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Marc Bergevin a offert à Cole Caufield de jouer à Laval

Cole Caufield a appris il y a deux mois via un média francophone  que le Canadien n’allait pas lui suggérer de faire le saut dans la LNH la saison prochaine.

Or, on a aussi appris que la direction du CH lui avait indiqué le lendemain de cet article paru dans La Presse qu’elle lui préférait le voir évoluer une deuxième année dans la NCAA, mais qu’elle était aussi à l’aise avec l’idée de le faire graduer chez les professionnels… mais dans la Ligue américaine. 

Bref, Marc Bergevin a demandé à Cole Caufield de choisir entre l’Université du Wisconsin (NCAA) et le Rocket de Laval (Ligue américaine).

S’il avait décidé de s’amener à Laval, Caufield (15e choix) aurait signé un contrat d’entrée semblable à celui de Nick Suzuki (13e choix). Il aurait donc touché des bonis d’environ 100 000 $ US chacun le 1er juillet 2020, 2021 et 2022. Il aurait aussi gagné environ 70 000 $ par saison à Laval (et près d’un million $ s’il avait été rappelé par le Canadien). Bien sûr, quelques bonis à la performance auraient pu être ajoutés au contrat, mais ils auraient été difficiles à atteindre en étant dans la Ligue américaine.

Au final, Caufield a pris la bonne décision. Il pourra tenter de poursuivre sur sa bonne lancée, lui qui a récolté une moyenne d’un point par match à sa première année universitaire.

Il pourra aussi participer aux championnats mondiaux junior et y tenir un rôle important cette fois.

Et il y a fort à parier qu’il viendra compléter son année de hockey à Laval ou à Montréal en mars prochain, surtout que son équipe risque d’être éliminée très tôt. 

K’Andre Miller et Alex Turcotte ont quitté… et le Wisconsin occupait déjà le dernier rang du Big 10 cette année!

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Voyez les 19 buts de Cole Caufield cette saison

C’est long des semaines entières sans hockey…

Surtout quand le beau temps n’est pas encore au rendez-vous et que l’on ne peut pas remplacer le hockey par un autre sport comme le football, le baseball, le soccer ou le basketball!

En attendant, on a trouvé une petite vidéo de deux minutes que la plupart d’entre-vous apprécierez peut-être, soit celle des 19 buts de Cole Caufield à sa première année dans la NCAA! 

On peut voir qu’il a son endroit de prédilection pour inscrire ses buts (à la gauche du filet), mais aussi qu’il possède d’excellentes mains et un tir précis (et vif) même lorsqu’il est décoché d’ailleurs sur la patinoire.

C’est l’assistant aux opérations hockey chez le Rocket qui a partagé cette vidéo-là sur les réseaux sociaux.

Rappelons que Caufield est en nomination pour le titre du joueur de l’année dans sa conférence universitaire (Big 10) et pour celui de recrue de l’année (aussi dans le Big 10), mais qu’il ne fait pas partie de 10 finalistes au réputé trophée Hobey-Baker

Ses 36 points en 36 matchs à seulement 18 ans durant une bonne partie de la campagne ont de quoi impressionner!

Rappelons aussi que Caufield, qui a terminé au 25e rang des pointeurs et au 11e rang des buteurs de la NCAA en 2019-20, reviendra dans le circuit universitaire américain la saison prochaine.

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Cole Caufield est au moins 4 fois plus populaire que le CH

Cole Caufield possède un don de Dieu, soit celui de marquer les yeux fermés à la Alex Ovechkin. Très peu de joueurs peuvent se vanter de détenir un tel don. On peut parler de Brett Hull, Alex Ovechkin et Steven Stamkos. C’est du moins les noms qui m’apparaissent aussitôt lorsque je pense à ceux qui possèdent un tel don.

