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Claude Legault ne pense pas à la pression

Cet automne, Claude Legault sera de la série Un sur deux à TVA, et en janvier, nous pourrons enfin voir la deuxième saison de 19-2 à Radio-Canada.
 
« C’est un retour à la télévision. J’ai refusé beaucoup de choses dans les trois dernières années. Mais là, j’ai choisi deux projets qui m’intéressaient vraiment », dit Claude à BUM Interactif Groupe.
 
Malgré le succès de la première saison de 19-2, Claude confiait ne pas avoir pensé à la pression pour poursuivre l’écriture.
 
« C’est un mauvais moteur, la pression. C’est comme mettre du sable dans ton gaz, ça ne marche pas. On connaît les personnages, la série. Là, ce n’était que de les reprendre où ils étaient et de les faire avancer. On va les mettre de plus en plus en difficulté, mais c’est ça aussi le métier de policier. C’est quand même fascinant d’avoir un métier où tu ne rencontres que des problèmes. On appelle les policiers quand ça va mal, alors ils doivent faire face aux blessés, aux gens en détresse, tristes, en crise, violents. Ils le savent quand ils ont un appel, ils s’en vont vers les problèmes. Ils ne voient que ça toute la journée. »
 
Claude confie que cette série lui a fait voir le métier de policier différemment. « Ils font une belle job, ils sauvent beaucoup de monde. Mais ils ont différents mandats, sauver les gens, attraper les criminels, protéger, réprimer aussi. Ils doivent servir le gouvernement même s’ils ne l’aiment pas et ne sont pas d’accord. On l’a vu avec les manifestations il y a peu de temps. Le gouvernement a pelleté le problème dans la cour des policiers. La majorité a détesté ça. Mais quand on leur enlève leur informe, oui, ils restent des policiers dans l’âme, mais ils sont aussi humains. Quand on les voit à la bière en gang, dans leur vie privée, ce n’est pas évident pour une femme, des enfants ou les amis de composer avec un flic. Certains sont même détestés dans leur propre famille parce qu’ils sont policiers. »
 
Le comédien ajoute qu’ils avaient eu plusieurs témoignages disant que la vision du public envers les policiers avait changé avec la série 19-2.
 
« Par contre, avec les manifestations qui ont été une déchirure sociale, je ne sais pas. Réal (Bossé) disait l’autre jour qu’il nous faudrait 10 ans de 19-2 pour retrouver le capital de sympathie. »
 
Claude, qui est toujours ravi de voir les reprises de Dans une galaxie près de chez vous, nous confiait qu’il aimerait écrire un troisième film.
 
« J’aimerais ça. On a du jus en masse. C’est inépuisable, la science-fiction. Tant que tout le monde est vivant. C’est pour ça que j’ai dit à Didier (Lucien, récemment victime d’une hémorragie cérébrale) de se remettre et de faire attention. Je ne pouvais pas m’imaginer ma vie sans un Didier. J’ai vraiment eu peur. Je ne l’aurais pas accepté », conclut Claude Legault.
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Claude Legault honoré pour sa carrière cinématographique

Après avoir été honoré en étant intronisé au Temple de la renommée de la LNI le 6 juin dernier, voilà que l’Association des propriétaires de cinéma du Québec a aussi honoré Claude Legault le 12 juin.
 
Le comédien a reçu le prix Bobine d’or pour souligner sa contribution à l’industrie du cinéma québécois.
 
Que ce soit avec Dans une galaxie près de chez vous, Les 7 jours du talion, 10 ½, Les trois petits cochons ou encore Les doigts croches, pour ne nommer que ceux-là, Claude Legault s’est taillé une place de choix parmi les têtes d’affiche de notre cinéma.
 
« Il n’y a pas de film dont j’ai honte. Il y en a des moins bons et d’autres qui n’ont pas trouvé leur public, mais je ne regrette rien. Ça ne sert à rien de regretter, et il y a un enseignement à tirer des échecs aussi », a-t-il confié au Journal de Montréal.
 
« J’aimerais également travailler un jour avec Denis Villeneuve, avec Denys Arcand aussi. J’aurais tellement aimé jouer dans un film comme Le Déclin de l’empire américain », ajoute Claude Legault.
 
