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Nouveau traitement contre la tuberculose moderne

La tuberculose est une maladie que plusieurs croyaient enrayée. Malheureusement, elle fait un retour remarqué en 2012, et les prévisions parlent de plus de dix millions de personnes touchées dans le monde pour 2013.

Si cela semble incroyable, la montée de cette nouvelle forme de tuberculose est bien réelle. Plusieurs chercheurs sont donc au travail afin de contrer cette nouvelle pandémie, et quelques-uns d’entre eux auraient réussi une percée intéressante.

C’est du moins ce que rapporte santelog.com, alors que la FDA américaine vient d’approuver un nouvel antibiotique pour le traitement de la maladie.

La FDA a fait passer ce dossier en priorité, vu les statistiques alarmantes et le fait que plusieurs souches semblent résistantes aux traitements initiaux offerts en première ligne.

Cet antibiotique porte le nom de Sirturo et doit être utilisé en compagnie d’autres médicaments. On semble optimiste du côté de la communauté scientifique, et c’est tant mieux, car des solutions doivent être trouvées rapidement.

La nouvelle souche connue de la tuberculeuse est résistante à tous les autres traitements.

D’autres tests sont prévus incessamment, et certains risques et effets secondaires inquiètent certains spécialistes. Un dossier à suivre.

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Nouvelle percée majeure contre le cancer de la prostate

Santelog.com rapporte une nouvelle percée dans la lutte au cancer, plus particulièrement contre le cancer de la prostate.

C’est encore un traitement par l’utilisation d’un virus qui réussit sa mission, alors qu’on entend de plus en plus parler de ce type de façon de faire.

Récemment, on apprenait que certains patients atteints de cancer (notamment une fillette atteinte de leucémie) étaient en rémission à la suite de ce genre de traitement.

Cette fois, on parle de virus oncolytique, transmis par des cellules macrophages dans l’organisme afin de traquer les cellules cancéreuses et ainsi venir à bout de toute trace de tumeur restante.

Il s’agit d’un traitement parallèle à la chimiothérapie, permettant de maximiser ses effets et de combattre la maladie sur deux fronts.

Pour l’instant, ce traitement a été tenté sur des souris, et les chercheurs affirment avoir réussi à prouver l’efficacité de ce nouveau traitement par virus oncolytique.

Il reste donc à tenter les essais cliniques, mais il apparait de plus en plus clair que les spécialistes dans la lutte au cancer ont bon espoir de voir ces nouvelles méthodes porter des fruits et augmenter grandement les chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

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Nouveau sérum de Clinique

Le nouveau sérum Correcting Serum de la gamme Pore Refining Solutions de Clinique promet une peau plus lisse et des pores quasi invisibles.

Selon une étude rapportée par Clinique, les pores de la peau doublent entre l’âge de 25 et 50 ans. Il existe donc des solutions pour remédier au problème.

Vogue rapporte donc que le sérum de la marque permet d’exfolier les peaux mortes, de réduire la production de sébum et d’améliorer le renouvellement cellulaire.

Avec Correcting Serum, la peau est rééquilibrée, les pores sont plus fins, propres et ne sont plus obstrués, ce qui donne une peau lisse.

Pour de meilleurs résultats, ce nouveau sérum peut être combiné avec deux autres produits de Clinique, soit Stay-Matte Hydrator et Instant Perfector.

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Nouveau sérum de Clinique

Le nouveau sérum Correcting Serum de la gamme Pore Refining Solutions de Clinique promet une peau plus lisse et des pores quasi invisibles.

Selon une étude rapportée par Clinique, les pores de la peau doublent entre l’âge de 25 et 50 ans. Il existe donc des solutions pour remédier au problème.

Vogue rapporte donc que le sérum de la marque permet d’exfolier les peaux mortes, de réduire la production de sébum et d’améliorer le renouvellement cellulaire.

Avec Correcting Serum, la peau est rééquilibrée, les pores sont plus fins, propres et ne sont plus obstrués, ce qui donne une peau lisse.

Pour de meilleurs résultats, ce nouveau sérum peut être combiné avec deux autres produits de Clinique, soit Stay-Matte Hydrator et Instant Perfector.

