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Les HPA, mauvais pour le coeur

Alors que la croyance populaire veut que ce soit la pollution automobile qui augmente le risque d’infarctus et de crise cardiaque, des chercheurs américains pointent plutôt du doigt les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HPA), qui existent à l’état naturel dans le pétrole brut.

Lors d’une conférence de presse au congrès annuel de l’Association américaine pour l’avancement des sciences, John Incardona, de l’Administration nationale de l’océan et de l’atmosphère (NOAA), a expliqué ce phénomène : « On sait depuis longtemps que certains hydrocarbures polycycliques sont cancérigènes. Mais les autres étaient considérés inoffensifs. On les a ignorés jusqu’à la marée noire de l’Exxon Valdez, en 1989, en Alaska. »

Depuis, M. Incardona a observé que les HPA avaient causé des malformations cardiaques chez les larves de saumons et de harengs. Cette malformation a aussi été notée chez la perche, qui a un coeur similaire à celui de l’homme, ce qui laisse présumer que les HPA peuvent aussi affecter le coeur humain. Le scientifique poursuit ses études sur les matières toxiques.

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Les grains entiers, bons pour le coeur

Selon une étude publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, un régime riche en grains entiers et faible en gras serait bon pour le cœur.

Les chercheurs ont découvert que les gens ayant un surplus de poids abaissent ainsi leur quantité de gras ventral et leur pression sanguine, ce qui diminue le risque d’être victime d’une crise cardiovasculaire. Un régime riche en grains entiers préviendrait également certaines maladies chroniques.

En général, les experts prônent la consommation de grains entiers (orge, gruau, riz brun) plutôt que celle de grains raffinés, que l’on retrouve souvent dans le pain et les autres produits faits à base de farine. Les grains entiers contiennent plus de nutriments et de fibres.

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Le taux de mortalité associé à l’insuffisance cardiaque

Selon une recherche publiée dans l’American Heart Journal, les patients chez qui on diagnostique une insuffisance cardiaque congestive ne peuvent s’attendre à vivre bien longtemps.

Le Dr Dennis Ko et son équipe estiment que ces personnes vivent en moyenne 2,4 années suivant le diagnostic.

Cette découverte, qui quantifie pour la première fois le taux de mortalité associé à la maladie, permettra aux professionnels de la santé d’évaluer, avec leurs patients cardiaques, les diverves options comme la chirurgie ou les soins palliatifs.

L’insuffisance cardiaque se caractérise par l’incapacité du coeur à fournir un débit sanguin suffisant pour combler les besoins de l’organisme. Elle s’accompagne d’oedèmes aux poumons et aux membres inférieurs et d’une rétention anormale de sodium et d’eau.

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Le risque pour les sportifs de salon

Les amateurs du Super Bowl ont tout intérêt à regarder l’évènement avec calme s’ils veulent éviter la crise cardiaque, comme le rapporte une étude réalisée dans le cadre du Mondial de foot de 2006, qui se déroulait du 9 juin au 9 juillet en Allemagne.

Les scientifiques ont comparé les incidents cardiaques des amateurs de sport, tout en portant une attention particulière aux parties où jouait leur équipe préférée.

Sur les sept parties où l’équipe allemande était à l’honneur, les chercheurs ont observé une hausse des infarctus pendant six parties. Ce phénomène prenait de l’ampleur lorsque la partie était intense et génératrice de stress, à raison d’une hausse de 71,5 % du risque de subir un malaise cardiaque.

Selon les chercheurs, les sportifs de salon représentent de bons candidats pour les malaises cardiaques puisqu’ils ont tendance à avoir un mode de vie sédentaire, à manger des aliments riches en gras saturés, à boire de l’alcool et à être stressés lorsqu’ils regardent un évènement sportif à la télévision.

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Un coeur de rat mort rebat

Une équipe de scientifiques de l’Université du Minnesota ont réussi toute une percée médicale en injectant des cellules saines dans le coeur d’un rat mort pour ainsi le ramener à la vie.

Pour ce faire, les chercheurs ont enlevé toutes les cellules de l’organe, pour n’en conserver que la matrice, sur laquelle on a transplanté des cellules cardiaques provenant des coeurs de rats naissants.
 
À peine quelques jours plus tard, le coeur battait à nouveau et avait retrouvé 2 % de ses fonctions.
 
Cette percée médicale laisse entrevoir beaucoup d’espoir pour les personnes en attente d’une transplantation cardiaque. On pourrait alors utiliser leurs propres cellules afin de construire des vaisseaux sanguins et un coeur tout neuf.
 
La prochaine étape consiste à effectuer des tests cliniques sur les cellules humaines et évaluer davantage les coeurs bioartificiels.

Tous les détails de cette étude sont publiés dans la revue Nature Medicine.