Lors de cette soirée, le patron des studios Mel’s de Montréal, Michel Trudel, a aussi reçu le prix hommage.
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Claude Legault intronisé au Temple de la renommée de la LNI

Le 6 juin prochain, Claude Legault sera intronisé au Temple de la renommée de la Ligue nationale d’improvisation (LNI). Pour l’occasion, qui marquera aussi le début des festivités du 35e anniversaire de la LNI, une soirée spéciale sera organisée au Stade olympique.

Michel Rivard chantera l’hymne national. Il a lui aussi été intronisé au Temple, alors qu’il a joué dans la LNI de 1980 à 1990.

Un match avec les meilleurs improvisateurs sera disputé entre Laurent Paquin, David Savard, Frédéric Barbusci, Jean-François Aubé, Sophie Caron, Salomé Corbo, Tammy Verge et Anaïs Favron. Édith Cochrane sera entraineuse, et le légendaire Yvan Ponton sera l’arbitre de la soirée.

Éric Salvail fera la mise au jeu.

Le public peut se procurer des billets au cout de 25 $ sur le réseau Admission.

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Sorties de films : L’Empire Bossé

Guy A. Lepage incarne le milliardaire Bernard Bossé. Depuis sept ans, ce dernier est plongé dans un coma végétatif. Sa femme et ses enfants ont décidé qu’ils le débrancheraient des appareils qui le maintiennent en vie, mais son fidèle ami Coco (Claude Legault) s’y oppose.
 
Ce dernier s’enferme dans la chambre d’hôpital avec une équipe qui réalise un reportage sur le parcours de l’homme d’affaires. On y découvre un homme sans morale et magouilleur qui s’est enrichi par différents moyens au détriment de plusieurs personnes.
 
Parmi les autres sorties :
 
21 Jump Street (versions anglaise et française)
Comédie policière réalisée par Phil Lord et Chris Miller avec Jonah Hill, Channing Tatum, Brie Larson, Dave Franco, Ice Cube, Rob Riggle.
 
Jeff, Who Lives at Home (version anglaise)
Comédie dramatique réalisée par Jay Duplass et Mark Duplass avec Jason Segel, Ed Helms, Susan Sarandon, Judy Greer, Rae Dawn Chong, Steve Zissis.
 
Mort subite d’un homme-théâtre
Documentaire réalisé par Jean-Claude Coulbois.
 
Nicostratos le pélican
Comédie dramatique réalisée par Olivier Horlait avec Thibault Le Guellec, Emir Kusturica, François-Xavier Demaison, Jade-Rose Parker, Gennadios Patsis, Valériane de Villeneuve.
 
Payback – Debt and the Shadow Side of Wealth (versions anglaise et sous-titrée en français)
Documentaire réalisé par Jennifer Baichwal.
 
The Slut (version anglaise)
Drame de mœurs réalisé par Hagar Ben-Asher avec Hagar Ben-Asher, Ishai Golan, Icho Avital, Yoav Levi, Tsahi Hanan, Stav Yanai, Daria Forman.
 
Toutes nos envies
Drame réalisé par Philippe Lioret avec Marie Gillain, Vincent Lindon, Amandine Dewasmes, Yannick Renier, Pascale Arbillot, Isabelle Renauld.
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Un plaisir retrouvé pour Claude Legault

C’est Guy A. Lepage qui a convaincu Claude Legault de tourner dans L’Empire Bossé.
 
« J’aimais le scénario et j’avais déjà travaillé avec le réalisateur Claude Desrosiers, mais Guy m’a promis qu’on aurait du plaisir, et cela a été le cas », confiait Claude à BUM Interactif.
 
« J’ai un personnage intéressant. Je lui enlève 50 de QI et je le laisse aller. C’est un beau naïf. J’étais allé en Europe pendant deux mois, où j’ai mangé et bu, alors j’avais décidé de jouer ce personnage un peu bouboule. Je me suis amusé avec ça. En Europe, je me suis vraiment laissé aller. Je suis toujours en contrôle de ce que je fais, je m’entraîne, ça fait dix ans que mon corps ne m’appartient plus. Là, j’ai voulu faire une pause et en profiter. J’ai mangé un peu partout dans la Loire, à Paris, en Normandie, à Bruxelles; j’ai bu aussi », raconte le comédien.
 