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Un antidépresseur expérimental fort prometteur

Un nouvel antidépresseur, qui n’en est qu’aux phases expérimentales, pourrait s’avérer très prometteur, selon plusieurs experts.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle du traitement comme d’une nouvelle façon de faire en matière de traitement de la dépression. L’antidépresseur agirait de façon précise sur le cerveau, ciblant des zones spécifiques.

De plus, on vante les mérites à long terme du produit, pour l’instant appelé GLYX-13. Testé uniquement de façon intraveineuse en ce moment, il semble offrir de bons résultats sur certains patients qui n’ont pas (ou mal) réagi aux autres traitements et antidépresseurs connus.

Le traitement serait efficace presque immédiatement après l’administration, et son effet à long terme satisfait l’équipe de chercheurs chargée des essais cliniques.

Joseph Maskal, professeur en biomédecine, est l’un de ceux-là. Il explique : « On a constaté des effets robustes, rapides et à long terme. De plus, aucun effet secondaire majeur n’a été répertorié ».

Le Dr Bryan Bruno, de l’équipe de direction du département de psychiatrie de l’hôpital Lenox Hill de New York, parle d’un « développement fort excitant ».

Il s’agirait donc d’une excellente nouvelle pour les gens aux prises avec des troubles dépressifs qui ne réagissent pas ou peu aux traitements populaires retrouvés sur le marché, comme le Prozac, le Paxil ou encore le Zoloft.

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Les rats et l’effet placebo

Une nouvelle étude arrive à la conclusion que les rats peuvent également ressentir le fameux effet placebo que l’on croyait réservé au complexe cerveau humain.

Des chercheurs de l’Université de Floride affirment qu’ils sont parvenus à prouver que les rats sont également réceptifs à l’effet placebo, annonce www.nlm.nih.gov.

L’effet placebo se décrit comme étant une « réaction positive à un faux traitement », ce qu’aurait vécu un groupe de rongeurs. Le cas échéant, ceci pourrait mener à de nouvelles stratégies efficaces en matière de traitement de plusieurs maladies graves.

« C’est ça, la grosse découverte… que les animaux qui s’attendaient à être soulagés de leur douleur l’ont été en ne recevant qu’une substance inerte, dans ce cas-ci de l’eau saline. Ça aide à valider notre modèle qui prône que ce que nous faisons aux rats peut se transposer chez l’humain », déclarait John Neubert, professeur et spécialiste de la douleur du département de dentisterie de l’Université de Floride.

L’étude, d’une durée de deux ans, comparait les réactions obtenues chez les rats en leur administrant soit des antidouleurs (comme de la morphine), soit de l’eau saline.

Au final, les rats qui avaient reçu de la morphine et à qui on administrait ensuite de l’eau saline ressentaient tout de même le soulagement attendu.

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Un médicament contre le diabète efficace contre le cancer de l’ovaire

Une nouvelle étude rapportée par Santelog.com parle d’une découverte intéressante concernant le cancer de l’ovaire.

Cette maladie fait des ravages chez les femmes, et les chercheurs multiplient les efforts pour tenter de trouver des solutions. Il y en a peut-être une qui se développe en ce moment, alors que des chercheurs de la Clinique Mayo affirment être en mesure d’allonger la durée de vie de patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire grâce à un traitement contre le diabète.

Il s’agit de la metformine, un médicament bien connu, qui pourrait bien avoir une double propriété. On avait par ailleurs déjà associé la metformine à des résultats encourageants observés dans certains cas de cancers du poumon, notamment.

Cette fois, les chercheurs ont analysé les dossiers de 61 patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire à qui l’on a administré de la metformine. On a ensuite comparé ces résultats avec ceux de 178 patientes qui n’ont pas reçu le traitement.

Les résultats sont clairs : les patientes sous metformine augmentent leur durée de vie. Et cela peut même aller jusqu’à cinq années supplémentaires, affirment les experts.

Il s’agit d’une percée intéressante qui pourrait mener à d’autres traitements en matière de cancer de l’ovaire.

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Un médicament à l’essai pour contrer la dépendance à l’alcool

Un médicament pour tenter de contrer la dépendance à l’alcool reprend la route des essais cliniques, annonce topsante.com.

