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Les jeux vidéo excellents pour la santé mentale et la longévité des aînés

Les détracteurs des jeux vidéo devront se rhabiller, car une nouvelle étude sur le sujet vante les mérites des jeux interactifs électroniques, rapporte Top Santé.

XBOX, Playstation, Wii, peu importe le produit, l’étude américaine en question estime cette fois que les personnes âgées aussi peuvent bénéficier de cette activité, et pas qu’un peu.

Longévité accrue, mémoire améliorée, déclin dû au vieillissement moins important et retardé, meilleures capacités cognitives, bref, les avantages de l’utilisation des jeux vidéo chez les personnes âgées sont notables.

Les chercheurs de l’Université d’Iowa ont sélectionné quelques sujets, avant de les diviser en deux groupes. On les a ensuite fait jouer à différents jeux et on a observé leur évolution cognitive.

Conclusion?

« On n’a pas seulement prévenu leur déclin, on a accéléré leurs facultés. », se réjouit le professeur Wolinsky, qui participe à l’étude.

Il faudra donc revoir certains mythes concernant les « vilains » jeux vidéo, et probablement en installer dans les résidences pour personnes âgées, qui peuvent bénéficier grandement de ces activités virtuelles… en plus de s’amuser.

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Encore une percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer

Les progrès de la recherche d’un traitement de la maladie d’Alzheimer sont nombreux depuis quelque temps, alors que les découvertes et avancées sur le sujet se multiplient.

Voici une autre percée qui sèmera sans doute un vent d’optimisme chez les personnes atteintes de la maladie ainsi que chez les proches de patients qui en souffrent.

En effet, Huffington Post rapporte que des chercheurs américains auraient réussi à inverser carrément le processus de la maladie chez des escargots, pavant la voie à un possible traitement chez l’homme.

Ce sont des chercheurs de l’Université du Texas basée à Houston qui annoncent la réalisation de cet exploit, après avoir constaté que leurs tests par stimulation nerveuse sur des mollusques avaient porté des fruits.

« Nos résultats suggèrent une nouvelle stratégie pour le traitement des déficiences cognitives. Les modèles mathématiques pourraient nous aider à mettre au point des thérapies combinant un protocole d’entraînement et des traitements médicaux traditionnels » conclut avec enthousiasme John Byrne, qui dirige ces essais innovateurs.

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Le déclin de la mémoire avec l’âge démystifié

Des chercheurs se sont penchés sur la question de la perte ou du déclin de la mémoire lors du vieillissement, et ils proposent ici un nouveau modèle d’explication.

C’est ce que rapporte Santé Log, qui explique le processus utilisé par ces chercheurs de l’Université de Warwick. On a donc regroupé 185 sujets pour une étude dans laquelle ces derniers devaient se soumettre à différents tests cognitifs et de mémoire.

Rapidement, on a constaté au fil des tests que ce sont les mécanismes de la mémoire qui changent, et non la « vitesse » de réaction de celle-ci.

On parlerait donc moins de « déclin » que d’un problème de concentration, si vous voulez, qui se traduit par une plus grande difficulté à garder ses pensées et sa mémoire sur une catégorie ou un sujet précis.

La mémoire, en vieillissant, serait donc plus vagabonde et passerait d’un thème à l’autre, laissant ainsi des souvenirs enfouis.

On suggère de faire des exercices de mémoire par catégorie pour améliorer le recouvrement des souvenirs, comme l’indique le Dr Thomas Hills.

« Si, par exemple, vous oubliez votre liste de courses, essayez de vous concentrer sur les produits à acheter, catégorie par catégorie, et essayez d’utiliser ce dont vous vous souvenir pour retrouver ce que vous avez oublié. »

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Percée importante dans le traitement de la trisomie 21

Santé Log rapporte des conclusions époustouflantes, qui tendent à laisser croire qu’un traitement, à tout le moins partiel, de la trisomie 21 est envisageable.

Selon les chercheurs du Sanford-Burnham Medical Research Institute, il serait possible de manipuler un chromosome responsable de la faible production d’une protéine retrouvée au cerveau.

Ils seraient même parvenus à prouver leur théorie sur des souris, ce qui rend la communauté scientifique optimiste quant à cette percée.