Ce n’est qu’après le tournage de L’Empire Bossé que Claude Legault s’est remis à l’entraînement pour perdre le poids qu’il avait gagné. Cela a pris quelques mois.
 
« Durant le tournage, je continuais de manger comme un cochon. Tout ce qui est Kraft, des Kit Kat. Les filles me faisaient des carrés de Rice Krispies, toutes sortes d’affaires. Probablement qu’elles me trouvaient moins craquant, mais très gentil. On voulait me bercer (rires) », ajoute Claude Legault.
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Claude Legault avoue être allé trop loin

Le comédien québécois Claude Legault a présenté des excuses, hier (7 mars), pour les propos controversés qu’il avait tenus afin de soutenir les étudiants qui manifestent contre le gouvernement de Jean Charest dans le conflit de la hausse des frais de scolarité, rapporte le Journal de Montréal.

Legault a donc admis qu’il était allé trop loin lorsqu’il avait déclaré : « Les étudiants ont le droit d’aller jusqu’au bout s’ils ne veulent pas payer plus. S’ils sont fâchés pis qu’ils ont envie de décâlisser des bagnoles à l’envers parce qu’on ne les écoute pas, eh bien qu’ils le fassent. Il faut arrêter d’être passifs. Je leur dis : “Lâchez pas.” Ça ne fera peut-être pas bouger Charest, mais ça va peut-être le faire tomber. »
 
Soulignons que Claude Legault n’est pas le seul artiste québécois à s’être rangé du côté des étudiants dans leurs manifestations.
 
Dimanche dernier, durant le gala de Star Académie, Michel Rivard a laissé savoir aux quelque 2 000 000 de téléspectateurs qu’il appuyait les grévistes en portant le fameux macaron rouge.
 
L’animateur de Tout le monde en parle, Guy A. Lepage a également démontré son appui en tenant un discours assez semblable à celui de Claude Legault. « Ils sont déjà tous énormément endettés. Avec les dettes qu’on a accumulées, ils doivent tous l’équivalent d’une maison à l’État. Pis on voudrait leur câlisser un 35 000 $ de plus?? Je suis contre le fait que les étudiants écopent de nos mauvaises décisions », déclarait-il.
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Claude Legault sème la controverse en encourageant les étudiants

Selon ce que rapporte TVA Nouvelles, de nombreux artistes québécois se sont rangés du côté des étudiants dans leurs manifestations contre le gouvernement de Jean Charest dans le conflit de la hausse des frais de scolarité.

Les quelque 123 000 étudiants qui sont en grève générale illimitée à l’heure actuelle et qui protestent contre la hausse des frais de scolarité sont donc appuyés par de nombreux grands noms du Québec, incluant Michel Rivard, Les Cowboys Fringants, Guy A. Lepage et Claude Legault.
 
Rappelons que dimanche dernier, durant le gala de Star Académie, Michel Rivard a laissé savoir aux quelque 2 000 000 de téléspectateurs qu’il appuyait les grévistes en portant le fameux macaron rouge. Rivard a précisé, par l’entremise de l’attachée de presse des Productions J, Véronica Sylvestre, qu’il était solidaire pour ses deux filles, Adèle et Joséphine.
 
De son côté, le comédien Claude Legault a beaucoup fait jaser aujourd’hui avec le message d’encouragement qu’il a lancé aux grévistes en déclarant : « Les étudiants ont le droit d’aller jusqu’au bout s’ils ne veulent pas payer plus. S’ils sont fâchés pis qu’ils ont envie de décâlisser des bagnoles à l’envers parce qu’on ne les écoute pas, eh bien qu’ils le fassent. Il faut arrêter d’être passifs. Je leur dis : “Lâchez pas.” Ça ne fera peut-être pas bouger Charest, mais ça va peut-être le faire tomber.»
 