C’est que ce n’est pas la première série de tests que connait ce médicament, appelé Bacoflène, celui-ci ayant été mis à l’essai pour la première fois en mai dernier.

On parle donc ici d’un essai complémentaire, dirigé par Michel Reynaud, en France.

Si ces tests s’avéraient concluants, on pourrait voir apparaitre sur le marché (en tout cas celui de l’Europe pour commencer) le fameux « remède » pour traiter l’alcoolisme.

Le Bacoflène est déjà utilisé comme relaxant musculaire en centre hospitalier. Cette fois, on vérifiera les effets du médicament sur 320 patients qui recevront des doses élevées. On pourra noter ses impacts selon la capacité des sujets à demeurer sobres.

On veut bien sûr également éviter les pires effets secondaires et vérifier le type de tolérance que le corps peut développer avec la présence du Bacoflène dans l’organisme.

M. Reynaud mentionne : « Le taux de réussite attendu est de 50 % concernant l’abstinence complète. Nous étudierons aussi la diminution de la consommation, mais ce n’est pas l’objectif principal de l’étude ».

Un peu d’espoir, donc, pour les gens qui ont tenté de se sortir de l’alcoolisme sans toutefois y parvenir.

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Comprendre l’effet placebo

L’effet placebo, soit la faculté de guérir par un médicament ou un remède qui n’en est pas un réellement, est l’un des mystères médicaux qui fascinent le plus.

Comment une pilule qui n’en est pas une peut-elle soigner? Comment un patient peut-il se croire traité alors qu’il ne l’est pas?

Des chercheurs du Beth Israel Deaconess Medical Center(BIDMC) et de la Harvard Medical Schoolont tenté de répondre à ces questions, et bien d’autres, concernant le mystère entourant « l’effet placebo », rapporte www.nlm.nih.gov.

Utilisée constamment dans des cliniques et centres pharmacologiques à travers le monde, la méthode du placebo permet entre autres de vérifier les effets d’un médicament sur un groupe de personnes en les comparant avec un autre qui reçoit un placebo.

Pourquoi certaines personnes réagissent alors comme si elles recevaient un médicament véritable? La réponse pourrait se trouver dans le bagage génétique de chaque individu. Certains, par exemple, produiraient plus de dopamine, ce qui contribue à hausser la réponse de ceux-ci devant un placebo.

On appelle ces gens des « placebos-répondeurs », et ces derniers pourraient jouer un rôle majeur dans la conception future de certains essais cliniques. Les chercheurs pensent que l’on pourra bientôt prédire quelles personnes sont des « placebos répondeurs ».

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Programme communautaire qui contribuerait à la diminution de l’obésité infantile

En ce moment, seuls les parents qui ont les moyens peuvent offrir des programmes de perte de poids accompagnés de spécialistes en clinique à leurs enfants. Or, la recherche proposée par le Temple University’s Center for Obesity Research and Education (CORE) indique que le programme clinique peut facilement être enseigné au niveau de la communauté.

Selon eurekalert.org, il a été prouvé qu’à la suite d’une période de 6 mois de ce traitement avec accompagnateur, 10 % des participants n’étaient plus considérés comme obèses.

« C’est impressionnant », a déclaré Gary Foster, directeur du CORE et instigateur de la recherche. « Si un programme tel que celui-ci était implanté à travers le pays, il y aurait 10 % moins d’enfants obèses. C’est un impact considérable qui aurait des répercussions significatives sur l’économie et les services de santé ».

Les enfants et leurs parents prenaient part à 12 séances de groupe sur les bonnes méthodes de nutrition, des idées d’activités et des méthodes pour éviter les aliments gras, frits ou sucrés. En parallèle, 12 autres rencontres individuelles permettaient de voir où en était la progression et quelles étaient les difficultés rencontrées.

Foster a mentionné que les accompagnateurs n’avaient jamais traité l’obésité infantile auparavant, ce qui démontre la facilité d’apprentissage de cette méthode clinique. Si le programme était intégré à la communauté, à travers les écoles, églises ou autres institutions communautaires, l’impact serait grandiose.