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Un coeur en santé grâce à la vitamine D

Des scientifiques de la faculté de médecine de l’Université Harvard, aux États-Unis, ont démontré que la vitamine D prévient les maladies coronariennes.

Grâce à des analyses sanguines auprès des participants, l’équipe du docteur Thomas Wang a conclu que des carences en vitamine D augmentaient de deux fois le risque d’infarctus, de défaillance cardiaque ou d’accident vasculaire cérébral dans les cinq ans.

Même en excluant les cas liés aux maladies cardiovasculaires comme le diabète, un cholestérol élevé et l’hypertension artérielle, cette prévalence demeure la même lorsqu’il y a carence de vitamine D.

On retrouve celle-ci dans quelques aliments comme le lait et certains poissons. L’exposition au soleil procure également à l’organisme une bonne dose de vitamine D.

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Le taux de cholestérol sous-estimé au Canada

Selon un sondage mené par la firme Léger Marketing, la population canadienne a du chemin à faire pour augmenter ses connaissances en matière de cholestérol. En effet, bien que la majorité des répondants aient affirmé qu’il est important de maîtriser son taux de cholestérol pour être en santé, 73 % d’entre eux se sont montrés incapables de préciser le taux de cholestérol idéal.

De plus, 56 % des personnes interrogées ont indiqué qu’elles ignoraient complètement leur propre taux de cholestérol, ce qui laisse envisager aux médecins que plusieurs ne connaissent pas les raisons expliquant l’hypercholestérolémie.

Une donnée encore plus inquiète démontre que 80 % des participants ne connaissaient même pas l’existence du « mauvais cholestérol », ou cholestérol LDL, qui est reconnu pour augmenter le risque de maladies cardiovasculaires.

Selon le Dr Jean-Claude Tardif, directeur du Centre de recherche de l’Institut de cardiologie de Montréal et professeur de médecine à l’Université de Montréal, les Canadiens comprennent qu’un taux de cholestérol élevé est mauvais pour la santé, mais ils ne font toujours pas le lien avec le risque de maladie cardiovasculaire.

Il est donc essentiel que les médecins s’assurent de la compréhension de leurs patients aux prises avec un taux de cholestérol élevé afin que ces derniers modifient leurs habitudes de vie.

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Le bonheur pour un corps en santé

Une recherche publiée dans l’American Journal of Epidemiology et effectuée auprès de 3 000 sujets britanniques démontre que les personnes optimistes et positives ont un plus faible taux de cortisol, une hormone associée au stress. Lorsqu’on retrouve beaucoup de cortisol au sein du cortex surrénal, on remarque un risque élevé de haute pression sanguine, d’obésité et des dysfonctions dans le système immunitaire.

L’équipe du Dr Andrew Steptoe, de l’University College London, a remarqué que les personnes qui vivent des émotions positives sont en meilleure santé que celles stressées, hostiles et pessimistes.

Le Dr Steptoe croit que les personnes heureuses ont un style de vie plus sain, ce qui pourrait expliquer ce phénomène. « Le bonheur est associé à des réponses biologiques bénéfiques pour l’état de santé général », a-t-il ajouté.

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Le bonheur pour un corps en santé

Une recherche publiée dans l’American Journal of Epidemiology et effectuée auprès de 3 000 sujets britanniques démontre que les personnes optimistes et positives ont un plus faible taux de cortisol, une hormone associée au stress. Lorsqu’on retrouve beaucoup de cortisol au sein du cortex surrénal, on remarque un risque élevé de haute pression sanguine, d’obésité et des dysfonctions dans le système immunitaire.

L’équipe du Dr Andrew Steptoe, de l’University College London, a remarqué que les personnes qui vivent des émotions positives sont en meilleure santé que celles stressées, hostiles et pessimistes.

Le Dr Steptoe croit que les personnes heureuses ont un style de vie plus sain, ce qui pourrait expliquer ce phénomène. « Le bonheur est associé à des réponses biologiques bénéfiques pour l’état de santé général », a-t-il ajouté.

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Des cellules souches pour réparer le coeur

Des travaux menés conjointement par des scientifiques du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) et l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR) ont conduit vers une percée médicale pour les personnes qui ont subi un infarctus aigu du myocarde.

En effet, ils ont réussi à implanter des cellules souches de la moelle osseuse, par injection et sous anesthésie locale, afin de former de nouveaux vaisseaux sanguins et ainsi réparer le muscle cardiaque. Cette nouvelle technique veut donc prévenir l’insuffisance et la défaillance cardiaque.

Jusqu’à maintenant, il était impossible de réparer les vaisseaux sanguins et le muscle cardiaque endommagés par un infarctus.

L’équipe du docteur Samer Mansour, cardiologue au Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), va maintenant aller plus loin dans la recherche et effectuer l’intervention auprès des personnes ayant eu un premier infarctus étendu et à risques de complications.