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Manger des croustilles est pire qu’on aurait pu le croire

Nous savons tous que les croustilles contiennent du gras, du sel, du sucre et des amidons. Ce qu’on ne sait pas nécessairement par contre, c’est que depuis des décennies, les producteurs alimentaires ont transformé les croustilles des années soixante-dix, qui représentaient alors un petit goûté sans danger, en produits conçus pour nous rendre accros par un procédé appelé « la chimie de précision ».

Selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine par le cardiologue et chercheur alimentaire Dariush Mozaffarian, les croustilles seraient maintenant les plus grandes contributrices à l’épidémie d’obésité aux États-Unis.

Il dit : « Tous les aliments ne sont pas égaux. Manger avec modération ne suffit pas toujours ».

Il a aussi été suggéré que le contenu de ces produits ne contribuerait pas seulement à l’obésité et aux épidémies de maladies cardiaques. Un apport important de croustilles peut non seulement déséquilibrer le corps des enfants et des adultes, mais pourrait aussi être dangereux pour les enfants à naître.

Une étude britannique aurait aussi démontré que la consommation de grandes quantités de frites et de croustilles lors de la grossesse pouvait autant nuire au bébé qu’une future mère fumeuse.

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Les petits encas satisfont autant l’appétit que les gros

(Relaxnews) — Les personnes qui adorent grignoter noteront qu’une étude américaine avance que les petites portions de croustilles ou de bonbons dont on raffole satisfont autant les fringales que les grosses quantités.

L’étude de l’Université Cornell a été menée auprès d’une centaine d’adultes à qui on a donné de petites et de grandes portions du même encas.

Le groupe de plus gros mangeurs a consommé environ 100 calories de plus que l’autre. Les deux groupes ont cependant rapporté une baisse significative de leur envie de nourriture 15 minutes après l’encas, ce qui laisse entendre que les grosses portions ne sont pas nécessaires.

 « Ces recherches montrent que la notion d’alimentation plaisir — la faim hédoniste — est plus motivée par la disponibilité d’aliments que par la nourriture déjà consommée », note le coauteur de l’étude Brian Wansink, dans un communiqué.

Il ajoute : « Manger un petit peu satisfait la faim et n’amplifie pas l’envie de grignoter ».

« Si vous voulez contrôler votre poids, voici le secret : prenez un tout petit encas et attendez. Après 15 minutes, votre estomac et votre cerveau se souviendront uniquement qu’ils ont eu droit à un bon encas », conclut le professeur Wansink.

Ces résultats sont parus dans la revue Food, Quality and Preference.

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La malbouffe et les grignotines augmenteraient les risques de cancer du côlon

Ne jetez pas vos sacs de croustilles à la poubelle tout de suite, car ce qui suit concerne en premier lieu les gens qui sont déjà à risque de développer un cancer du côlon dans leur vie.

Les résultats de l’étude qui suit peuvent également s’appliquer à tout le monde et envoient un autre signal d’alarme concernant la malbouffe et les collations composées de grignotines mauvaises pour la santé.

C’est que selon l’étude rapportée par www.nlm.nih.gov, des chercheurs des Pays-Bas ont réussi à déceler un risque accru de cancer du côlon chez les gens qui ont déjà des prédispositions envers cette maladie, génétiquement ou via un syndrome comme celui de Lynch, par exemple.

On explique qu’en suivant 486 patients prédisposés à ce type de cancer, les chercheurs concluent que les risques de développer cette maladie en ne mangeant pas sainement et en consommant des collations malsaines augmentent drastiquement… parfois même jusqu’à 50 %.

« Nous avons remarqué chez les patients atteints du syndrome de Lynch qui avaient de mauvaises habitudes alimentaires (croustilles, aliments frits, etc.) un risque accru de 50 % de développer un cancer du côlon que chez ceux qui s’alimentaient bien », confirme Akke Botma, de l’Université Wageningen.

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Collations : Comment bien tricher

Il est si plaisant d’ajouter une collation à sa journée. Malheureusement, en cette ère de bonne nutrition et de culpabilité gastronomique, il est fréquent de se sentir coupable lorsqu’on triche son régime au courant de la journée.

La solution réside peut-être dans le choix des collations. « Tricher sainement », est-ce possible? Il semble qu’il y ait de l’espoir pour 80 % des Canadiens qui avouent s’offrir des collations quotidiennement.