C’est vrai, Caufield n’a toujours joué aucune rencontre dans le circuit Bettman, mais lorsqu’un joueur marque des goals de cette façon, il est conscient que cette cadence se poursuivra dans la LNH. En tout cas, s’il n’en est pas conscient, Tony Granato l’est, lui. L’entraîneur de Caufield au Wisconsin l’a d’ailleurs comparé aux trois joueurs cités plus haut. Tout ça me guide vers cette statistique déconcertante à son sujet :

Caufield figurait au sommet des joueurs les plus populaires sur le site Hockey DB il y a quelque temps, et aujourd’hui, il se retrouve encore au premier rang, mais via le Elite Prospects. Son profil a été visité à 14 214 reprises la semaine dernière, loin devant son ancien coéquipier, Jack Hughes (11 434). Alexis Lafrenière se positionne au 3e échelon, et Quinton Byfield, au 9e, ce qui n’est pas si mal.

Chez les organisations, toujours sur cette plate-forme, on y retrouve les Leafs, les Hawks, les Wings, les Oilers, les Sabres et même l’Université du Wisconsin… alors que le Canadien ne fait pas partie du top-10. L’équipe suédoise du Leksands IF se classe au 10e rang avec 3622 consultations. Donc, d’où la provenance d’un calcul mathématique simple. Le CH a moins de 3622 visites, puisqu’il ne se retrouve pas dans le top-10, et Cole Caufield en 14 214, ce qui donne au moins 4.03 fois plus de visite (pour Caufield) que le CH.

Le petit bonhomme est populaire et si tout se passe comme prévu, il devrait marquer autant de buts que sa popularité au niveau de la NCAA cette année.

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Cole Caufield : le rêve avant la LNH

Cole Caufield, c’est une machine à scorer (dixit le chum Bob Bissonnette). Il est le sujet de l’heure et le joueur le plus populaire via Hockey db lors des dernières heures.

Son entraîneur actuel l’a d’ailleurs encensé en le comparant à nuls autres que Brett Hull, Alex Ovechkin et Steven Stamkos. C’est mettre beaucoup de pression sur les épaules d’un kid de 18 ans, mais comme Tony Granato l’a soulignée avec justesse, il est spécial. Souvent, un joueur va dominer au niveau junior (ou universitaire), mais lorsqu’il débarque chez les grands, il fait pouet pouet.

Dans le cas de Caufield, son statut est différent de ces gars-là. À l’instar de Sidney Crosby ou Alex Ovechkin, on sait qu’il débarquera au sein de la Ligue nationale et qu’il performera aussitôt. Il est un joueur qualifié de générationnel et son nom se retrouvera sur tous les plans de match des équipes adverses. Caufield peut marquer de n’importe où et aucun plan ne sera suffisamment solide pour le stopper.

Non, mais, même si je le pense aussi, tous ces propos viennent du clapet de Tony Granato, un gars qui a joué 774 rencontres dans la LNH. Le petit numéro 8 est unique avec son sourire, son tir vif et ses mains qui opèrent avec autant de précision que les meilleurs chirurgiens du monde. Alors, pourquoi est-il sorti au 15e rang? Plusieurs réponses peuvent s’y attacher, dont son rêve d’évoluer au sien de l’organisation du Wisconsin (c’est pour ça qu’on a peut-être pas forcé la main pour qu’il amorce sa carrière chez les pros dès maintenant), sa taille ou son manque de maturité physique.

Voici d’ailleurs les propos recueillis par Jonathan Bernier au sujet de ce rêve :

D’aussi loin qu’il se souvienne, Cole Caufield a toujours chéri le désir d’atteindre la LNH. Toutefois, avant de réaliser cet objectif ultime, il devait réaliser un premier rêve, celui de porter les couleurs des Badgers de l’Université du Wisconsin.

Les joueurs chez les Badgers sont traités comme de vrais professionnels, rien de moins! Et avec Tony Granato qui pilote le navire, Caufield sera prêt à entamer sa carrière professionnelle du bon pied et faire mentir tout le monde au sujet de sa position lointaine de sélection. À mes yeux, il est un top-5 et je le martèle depuis le début.

S’il débarque à Montréal à la fin mars, retenez bien ce texte.

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CH : Cole Caufield est en feu

Cole Caufield a débuté sa carrière universitaire avec trois matchs consécutifs de deux buts. Son coach l’a même comparé à Alex Ovechkin, Steven Stamkos et Brett Hull! Quel exploit pour un jeune de 18 ans qui ne mesure que 5’7!

