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Un nouveau test de dépistage du cancer de l’utérus approuvé par la FDA

Une alternative au fameux PAP test vient d’être approuvée par la FDA aux États-Unis, rapporte notamment le New York Times.

Il s’agit d’une manœuvre controversée visant à remplacer un test déjà controversé, comme quoi on ne s’en sort pas dans ce dossier.

Créé par la compagnie Roche, le nouveau test de dépistage serait capable de détecter la présence et l’ADN du VPH, qui mène souvent au cancer de l’utérus, par un simple échantillon prélevé du col de l’utérus d’une patiente.

La FDA croit que les essais et études menés par Roche sont concluants, et approuve donc l’alternative au PAP test, qui utilise pour sa part un bon vieux microscope afin de détecter des anomalies.

Mais comme dans le dossier du PAP test, un regroupement de femmes et de consommateurs s’opposent à l’approbation de la FDA, que l’on juge hâtive et non fondée. Les spécialistes de la FDA semblent toutefois sûrs de leur évaluation, même si les essais sont menés par la même compagnie qui produit le nouveau test.

Une pratique qui serait peut-être à revoir, d’ailleurs, ne serait-ce que pour calmer les doutes d’une population de plus en plus méfiante envers l’industrie pharmaceutique et le système de santé.

Le cancer de l’utérus ferait environ encore 4000 morts annuellement, aux États-Unis seulement, selon l’American Cancer Society.

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Mauvaise presse pour Gardasil

Le Gardasil, réputé vaccin contre le VPH (Virus du Papillome Humain), une infection transmissible sexuellement qui s’avère un véritable fléau depuis quelques années, obtient une mauvaise presse ces temps-ci, à la suite de la première plainte officielle déposée par une Française.

Largement publicisé et recommandé, il peut sembler surprenant que Gardasil soit maintenant critiqué, sauf que selon Santé Log et Top Santé, les mises en garde et les possibles effets retour du vaccin sont connus des spécialistes depuis bien longtemps maintenant.

Prescrit en prévention du VPH et du cancer du col de l’utérus, le Gardasil fait maintenant l’objet d’une sérieuse plainte de la part d’une jeune femme de 18 ans, qui affirme que son récent diagnostic d’encéphalomyélite aigüe disséminée, ou de sclérose en plaques, est directement lié à l’injection du vaccin.

Son avocat en est convaincu, et le récit des faits qu’il soumet semble ne laisser planer aucun doute quant au lien observable entre le Gardasil et la détérioration de l’état de santé de la plaignante.

Me Jean-Christophe Coubris allègue de plus que sa jeune cliente s’est fait vacciner au Gardasil à la suite d’une pression sociale et à un « tapage médiatique », une formule de vente à pression contre laquelle il s’indigne vigoureusement.

Le dossier risque de faire beaucoup de bruit, et alimentera encore une fois les discussions concernant les risques inhérents à l’injection de certains vaccins.

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Le vaccin contre le VPH s’avère efficace

On confirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

onfirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le Canada veut changer les règles de dépistage du cancer du col de l’utérus

Un groupe de chercheurs et de spécialistes unis pour étudier les méthodes de prévention et de traitement du cancer du col de l’utérus ont rendu leurs conclusions, rapporte notamment Le Devoir.

Celles-ci semblent vouloir indiquer que des changements sont à prévoir au Canada en ce qui a trait à la prévention de cette maladie.

D’abord, on parle beaucoup des fameux tests PAP ces temps-ci, et l’étude suggère justement de faire passer ce test de dépistage aux trois ans (il est aujourd’hui suggéré annuellement).

Ces tests peuvent comporter leur lot de désagréments, semble-t-il, et il serait possible d’avoir un système de prévention tout aussi efficace en évitant les méthodes intrusives chaque année.

La prévention du cancer du col de l’utérus devrait commencer à 25 ans environ et être mieux ciblée. On veut donc rendre les choses plus efficaces pour les femmes qui doivent subir le test.

Pour terminer, notons que le risque de cancer du col de l’utérus est passé de 1,5 % à 0,66 %. Les taux de mortalité sont aussi en baisse, passant de 0,94 % à 0,22 % depuis la mise en place du fameux test PAP.

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Naissances prématurées : un gel vaginal n’est pas la solution

Selon le comité de la FDA Reproductive Health Drugs Advisory, le gel développé par Watson Pharmaceuticals et Columbia Laboratories n’a pas raison d’être commercialisé.

Sachant qu’un col de l’utérus plus court que la normale (≤ 3 cm à 24 semaines de gestation) est un facteur de risque bien connu pour les naissances prématurées, la compagnie pharmaceutique a mentionné que son gel diminuait le taux de raccourcissement du col et qu’il conduisait à une réduction des naissances prématurées.

Cette mention ne se révèle en fait pas totalement vraie. 465 femmes avec un col plus court, provenant de 10 pays différents, ont participé à l’étude.

Près de 9 % des femmes traitées avec le gel avec un taux de progestérone de 8 % ont donné naissance avant 33 semaines de gestation, comparativement à 15,2 % des femmes qui recevaient le placebo.

En ce qui a trait aux effets indésirables, aucune différence n’a été remarquée entre le gel à la progestérone et le placebo.

Le gel à la progestérone n’a donc pas été approuvé dans aucun pays pour la réduction du risque d’accouchement prématuré.

Rappelons que le taux de prématurité aux États-Unis a augmenté depuis 1990; 13 % des naissances sont concernées.