D’abord, selon Conseilsnutrition.tv, la clé d’une bonne collation réside dans le taux glucides/protéines, afin d’obtenir le maximum d’énergie tout en soutenant l’organisme longtemps, disons jusqu’au prochain repas.

Du nombre des aliments recommandés, on retrouve les fruits, les noix, les légumes (et jus de légumes), le fromage (un morceau, ou encore du fromage cottage) et certaines barres tendres (vérifier la teneur en sucre).

Si ce ne sont pas là des choix appréciés de tous, sachez qu’en choisissant bien, il est « permis » de savourer non pas une collation dans la journée, mais deux!

Les craquelins de riz sont également recommandés, eux qui ne contiennent que très peu de calories. Les croustilles et autres éléments de machines distributrices sont bien sûr à éviter.

Avoir ses propres collations sous la main évite de craquer facilement pour les nombreux produits néfastes retrouvés partout dans votre environnement.

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Retrouver le plaisir de manger le soir

Depuis que la guerre aux kilos est entamée dans notre société, nombreux sont les comportements désormais « interdits » par la communauté scientifique et médicale.

Ainsi, en suivant les indications des nutritionnistes et autres spécialistes, les sacrifices sont nombreux. L’un de ceux-là est de ne plus manger le soir.

En fait, il s’agirait plutôt d’un mythe, affirme www.conseilsnutrition.tv. De l’espoir pour les amoureux des collations nocturnes?

D’abord, il faut comprendre que le problème n’est pas vraiment le fait de manger après que le soleil se soit couché. Si la nourriture ingérée s’inscrit dans votre apport calorique quotidien normal, voilà qui ne causerait pas de problème.

Il faut donc être attentif aux signaux du corps et éviter de manger lorsqu’on n’a pas vraiment faim. Grignoter durant de longues heures devant la télévision demeure donc un ennemi du tour de taille.

Également, un problème qui peut survenir la nuit, c’est de manger lorsqu’on est épuisé et affamé. Dans ces conditions, il est facile de craquer pour de « mauvais » aliments, plus gras et moins nutritifs.

Si vous êtes friands des repas en soirée, il suffit donc de choisir les bons aliments et de surveiller vos calories durant le jour, afin de « garder de la place » dans votre apport quotidien.

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Les raisins secs contre la faim

En fait, manger ce fruit permettrait non seulement de contrôler la faim, mais aussi de consommer une quantité réduite de calories par rapport à la consommation d’un autre type de fruit.

C’est ce qu’a révélé une étude subventionnée par le California Raisin Marketing Board. Des enfants de 8 à 11 ans ont mangé différentes collations (raisins secs, biscuits aux pépites de chocolat, croustilles et raisins frais) jusqu’à ce qu’ils se disent rassasiés.

L’appétit a été mesuré avant et après la collation, permettant aux experts de constater que les enfants mangeaient moins après avoir grignoté des raisins secs. Ils absorbaient donc moins de calories et la portion de nourriture mangée au repas suivant la collation diminuait de 10 à 19 %.

« Nous avons constaté que la consommation de raisins secs en tant que collation permettait d’éviter la consommation excessive de calories, qu’elle augmentait la sensation de satiété et qu’elle pouvait ainsi contribuer à la conservation d’un poids santé chez les enfants d’âge scolaire », explique le chercheur derrière cette étude, Harvey Anderson.

Rappelons également que les raisins auraient la propriété de protéger contre le cancer de la peau et le vieillissement prématuré.

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Comment faire pour que son enfant mange bien?

Des chercheurs de l’Université du Michigan révèlent dans l’American Journal of Clinical Nutrition que les enfants des mères qui se goinfrent de malbouffe ont un mauvais exemple et ainsi plus de risques d’adopter de mauvaises habitudes alimentaires.

Les mères qui sont restrictives, crient ou obligent leurs enfants à manger certains aliments risquent de connaître un moins grand succès que celles qui amadouent et encouragent, explique l’auteure principale de l’étude et professeure experte en nutrition, Sharon Hoerr, qui a observé les habitudes alimentaires de familles à faible revenu.

Mme Hoerr affirme que les femmes qui désirent voir leurs enfants bien manger devraient fournir un environnement alimentaire sain à la maison. Ainsi, elles ne seraient pas obligées de restreindre, contrôler secrètement ou surveiller leurs petits, tentés par la malbouffe.