L’animateur de Tout le monde en parle,Guy A. Lepage, tient à peu près le même discours, ajoutant : « Ils sont déjà tous énormément endettés. Avec les dettes qu’on a accumulées, ils doivent tous l’équivalent d’une maison à l’État. Pis on voudrait leur câlisser un 35 000 $ de plus?? Je suis contre le fait que les étudiants écopent de nos mauvaises décisions.»
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Un nouveau projet pour Claude Legault

Une nouvelle minisérie intitulée Mon meilleur ami mettra en vedette nul autre que le comédien Claude Legault. Elle sera diffusée dès 2013 sur la chaîne Séries+, rapporte La Presse.

Cette nouvelle série, qui a été écrite par Benoit Chartier et produite par Zone 3, sera réalisée par Francis Leclerc, qui travaille sur les séries de Radio-Canada Apparences et Les rescapés.
 
Mon meilleur ami racontera l’histoire de deux amis, Simon et Alex, qui sont des adeptes d’escalade. L’un d’eux subira un grave accident qui ébranlera fortement leur amitié.
 
L’identité du comédien qui incarnera le deuxième rôle principal n’a pas encore été dévoilée. Le choix n’aurait pas encore été fait.
 
Soulignons que le tournage de la minisérie Mon meilleur ami devrait débuter d’ici quelques semaines. Elle comprendra cinq épisodes d’une heure chacun.
 
Par ailleurs, Claude Legault travaille maintenant sur le tournage du film Pee-Wee 3D, un projet qui est produit par la société Christal Films.
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Claude Legault sur scène en solo

Ayant déjà un succès énorme au petit écran, Claude Legault a décidé de se concentrer sur sa carrière humoristique en se lançant dans l’écriture de son premier one-man-show, rapporte Le Journal de Montréal.

La vedette de la télévision québécoise a déclaré : « J’y pense depuis 20 ans, mais je n’ai, heureusement et malheureusement, pas eu le temps de concrétiser ce projet. Là, j’ai envie de le faire. Il faut dire que je suis dans la quarantaine. J’ai des choses à dire. »
 
Claude Legault insiste sur le fait qu’il ne se gênera pas pour dire ce qu’il pense dans ce spectacle, et qu’il prévoit parler de sujets qui le déconcertent.
 
« Dans le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui, j’ai peur de bien des affaires, je suis en colère par rapport à plusieurs choses et je ne comprends pas toujours ce qui se passe. Disons juste qu’il y a de la matière pour un spectacle », révèle-t-il.
 
Pour la prochaine année et demie, Claude Legault se concentrera donc sur ce spectacle, pour lequel il travaille en collaboration avec son ami Sylvain Larocque, qui agit à titre de coauteur.
 
L’artiste dit ne pas exclure l’idée d’y intégrer quelques sketches et personnages, ainsi que la participation d’un ou de plusieurs musiciens. Legault déclare : « Sylvain, il est tight. C’est vraiment lui, le meilleur. Ça a vraiment cliqué entre nous. »
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Tournage entamé pour le film Bo$$é

Le tournage de la comédie satirique Bo$$é débute aujourd’hui (28 juin) dans la région de Montréal et se poursuivra jusqu’au 9 août prochain.
 
Réalisé par Claude Desrosiers (Les hauts et les bas de Sophie Paquin, Aveux), Bo$$é met en vedette Guy A. Lepage, Claude Legault, Valérie Blais, Élise Guilbault, James Hyndman, Magalie Lépine Blondeau, Cynthia Wu-Maheux, Benoît McGinnis, Gabriel Arcand et Yves Pelletier.
 
Le film est « une histoire fictive, mais basée sur la récente histoire du Québec. On suit la carrière d’un homme qui part de zéro et devient l’un des hommes les plus riches au monde, en ayant participé à tous les secteurs d’activité qui ont rapporté de l’argent au Québec depuis la Révolution tranquille », mentionne Guy A. Lepage dans un communiqué.
 
Lepage sera aussi producteur au contenu. Yves Lapierre, Luc Déry et André Ducharme signent le scénario.

Doté d’un budget de 5,5 millions de dollars, Bo$$é est attendu en salles en mars 2012.