Il s’agit de la protéine trinexine 27, qui pourrait être restaurée par une thérapie génique précise. Le cas échéant, les chercheurs de Sanford-Burnham croient que plusieurs capacités cérébrales et fonctions cognitives pourraient être améliorées.

Le professeur Xu Huaxi, directeur de l’étude, explique : « Dans le syndrome de Down, le manque de SNX27 est au moins partiellement responsable des anomalies du développement et des déficits cognitifs. Tout revient à la normale après ce traitement par SNX27 ».

Les souris dites trisomiques qui ont subi l’intervention auraient effectivement retrouvé plusieurs fonctions cognitives, ce qui fait subsister l’espoir de voir un jour apparaitre un traitement efficace contre cette terrible maladie qui touche tant de familles.

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Les boissons énergisantes n’augmentent pas les capacités cognitives

Plusieurs grandes compagnies de boissons énergisantes, de plus en plus populaires, utilisent dans leur mise en marché des éléments qui laissent croire que la consommation de ces boissons augmente les capacités cognitives.

Certains de ces produits laissent miroiter une amélioration de l’énergie physique, mais aussi mentale, une affirmation qui n’a pas de fondement, suggèrent des chercheurs du Texas qui se sont penchés sur la question en analysant les réactions de cyclistes.

Leurs conclusions, que rapporte Medical News Today, font état d’une amélioration minime ou inexistante des capacités cognitives lors de la consommation d’une boisson énergisante.

Ils confirment cependant certaines vertus en ce qui concerne les capacités physiques, bien que l’on conseille vivement de ne pas en abuser ou de développer un besoin envers ces produits.

Les recherches, publiées dans le Journal of Caffeine Research, ne semblent pas complètes, ce qui indique que des contre-études sont attendues sur le sujet, car même les améliorations physiques reconnues par certains spécialistes sont mises en doute par d’autres.

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Le traitement hormonal substitutif en prévention de l’Alzheimer

Santé Log rapporte que le traitement hormonal substitutif, aussi appelé simplement THS, pourrait s’avérer un outil de choix dans la lutte à la maladie d’Alzheimer, ainsi que pour sa prévention.

C’est ce qui ressort d’une étude américaine publiée dans la plus récente édition du magazine PLoS ONE, alors que des chercheurs croient que le THS pourrait contribuer à ralentir le vieillissement prématuré des cellules, et ainsi prévenir le déclin cognitif trop hâtif.

Si les réactions face à cette « découverte » sont pour l’instant partagées, les chercheurs de l’Université de Californie, eux, affichent un bel optimisme.

Ils ont pu constater ces effets lors de tests du THS sur un groupe de femmes ménopausées, plus particulièrement sur celles qui démontraient la variante génétique APOE-e4, un facteur de risque de l’Alzheimer.

Si les femmes ménopausées présentant cette variante génétique voient augmenter leurs risques de développer des problèmes cognitifs tels que ceux retrouvés dans les cas d’Alzheimer, le THS permettrait de les réduire considérablement.

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Le thé serait aussi bénéfique pour le cerveau

Top Santé rapporte une étude en provenance de Singapour, effectuée en collaboration avec des chercheurs américains, qui donne une nouvelle raison de se mettre au thé.

Et spécialement si vous commencez à prendre de l’âge, puisque ces recherches démontrent l’impact significatif du thé sur le cerveau et la prévention du déclin cognitif.

Par déduction, on peut donc prétendre que le thé permet de contrer partiellement le développement de la maladie d’Alzheimer. Après tout, on rapporte que des 1500 hommes et femmes aux prises avec des problèmes cognitifs ou de la mémoire soumis à l’étude, plusieurs ont retrouvé des capacités cognitives étonnantes.

Du lot, ceux qui avaient bu plus de quatre tasses de thé par jour durant une période donnée ont vu leurs troubles de mémoire baisser de 75 %. Le chiffre tombe à près de 50 % pour ceux qui en consommaient trois par jour.

Publiée dans la plus récente édition d’Advances in Nutrition, l’étude confirme que tous les sujets ont démontré de meilleures réactions ou performances lors des tests cognitifs effectués.