Caufield est ce matin le joueur ayant le meilleur ration Buts/Match de toute la division 1 de la NCAA. Wow!

(Crédit: NCAA)

Il est aussi le meilleur buteur du circuit… même s’il vient de connaître un premier match sans aucun point ce week-end.

(Crédit: NCAA)

On ne doit donc pas s’étonner de voir Caufield faire la une sur à peu près tous les médias sportifs québécois en jour de congé chez le Canadien.

TVA Sports nous rapporte que le frère aîné de Cole Caufield a permis à ce dernier d’être challengé depuis sa tendre enfance… et qu’aujourd’hui, il est son fan #1!

Brock et Cole ont été séparés durant trois ans et ils sont très heureux de se retrouver cette saison à l’Université du Wisconsin. Avant, Cole se motivait en observant son grand frère. Ça a changé de bord maintenant!

Le plus récent choix de premier tour du Canadien avoue que Jack Hughes est le meilleur joueur de hockey avec qui il a eu la chance de jouer jusqu’ici dans sa carrière. Le voir traverser des moments difficiles lui fait réaliser à quel point le niveau de la LNH est relevé. Rappelons que Caufield espère être prêt pour ce niveau dès le printemps.

Le Journal de Montréal nous a quant à lui confié que la chimie est naturelle entre Alex Turcotte et Cole Caufield. Ils ne veulent jamais quitter la patinoire!

Turcotte est le fabricant de jeux et Caufield, le tireur d’élite. Ils se complètent bien. Turcotte est actuellement le 5e meilleur pointeur de la NCAA. Caufield et lui forment clairement le duo de l’heure dans ce circuit!

Rappelons que Turcotte a été repêché au cinquième échelon overall par les Kings en juin dernier.

The Hockey News s’est demandé si Caufield sera bel et bien en mesure de percer l’alignement du Canadien dans 11 mois. Fort probablement… et peut-être même le printemps prochain! Mais sous les ordres d’un gars comme Claude Julien? En pleine course aux séries?

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Cole Caufield pourrait rejoindre le Canadien dès mars 2020

On s’est demandé à quelques reprises cet été quelles étaient les chances de voir Cole Caufield renoncer à sa première année dans la NCAA et signer un contrat d’entrée avec le Canadien dès cette année. Au final, les deux parties ont pris la bonne décision. Caufield disputera la saison 2019-20 avec les Badgers du Wisconsin. Le fait de jouer sous les ordres de Tony Granato dans un calibre un peu plus faible que le hockey professionnel ne lui nuira certes pas. D’autant plus qu’il aura davantage de temps pour se muscler en gymnase.

Rappelons que Caufield n’a que 18 ans. Il ne mesurait que 5’7 et il ne pesait que 162 livres quelques heures avant d’être repêché par le Canadien.

Cependant, Marc Bergevin a confié que le plan était de promouvoir Caufield chez les professionnels à court terme. Ça ne prendra pas 4 ans!

Samedi soir, sur les ondes de RDS (Table d’hôte), on a pu entendre Marc Bergevin aller encore plus loin.

Caufield pourrait rejoindre le Rocket ou le Canadien dès mars 2020. La saison régulière des Badgers se terminera le 29 février prochain. Ensuite, ce seront les séries…

Si l’équipe de Tony Granato ne fait pas un long bout de chemin en playoffs, il y a de bonnes chances de voir le CH faire signer un contrat à Cole Caufield et amener ce dernier à Laval ou à Montréal pour terminer la saison.

Par contre, une équipe qui pourrait compter sur Cole Caufield, Alex Turcotte, K’Andre Miller, Sean Dhooghe (5’3) et Brock Caufield (frère de Cole) pourrait bien connaître une excellente saison… qui empêcherait Caufield de tourner pro en fin de campagne. #Wisconsin

Rappelons qu’un joueur qui a signé un contrat professionnel ne peut plus évoluer dans le système scolaire américain.

