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L’art contemporain investit les jardins de la Cité de la Céramique à Sèvres

Avec le concours de l’association de galeries d’art contemporain Galeries Mode d’Emploi, la Cité de la Céramique, à Sèvres (Hauts-de-Seine) exposera une trentaine d’œuvres dans ses quatre hectares de jardins jusqu’au 21 septembre 2014.

Parmi les œuvres exposées, le public pourra contempler le ballon lune de Bruno Peinado de la galerie Loevenbruck ou encore le rouge à lèvre en chêne bicentenaire de Vincent Olinet de la galerie Laurent Godin. Un totem de bois qui fait écho à la colonne en grès de Sèvres d’Elmar Trendwalker.

L’association GME réunit depuis 20 ans 63 galeries parisiennes. Parmi elles, des galeries internationales comme Almine Rech ou Xippas.

L’exposition est gratuite et ouverte au public de 10 h à 18 h.

Sèvres Outdoors 2014, jusqu’au 21 septembre 2014 à la Cité de la Céramique de Sèvres, 2 place de la Manufacture, 92310 Sèvres

Renseignements : www.sevresoutdoors2014.com

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Une Cité de la gastronomie verra le jour à Paris-Rungis en 2020

La future Cité de la gastronomie à Rungis, en banlieue parisienne, devrait voir le jour dans six ans pour un coût anticipé d’au moins 60 à 70 millions d’euros, a affirmé Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d’Île-de-France.

Une mission de préfiguration doit être mise en place dans les semaines qui viennent « afin de définir, dans moins d’un an, de quoi sera composée cette cité », a-t-il affirmé à l’AFP.

« Il y aura certainement une école de formation à l’excellence culinaire, il y aura un lieu d’exposition, il y aura bien sûr des lieux de restauration » et un centre multimédia, a-t-il avancé.

Le site, appelé aussi Rungis-Orly, a été sélectionné par le gouvernement en juin, avec Dijon et Tours, comme un des trois membres d’un réseau de Cités de la gastronomie pour promouvoir la culture alimentaire et le patrimoine gastronomique, distingué en 2010 par l’UNESCO qui a inscrit le « repas gastronomique des Français » au patrimoine de l’humanité.

Le mois dernier déjà, un premier bâtiment spécifiquement dédié à la gastronomie a été inauguré à Rungis (Val-de-Marne) pour accueillir des entreprises spécialisées, associées au marché de gros de produits frais des halles de Rungis.

Pour ce qui est de la future cité, « tout est à imaginer », dit Jean-Pierre Blat, directeur général du tourisme Paris Île-de-France : « un musée de la gastronomie, des espaces d’affaires, des ateliers créatifs, d’éducation et de formation ».

On visera également à « avoir un lycée international de la restauration à Paris-Rungis comme on a le lycée international de l’hôtellerie à Lausanne », ajoute M. Blat.

La cité sera « un lieu de promotion de l’histoire de la gastronomie et de la lutte contre la malbouffe », selon le responsable du tourisme pour qui le secteur sera particulièrement générateur d’emplois.

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Une Cité de la gastronomie verra le jour à Paris-Rungis en 2020

La future Cité de la gastronomie à Rungis, en banlieue parisienne, devrait voir le jour dans six ans pour un coût anticipé d’au moins 60 à 70 millions d’euros, a affirmé Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d’Île-de-France.

Une mission de préfiguration doit être mise en place dans les semaines qui viennent « afin de définir, dans moins d’un an, de quoi sera composée cette cité », a-t-il affirmé à l’AFP.

« Il y aura certainement une école de formation à l’excellence culinaire, il y aura un lieu d’exposition, il y aura bien sûr des lieux de restauration » et un centre multimédia, a-t-il avancé.

Le site, appelé aussi Rungis-Orly, a été sélectionné par le gouvernement en juin, avec Dijon et Tours, comme un des trois membres d’un réseau de Cités de la gastronomie pour promouvoir la culture alimentaire et le patrimoine gastronomique, distingué en 2010 par l’UNESCO qui a inscrit le « repas gastronomique des Français » au patrimoine de l’humanité.

Le mois dernier déjà, un premier bâtiment spécifiquement dédié à la gastronomie a été inauguré à Rungis (Val-de-Marne) pour accueillir des entreprises spécialisées, associées au marché de gros de produits frais des halles de Rungis.

Pour ce qui est de la future cité, « tout est à imaginer », dit Jean-Pierre Blat, directeur général du tourisme Paris Île-de-France : « un musée de la gastronomie, des espaces d’affaires, des ateliers créatifs, d’éducation et de formation ».

On visera également à « avoir un lycée international de la restauration à Paris-Rungis comme on a le lycée international de l’hôtellerie à Lausanne », ajoute M. Blat.

La cité sera « un lieu de promotion de l’histoire de la gastronomie et de la lutte contre la malbouffe », selon le responsable du tourisme pour qui le secteur sera particulièrement générateur d’emplois.