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Votre corps peut-il pressentir l’avenir?

De récentes recherches tendent à démontrer que le corps possède la capacité de ressentir des événements qui sont sur le point de se produire, avance www.nlm.nih.gov.

Il semble que le cerveau n’aurait rien à y voir, le corps possédant des facultés qui lui sont propres. Ce sont les conclusions des chercheurs de la Northwestern University, qui ont analysé 26 études publiées sur le sujet entre 1978 et 2010.

« S’il a déjà été démontré que le subconscient en sait souvent plus que le conscient, il reste à déterminer si les humains ont la capacité de prédire l’avenir sans aucun indice préalable. Notre analyse démontre que si vous êtes au diapason parfait avec votre corps, il vous est possible de pressentir certains changements ou événements à survenir prochainement », explique Julia Mossbridge, chercheuse associée au laboratoire de neuroscience et de perceptions cognitives de la Northwestern University.

Elle ajoute, à la blague, que ce système pourrait même vous permettre de prédire quand votre patron franchira la porte de votre bureau, et ainsi vous donner le temps de fermer le jeu vidéo que vous êtes en train d’essayer au lieu de travailler.

Plusieurs personnes sont capables de pressentir certains événements, mais la spécialiste se garde de crier à la clairvoyance. Elle préfère appeler le phénomène « activité anticipatoire », précisant que plusieurs études restent à faire pour tirer des conclusions claires sur ce trait du corps humain.

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Des poumons en santé seraient bénéfiques pour le cerveau

Outre les raisons et bénéfices connus de s’occuper de sa santé pulmonaire, il appert que des poumons sains seraient aussi bénéfiques pour le cerveau, selon une étude.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend des propos contenus dans une étude produite par des chercheurs suédois. Ceux-ci auraient réussi à tracer un lien entre la santé pulmonaire et la capacité du cerveau à résoudre des problèmes.

Si cela s’avère exact, on peut donc penser qu’il serait possible pour la population de prévenir les problèmes cognitifs et le « ralentissement » du cerveau dû à l’âge.

Les chercheurs suédois ont analysé les cas de 832 patients âgés de 50 à 85 ans, suivis depuis plusieurs années. Les résultats ont été publiés dans le journal Psychology Science.

Voici un extrait des commentaires exprimés par l’équipe, professeur Charles Emery en tête : « La conclusion logique de nos recherches et qu’il est assurément bénéfique pour les performances cognitives et cérébrales de maintenir une bonne santé pulmonaire ».

Il ajoute que, bien sûr, cesser de fumer et faire de l’exercice physique sont les deux premières clés.

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Les mécanismes de la bêta-amyloïde, liée à la maladie d’Alzheimer

Le site nih.gov publie une étude qui confirme de nouveau le lien entre la protéine bêta-amyloïde et la maladie d’Alzheimer. Les recherches suggèrent cependant qu’un autre mécanisme est aussi un facteur de risque pour les gens plus âgés, combiné avec ce qu’on sait déjà à propos de la bêta-amyloïde.

Il s’agit du gène CR-1, relativement nouvellement connu par la communauté scientifique et associé directement à l’Alzheimer. Ainsi, l’étude démontrerait que les patients possédant la variante de ce gène ont également moins d’amyloïde au cerveau.

« Les hypothèses qui prévalent ont impliqué des facteurs qui augmentent le taux de bêta-amyloïde dans le cerveau, ce qui devient un élément intégral dans l’étude de la pathologie de la maladie », tente d’expliquer le directeur du National Institute on Aging, Richard J. Hodes.

En étudiant des patients âgés sans problème cognitif et en évaluant leur taux de bêta-amyloïde, combiné aux facteurs de risques génétiques, les chercheurs peuvent ainsi mieux comprendre les processus de cette maladie dévastatrice.

On comprend donc maintenant qu’il est possible que le gène CR-1 ne soit pas simplement alimenté par un taux élevé de bêta-amyloïde au cerveau, un indicateur d’Alzheimer, mais probablement par une série de facteurs.

D’autres études doivent s’effectuer pour tenter de comprendre quels mécanismes viendraient contribuer aux gènes à risques de l’Alzheimer.