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Trop de vitamine E nuit au foetus

Une étude, menée auprès de 276 poupons nés avec une malformation cardiaque et 324 bébés en bonne santé, a démontré qu’une surconsommation de vitamine E par la femme enceinte pourrait expliquer la cardiopathie congénitale.

L’auteur de cette recherche, le Dr R. P. M. Steegers-Theunissen de l’Université de Rotterdam, a évalué que les femmes qui prenaient beaucoup de vitamine E lors de la gestation avaient 70 % plus de chance de donner naissance à un enfant avec une malformation cardiaque.

Selon le chercheur, cette vitamine déséquilibrerait les tissus embryonnaires, en modifiant le développement du cœur.

Tous les détails se retrouvent dans la revue scientifique Journal of Obstetrics and Gynecology.

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Les antipsychotiques et l’arrêt cardiaque

Une recherche, publiée dans le New England Journal of Medicine, nous apprend que les patients à qui l’on prescrit la nouvelle génération d’antipsychotiques afin de traiter la schizophrénie, la démence ou l’anxiété sont à risque de souffrir d’une défaillance cardiaque.

Parmi les médicaments ciblés, on note le clozapine (Clozaril), la quetiapine (Seroquel), l’olanzapine (Zyprexa) et la rispéridone (Risperdal), des antipsychotiques atypiques approuvés par les autorités comme la Food and Drug Administration des États-Unis.

Le Dr Wayne Ray, qui a mené cette étude, a analysé les dossiers médicaux de 44 218 patients qui avaient consommé les « anciens » psychotiques et ceux de 46 089 qui prenaient la nouvelle génération de médicaments.

Il a découvert que ceux du deuxième groupe étaient 2,26 fois plus à risque de mourir d’une défaillance cardiaque que les sujets qui ne prenaient pas ce type de médication. Selon le chercheur, ce phénomène pourrait être attribué à la variation du flot de potassium dans le sang, essentiel pour un bon fonctionnement cardiaque.

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Soya et exercice pour les femmes ménopausées

Selon des chercheurs de l’Université de Sherbrooke, un programme d’exercice régulier, combiné à une alimentation riche en soya, diminue l’incidence de maladies cardiovasculaires chez les femmes ménopausées, beaucoup plus que l’exercice seul.

50 participantes ont été suivies pour cette recherche. La moitié d’entre elles ont consommé un placebo, tandis que le reste du groupe prenait des isoflavones de soya, qui agissent comme les estrogènes lorsqu’elles sont assimilées par les intestins. De plus, ces sujets ont suivi un programme d’exercices aérobiques et musculaires trois fois par semaine.

« Nos analyses ont amené deux conclusions. La combinaison d’exercices et d’isoflavones agit d’une part sur une hormone appelée sex-hormone binding globuline (SHBG) qui est liée aux risques de maladies cardiovasculaires. D’autre part, cette combinaison est associée à la perte de graisse abdominale », a mentionné Isabelle Dionne, vice-doyenne à la recherche et aux études supérieures à la Faculté d’éducation physique et sportive de l’université.

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Les conséquences d’un léger surplus de poids

Une recherche, publiée dans Circulation, prouve qu’un léger surplus de poids et une inactivité sont suffisants pour que l’incidence d’insuffisance cardiaque soit en hausse.

L’auteur principal de cette étude, le Dr Satish Kenchaiah, assure qu’un peu d’exercice physique quotidiennement est suffisant pour faire diminuer ce risque.

Pour arriver à ces conclusions, 21 000 participants ont été suivis pendant 20 ans. Ceux qui avaient un indice de masse corporelle de 25 à 29,9 voyaient leur incidence d’insuffisance cardiaque augmenter de 49 % comparativement aux sujets ayant un poids santé.

Le cardiologue Gerald Fletcher a réagi à ces résultats : « Ces résultats renforcent ce que l’on affirme depuis des années. Sans être obèse, avoir un surplus de poids est considéré comme un facteur de risque de l’insuffisance cardiaque. »

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Le vin et les oméga-3

Les travaux du Dr Romina di Giuseppe, de l’Université catholique de Campobasso en Italie, démontrent qu’un ou deux verres de vin par jour augmentent le taux d’oméga-3 dans le corps humain, ce qui ne peut qu’être bénéfique pour le coeur.

Ce phénomène est dû au fait que les polyphénols contenus dans le vin, une sorte d’oméga-3, diminuent le taux de triglycérides, une variété de lipides. Les polyphénols réduisent l’inflammation et préviennent les irrégularités au niveau du rythme cardiaque.