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Le Louvre-Lens fait renaître la cité étrusque de Cerveteri

Le musée du Louvre-Lens s’intéresse à l’art étrusque, notamment à la cité antique de Cerveteri, dont le rayonnement dura plusieurs siècles avant qu’elle ne tomber sous la coupe de Rome en 273 av. J.-C.

Plus de 400 objets (vases peints, coupes, amphores, sarcophages…) sont exposés sur 1800 m2 pour Les Étrusques et la Méditerranée. La cité de Cerveteri. « On a un espace très ouvert, on circule très librement », se félicite Laurent Haumesser, conservateur en chef du Département des antiquités grecques, étrusques et romaines (Dager) du Louvre.

Cerveteri a été redécouverte au XIXe siècle, mais les fouilles ont continué aux XXe et XXIe siècles, et certains objets exposés ont été sortis de terre l’année dernière.

La plupart des vases dans les vitrines de la galerie sont extrêmement bien conservés. « Il y a un état de conservation qui est assez satisfaisant. Tout ce qui relève de l’art funéraire est privilégié puisque les vases sont déposés dans la tombe qui agit comme une sorte de conservatoire », souligne Laurent Haumesser.

« Et pour toutes les pièces qu’on présente il y a des décennies de travail sur la conservation et la restauration. L’emblème, c’est vraiment le sarcophage des Époux », qui date du VIe siècle av. J.-C., ajoute-t-il. Ce sarcophage en terre cuite, représentant un couple allongé, est l’une des pièces majeures de l’exposition.

Le choix chronologique pour l’exposition des oeuvres, principalement du IXe au Ier siècle av. J.-C. « est apparu comme le plus clair pour raconter l’histoire d’une cité. Mais il n’empêche pas une présentation thématique », explique Françoise Gaultier, directrice par intérim du Dager.

« C’est une civilisation qui est un peu absente des manuels scolaires », admet M. Haumesser. Avant d’assurer : « C’est une de ces cultures centrales pour comprendre la Méditerranée antique, il ne faut pas réduire la Méditerranée à Rome et aux Grecs ».

« Cerveteri a joué un rôle particulier comme passeur entre l’Orient, le Proche-Orient et l’Occident. C’était une cité très accueillante, très ouverte aux influences étrangères. Elle a contribué au développement de nos civilisations », renchérit Mme Gaultier.

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À Bordeaux, le chantier de la Cité des civilisations du vin est lancé

La construction du bâtiment abritant le futur centre culturel et touristique dédié au vin vient d’être lancée dans la capitale girondine, sur les bords de Garonne, dans le quartier en développement des Bassins à flots.

L’ambitieux projet dévoilé en 2011 par Alain Juppé, maire de Bordeaux, entre dans sa phase de concrétisation. L’édifice en forme de spirale, un bâtiment « très technique » souligne un communiqué, demandera près de deux ans et demi de travaux, jusqu’en mars 2016.

Une quarantaine d’entreprises prendront part à sa construction, nécessitant entre autres 3000 panneaux en aluminium sérigraphié et 900 plaques de verre.

Son architecture audacieuse a été confiée au cabinet français X-Tu associé à l’agence anglaise de scénographie Casson Mann. Construit dans le respect des normes HQE (Haute Qualité Environnementale), le bâtiment de conception bioclimatique devrait s’avérer peu gourmand en énergie.

Le futur centre, dont l’ambition est de devenir un pôle touristique au rayonnement international, mettra en avant les civilisations du vin et les différents vignobles et terroirs du monde à travers un parcours découverte et des espaces de dégustation.

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Exposition originale et unique au Vatican

L’Italie, Rome et la Cité du Vatican sont des destinations merveilleuses pour tous les touristes du monde entier. Les voyageurs ne se font pas prier pour se rendre en ces lieux empreints d’une histoire riche et importante.

Voilà qu’une exposition des plus originales vient s’ajouter à tout cela, selon que raconte Toronto Sun.

Il s’agit d’une exposition qui présente les différents véhicules utilisés par les papes au fil de l’histoire, une véritable manne pour les amateurs d’histoire, de religion ou de véhicules! L’idée est intéressante, d’autant plus que l’on sait que les papes se sont toujours baladés avec panache au fil des ans.

Ainsi, les touristes, voyageurs et curieux pourront admirer des véhicules de toutes les époques, certains datant même de 1825.

L’un des joyaux de l’exposition est une Berlina Di Gran Gala, construite en 1826 pour le pape Leo XII, jadis tirée par six chevaux. Aussi à découvrir, une Bianchi Tipo 15, une Bianchi Tipo 20, une Fiat 525, une Graham Paige 837, une Citroën C6 et la Mercedes 460, une limousine.

La plus récente acquisition de l’exposition est la Fiat 1107 Nuova Campagnola 1980, sans toit, célèbre pour avoir transporté le pape Jean-Paul II lors de la tentative de meurtre désormais historique à son endroit.