Elle rappelle qu’interdire certains aliments à l’heure du repas peut conduire l’enfant à mal se nourrir, mais aussi à devenir difficile. Avec ce type d’enfants, il est mieux d’expliquer doucement l’importance de bien manger que de forcer ou de crier.

Maintenir un horaire régulier pour les heures de repas et donner de petites collations santé fréquentes durant la journée favorise également la situation, tout comme faire participer les enfants à faire le marché, cuisiner ou faire pousser des légumes dans la cour.

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Tous les fruits ne sont pas bons en collation

Bien que tous les fruits soient bons pour la santé, en manger trop peut avoir un impact négatif sur l’organisme, et certains plus que d’autres.
 
Si la fringale vous prend, il est toujours plus judicieux d’opter pour des fruits. La famille des baies, comme les bleuets, les fraises et les framboises, est un excellent choix. Ces fruits regorgent de vitamines et d’antioxydants.
 
Les pommes, les poires et les avocats sont riches en vitamine C et en fibres pour une bonne digestion.
 
Attention, les melons et pastèques contiennent beaucoup de sucre. Il serait préférable de réduire leur consommation si vous êtes diabétique, par exemple.
 
Les ananas aussi ont beaucoup de sucre, mais ils contiennent de nombreux éléments nutritifs, dont l’enzyme broméline qui réduit l’inflammation.
 
Même chose pour les mangues et les papayes à consommer avec modération. Remplacez-les plutôt par des bananes. Bien qu’elles contiennent une bonne quantité de sucre, elles sont reconnues comme une excellente source d’énergie.
 
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La collation du matin nuit au régime

Les femmes qui suivent un régime pour perdre du poids en perdent moins si elles prennent une collation en milieu de matinée.
 
Une étude parue dans le Journal of the American Dietetic Association mentionne que si vous succombez à une collation en matinée, la perte de poids sera d’environ 7 %, comparativement à 11 % sans collation.
 
Selon les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center, si la faim se fait sentir entre les repas, la collation n’est pas à proscrire, mais vous pouvez opter pour des yogourts allégés, des noix, des fruits, des barres de grains entiers, et pour boire, de l’eau simplement.
 
« Grignoter en milieu de matinée est le reflet d’un moment de détente ou d’une habitude alimentaire plutôt que d’un besoin de satisfaire sa faim. Alors que le grignotage juste avant l’un des repas principaux peut être préjudiciable à la perte de poids, attendre trop longtemps entre les repas peut également saboter les efforts d’un régime alimentaire », mentionne la Dre Anne McTierman.
 
« Beaucoup de femmes pensent qu’un programme de perte de poids demande forcément la sensation de faim. Notre étude suggère que le grignotage peut réellement aider à perdre du poids s’il n’est pas trop près d’un autre repas, en particulier si les collations sont des aliments sains qui peuvent aider à se sentir rassasié, sans un apport trop important de calories », ajoute-t-elle.
 
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L’influence de la mère, même au déjeuner

Une maman qui déjeune a aussi de bonnes habitudes alimentaires et a un poids santé. De plus, le saut du déjeuner et la tendance à manger des collations caloriques constituent des exemples transmis à l’enfant, d’où le passage de l’obésité d’une génération à l’autre.

Ce sont là quelques conclusions d’une récente étude ayant porté sur la prévention de l’obésité de l’École Brown de l’Université Washington à St-Louis. Pour ce faire, on a suivi 1 330 adolescentes en période de postpartum réparties dans 27 États américains.

Les participantes devaient rendre compte de ce qu’elles avaient mangé au déjeuner, à la collation et ce qu’elles avaient bu comme boissons, et ce, sur sept jours.

On a vite remarqué que celles qui déjeunaient de 6 à 7 jours par semaine ingéraient 1 197 kilocalories de moins en collation et 1 337 kilocalories par semaine de moins en boissons gazeuses. De plus, elles avaient un indice de masse corporelle inférieur à celles qui déjeunaient moins de deux jours par semaine.

Finalement, les fruits et légumes, le lait, l’eau et les céréales à l’heure de la collation étaient plus fréquents chez les jeunes mères qui déjeunaient.

Les résultats complets de cette étude sont parus dans le Journal of the American Dietetic.