Si Caufield ne se joint pas au CH (ou au Rocket) en mars 2020, ça ira à la saison 2020-21… ou, dans le pire des scénarios, à mars 2021. Chose certaine, Caufield ne passera pas trois – quatre ans à l’Université du Wisconsin.

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CH : Cole Caufield encensé

Cole Caufield aurait certes pu jouer au sein de la Ligue nationale dès la campagne 2019-20, mais tout indique qu’il endossera un maillot de l’Université du Wisconsin avant le grand saut. D’ailleurs, le pilote en chef de cette formation universitaire, Tony Granato, n’a pas tardé à évacuer son opinion concernant son poulain :

Personnellement, je pense que sa compréhension du jeu et la manière de le jouer sont déjà au niveau de la LNH. – Granato

C’est bien beau tout ça, mais laissons-le se développer sans lui ajouter une telle lourdeur sur les épaules. Il n’est pas question de pression supplémentaire, mais d’une réalité. Posséder un don aussi remarquable pour enfiler l’aiguille de façon aussi précise en plus de flairer les espaces où se positionner pour être à la vue de ses coéquipiers, ce n’est pas donné à tous les joueurs de hockey. Un marqueur de cette trempe passe pratiquement au dix lors d’un encan amateur, tenez-le pour dit.

Les Badgers de l’Université du Wisconsin s’entraînent depuis un moment, donc Granato a rapidement constaté l’immense talent de son petit attaquant.

Sa capacité à marquer, sa capacité à se démarquer et à être visible dans une zone pour marquer est de niveau élite. Sa compétitivité… Nous le savions bien avant de commencer les pratiques, rien qu’en l’observant au cours des dernières années avec l’équipe américaine et en le regardant lors de compétitions internationales. Ce gamin est un compétiteur, il est un ouvrier. Il veut être le premier dans les exercices; il veut toujours en faire plus. – Granato

Sous les ordres de Granato, Caufield jouera à outrance, il s’améliora et il épatera les galeries pendant son séjour avec cette équipe. Si vous êtes du côté de Vancouver ce week-end, le Wisconsin se mesurera aux Thunderbirds de l’Université de la Colombie-Britannique lors de deux joutes hors-concours prévues au programme d’entraînement. Une rencontre le 30 août et l’autre, le 1er septembre.

Bref, tout y est pour Caufield, il ne lui reste qu’à se préparer pour un calendrier de 82 rencontres et Granato sera là pour lui indiquer les trucs du métier à ce niveau pendant son passage à l’université.

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Cole Caufield : Ce sera Montréal ou le Wisconsin

Contre toute attente, Jesperi Kotkaniemi s’est taillé un poste avec le grand club en octobre dernier. Pourtant, lors du camp estival, personne n’aurait pu prédire une telle chose.

Depuis quelques jours, suite aux commentaires de Trevor Timmins et de Cole Caufield lui-même (Caufield pourrait ne PAS jouer pour l’Université du Wisconsin la saison prochaine), plusieurs se sont demandés si le premier choix du CH cette année pourrait parvenir à imiter son prédécesseur (Kotkaniemi).

Sinon, plusieurs se sont aussi demandés si l’Américain pourrait décider de jouer dans le circuit junior canadien, soit avec les Greyhounds de Sault Ste.Marie (qui possèdent ses droits dans la CHL).

Et on s’est longtemps demandé si l’option Laval (AHL) existait pour Caufield? Semble-t-il que oui, ce serait théoriquement possible…

Mais Eric Engels (Sportsnet) a confié ce matin que Caufield allait faire un choix entre deux équipes seulement : Le Canadien ou l’Université du Wisconsin.

À première vue, ça a beaucoup de sens. Les espoirs américains décident souvent entre la LNH ou l’université…

MAIS

Caufield devra se décider rapidement.

Un joueur ayant signé un contrat professionnel ne peut plus jouer dans la NCAA.

Et un joueur qui évolue dans la NCAA doit être sur les bancs d’école en septembre.

