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Découverte dans le domaine du cancer du sein

Des chercheurs ont découvert le code génétique du cancer du sein de type triple négatif qui s’avère être la forme la plus mortelle de la maladie. 

Quatre chercheurs canadiens de l’Université Simon Fraser, en Colombie-Britannique, ont participé à cette étude, en collaboration avec une équipe internationale.
 
Selon la revue Nature, ils ont établi les cartes génétiques de 100 tumeurs de type triple négatif et ont découvert que cette forme de cancer avait un code génétique qui lui est propre, ce qui explique pourquoi il est si difficile à traiter. Sa complexité ne facilite pas les choses.
 
16 % des personnes qui ont un cancer du sein sont affectées par le triple négatif.
 
Avec cette avancée médicale, on espère mettre sur pied des essais cliniques afin de mesurer la réaction des tumeurs face à différents traitements ciblés.
 
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Un test sanguin prénatal pourrait prédire de nouveaux syndromes

On pourrait déchiffrer le code génétique de l’enfant à venir en utilisant un échantillon sanguin prélevé à aussi peu que 12 semaines, apprend-on dans Science Translational Medicine.

Ce nouveau test sanguin pourrait prévenir des syndromes et des maladies, et ce, en analysant l’ADN du foetus. On entend par là l’autisme, le syndrome de Down, voire les possibilités d’Alzheimer et de cancer.

Bien sûr, ce test éliminerait les risques actuels de fausse couche qu’entraîne par exemple l’amniocentèse, lorsqu’il faut pousser les analyses sur le fœtus. On sauverait ainsi une centaine de bébés par année.

Or, des scientifiques mettent en garde la venue d’un tel test. Les futurs parents pourraient tomber dans le piège de la recherche de l’enfant parfait en sachant tout sur sa santé future dès les premiers mois de grossesse.

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La pollution et le code génétique

Selon le Dr Andrea Baccarelli de l’Université de Milan, la pollution atmosphérique, aussi minime soit-elle, a pour conséquence de modifier le bagage génétique d’un individu et de le rendre plus à risque de souffrir de diverses maladies, dont le cancer.

Pour arriver à ces conclusions, le Dr Baccarelli a comparé des échantillons d’ADN de travailleurs en bonne santé, mais exposés à des taux élevés de monoxyde de carbone. Après seulement trois jours à respirer l’air pollué, le chercheur croit que quatre gènes associés à des tumeurs ont été modifiés.

« Les facteurs environnementaux agissent assez rapidement pour reprogrammer les gènes, ce qui peut augmenter le risque de maladies », a fait savoir le scientifique qui croit que ces dommages ne sont toutefois pas permanents.