De plus, les oméga-3 augmentent le taux de « bon cholestérol » dans le sang, réduisant ainsi l’incidence de caillots sanguins.

1 604 adultes, âgés de 26 à 65 ans, ont participé à cette recherche.

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Le vin et les oméga-3

Les travaux du Dr Romina di Giuseppe, de l’Université catholique de Campobasso en Italie, démontrent qu’un ou deux verres de vin par jour augmentent le taux d’oméga-3 dans le corps humain, ce qui ne peut qu’être bénéfique pour le coeur.

Ce phénomène est dû au fait que les polyphénols contenus dans le vin, une sorte d’oméga-3, diminuent le taux de triglycérides, une variété de lipides. Les polyphénols réduisent l’inflammation et préviennent les irrégularités au niveau du rythme cardiaque.

De plus, les oméga-3 augmentent le taux de « bon cholestérol » dans le sang, réduisant ainsi l’incidence de caillots sanguins.

1 604 adultes, âgés de 26 à 65 ans, ont participé à cette recherche.

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Les conséquences des crises d’angoisse

Une recherche, publiée dans l’European Heart Journal, nous apprend que les maladies cardiovasculaires sont plus fréquentes chez les personnes qui souffrent de crises de panique, particulièrement lorsqu’elles sont âgées de moins de 50 ans.

« Les symptômes d’une crise de panique sont très similaires à ceux d’une crise cardiaque et pourraient expliquer la relation complexe entre ces deux conditions », a souligné l’auteure derrière ces résultats, la Dre Kate Walters de l’Université College London.

Dans cette recherche, les troubles paniques augmentaient de 38 % l’incidence de crise cardiaque et les femmes âgées de 16 à 40 ans étaient le plus à risque.

Heureusement, les crises de paniques n’augmentent pas le taux de mortalité lié à une maladie cardiovasculaire chez les participants de cette étude.

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Médicament d’origine contre médicament générique

Une étude, menée par le Dr Aaron Kesselheim et son équipe du département de médecine de l’Université Harvard, démontre que les médicaments d’origine qui traitent les maladies cardiovasculaires ne sont pas plus efficaces que les médicaments génériques.

Pour ce faire, le Dr Kesselheim a analysé 47 recherches sur le sujet, qui portaient sur neuf types de médicaments traitant les maladies cardiovasculaires.

Ces conclusions vont donc à l’encontre de la croyance populaire voulant que la qualité soit supérieure pour les médicaments originaux.

Pour le chercheur, les médicaments génériques ont l’avantage d’être beaucoup moins dispendieux et contiennent les mêmes ingrédients actifs que les médicaments d’origine. Les patients devraient donc les consommer en toute confiance.

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Une autre vertu de la vitamine D

Une recherche, publiée dans le Journal of the American College of Cardiology, mentionne que l’incidence de maladies cardiovasculaires diminue lorsque le taux de vitamine D dans l’organisme est élevé.

Malheureusement, 30 % des enfants et adolescents et 50 % des adultes américains ont une carence de vitamine D, selon l’auteur derrière ces résultats, le Dr James O’Keefe du Mid America Heart Institute, à Kansas City.

« La population tarde à suivre les recommandations des experts afin d’avoir suffisamment de vitamine D. Les gens affirment qu’ils vont aller davantage à l’extérieur, mais ce n’est pas le cas. Et quand ils le font, ils mettent de la crème solaire ou des vêtements longs pour se protéger du soleil », déplore le Dr O’Keefe.

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Un patron désagréable est mauvais pour le coeur

Des chercheurs suédois du Karolinska Institute et du Centre de recherche sur le stress de l’Université de Stockholm affirment qu’un patron contrôlant a une mauvaise influence sur le coeur de ses employés, qui risquent davantage de souffrir d’angine et d’infarctus.

« Cette étude est la première à démontrer le lien entre la qualité de la gestion d’un patron et le risque de maladies cardiovasculaires des employés », a souligné la Dre Anna Nyberg, auteure principale de cette recherche.

Pour la Dre Nyberg, un gestionnaire qui fait preuve de confiance, de clarté dans ses attentes et qui n’hésite pas à déléguer réduit le niveau de stress au sein de ses employés, ce qui ne peut qu’être bénéfique pour leur état de santé.

Tous les détails sont publiés sur le site Internet de Occupational and Environmental Medicine.