Or, Caufield et le Canadien devront évaluer au cours des prochaines semaines les chances réelles de voir le petit attaquant de 18 ans percer la formation montréalaise. Si elles sont bonnes, ça compliquera les choses. Caufield devra accepter de se pointer au camp du CH et ainsi tourner le dos à l’université… sans être certain de faire l’équipe. Et sans avoir comme plan d’aboutir à Sault Ste.Marie ou Laval.

Bref, si Engels dit vrai, on doit comprendre que soit le CH confirmera à Caufield au cours des prochaines semaines qu’il portera les couleurs du grand club, soit Caufield décidera de disputer la prochaine campagne à l’université.

Intéressant…

Avec le gabarit de Caufield et le nombre de petits joueurs avant le grand club, je suis convaincu que l’option d’aller au Wisconsin est la meilleure pour tout le monde.

Surtout que Caufield est originaire de là-bas, que son frère Brock y évolue et que le programme de cette université a développé de nombreux NHLers : Jake Gardiner, Jake McCabe, Ryan McDonagh, Joe Pavelski, Justin Schultz, Craig Smith, Derek Stepan, Ryan Suter, Kyle Turris et j’en passe.

Et… Tony Granato est l’entraîneur de l’équipe masculine de l’université du Wisconsin.

Caufield devra avoir pris sa décision avant la fin du mois d’août.

En rafale

– Josh Gorges, Shea Weber, Carey Price, Brendan Gallagher, Karl Alzner, Brian Gionta et plusieurs autres joueurs participeront à un match de balle-molle caritatif dans deux semaines. [Canadiens] #Kelowna

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CH : Cole Caufield se fait surprendre à chanter !

Le nom de Cole Caufield demeure sur toutes les lèvres depuis sa sélection et avec raison puisqu’il demeure un marqueur pratiquement de la trempe du grand Alex Ovechkin.

Ce n’est pas rien, ça! Néanmoins, certains adeptes du CH et anti-canadiens ne font que soulever une seule chose sans avoir observé les prouesses hallucinantes du kid : un autre petit de 5 pieds 7.

Ouin, pis? Caufield compétitionne comme pas un. Il joue toujours la pédale au plancher et il a soif de s’améliorer constamment. Arrêtez de fixer vos yeux sur sa taille et prenez donc 4 minutes pour visionner ceci :

Livre pour livre, il détient le meilleur lancer de la dernière cuvée, rien de moins!

Le jeune a été accueilli en héros par Brendan Gallagher et par les fanatiques qui sont axés sur le positif et non sur une seule donnée négative. On parle ici d’un choix de premier tour, qui malgré sa petite stature, joue comme un gars de 6 pieds 4. En plus de ça, il est en mesure d’offrir un lip-sync presque parfait, ce qui donnera un peu de personnalité au Canadien de Montréal.

Cette vidéo date du 2 janvier dernier et elle a été prise par Johnny Beecher, son coéquipier au sein de l’équipe nationale des États-Unis. On voit ses lèvres suivre la pièce You Found Me, du groupe rock (originaire du Colorado), The Fray. Lorsqu’il voit qu’il est filmé à son insu, il étale son grand sourire. Cette séquence démontre bien la personnalité du jeunot, qui devrait recevoir une tonne d’amour des partisans montréalais qui s’exclameront certes devant les buts qu’il enfilera.

Un jeune homme divertissant avec de la répartie, qui viendra combler une lacune importante au sein de cette organisation : enfiler l’aiguille à profusion. Imaginez un duo avec Jesperi Kotkaniemi. Avouez!

En rafale

– Cole Caufield a déjà beaucoup de pression sur les épaules puisque certains l’ont déjà comparé à Marcel Dionne et Martin St. Louis.

– Évidemment, les Blues de Saint-Louis n’ont pas tardé à déposer une offre de trois campagnes à Craig Berube, qui a changé l’identité de cette formation en peu de temps.

– Le vétéran Brooks Orpik, un homme de grande classe et un leader exemplaire, a mis un terme à sa carrière. Orpik aura évolué pendant 16 ans au niveau de la Ligue nationale.

– En transigeant Carl Soderberg, Joe Sakic a créé de la place pour un jeune comme Tyson Jost.

– Rappel : Jack Hughes a présenté son numéro… déjà!