ce qu’on appelle maintenant le rythme ou le cycle circadien.

Ce dernier, basé sur les périodes de la journée, commence de plus en plus à être pointé du doigt pour son importance dans l’évolution d’une personne et des événements qui ponctueront sa vie.

Dans le cas qui nous concerne, le fait pour une femme d’être à contresens de ce qui se veut « normal » en termes d’heures de travail, soit de nuit plutôt que de jour, signifierait un risque accru de cancer du sein.

Une partie de l’explication résiderait dans les changements hormonaux observables chez les femmes qui travaillent dans un quart de 3 h à 8 h, par exemple.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.