Catégories
Uncategorized

Les enfants qui ont des cartes débit mangent plus

Au contraire, il semblerait que les enfants ou adolescents qui paient comptant font des choix plus « santé ». Plus de fruits et légumes, mais également moins de desserts.

L’économiste comportemental Brian Wansink, de la Cornell University, affirme : « Les enfants sont beaucoup, beaucoup plus sujets à prendre des desserts et bien moins susceptibles de prendre des fruits et légumes avec leur carte de débit ».

La recherche a été menée auprès de 2300 étudiants provenant de 287 écoles, de la première année du primaire jusqu’à la dernière année du secondaire, rapporte Science World Report.

Les résultats démontrent que les jeunes qui paient comptant sont 3 fois plus portés à se procurer des légumes. Ils consomment aussi 10 % de moins de calories.

La raison invoquée par Wansink? La carte débit est trop abstraite pour les enfants et, par conséquent, ils se préoccupent moins de leurs actions lorsqu’ils l’utilisent.

La solution proposée par l’économiste est simple, mais peut s’avérer très efficace. Les écoles, selon lui, devraient vendre les desserts et collations sucrées à la caisse d’argent comptant uniquement.

Catégories
Uncategorized

L’épidémie des collations

Selon une étude américaine récente, à la fin des années 70, les enfants âgés de 2 à 6 ans ne mangeaient qu’une seule collation entre les repas. Aujourd’hui, c’est plutôt trois. Ça donne un nombre de collations considérables à la fin de la journée!

Les collations sont importantes, « parce que les enfants ont à la fois un petit estomac et de grands besoins énergétiques », affirme une spécialiste en alimentation des petits, la Dre Katja Rowell.

Toutefois, si les enfants mangent constamment tout au long de la journée, ça ne leur donne pas la chance de comprendre leur faim et leur sentiment de satiété.

Cela pourrait même les rendre plus difficiles : si les enfants arrivent à table et qu’ils n’ont pas vraiment faim, ils seront beaucoup moins enclins à essayer de nouveaux aliments.

Les experts de l’obésité croient maintenant que la fréquence de l’alimentation, et pas seulement la grosseur des portions, est responsable du nombre de calories excessif que consomment beaucoup d’enfants. L’obésité chez les enfants peut survenir avec seulement 165 calories de trop par jour : c’est à peine une poignée de croustilles!

Les parents auraient donc intérêt à limiter les collations et à bien les choisir parmi les aliments équilibrés, qui ne donneront pas faim tout de suite après.

Catégories
Uncategorized

Des outils pour éviter que les jeunes soient tentés par la malbouffe

L’obésité chez l’enfant n’est pas unique à l’Europe. Cependant, la firme TEMPEST, regroupant plusieurs chercheurs, dont Liliya Nureeva de l’Université Aarhus, a choisi de se pencher sur les outils nécessaires pour enrayer la tentation à la base.

La raison est simple, on ne peut pas éliminer la malbouffe, les sucreries et autres collations malsaines. Il faut donc s’attaquer à la tentation de céder à ces gâteries déjà prêtes à consommer et faciles à se procurer.

La première solution consiste à responsabiliser l’enfant sur ses propres habitudes alimentaires et le faire participer activement à la solution pour améliorer sa santé.

Selon Nureeva, « certains enfants s’octroient, par exemple, le droit de manger des sucreries seulement le weekend, alors que d’autres s’obligent à manger des fruits chaque jour. Il est important qu’ils déterminent eux-mêmes une partie de leurs limites ».

Dans un livre de poche qui sera publié d’ici la fin de l’année, la firme TEMPEST décrira de nombreux trucs et astuces pour aider les enfants à se départir de leurs mauvaises habitudes alimentaires, mais également des trucs pour les parents, professeurs ou tout autre adulte en contact avec les enfants.

Le problème demeure complexe, mais TEMPEST a bon espoir de diminuer considérablement les catalyseurs de la tentation.

Catégories
Uncategorized

Des collations à base d’huile de poisson?

L’équipe de l’Université Laval a démontré que les protéines de tous les poissons pouvaient aider à prévenir le diabète de type 2, car elles améliorent la tolérance au glucose.
 
Ainsi, Le Soleil rapporte que les chercheurs tentent de mettre au point des muffins ou des jus à base d’huile de poisson, parce que la majorité des gens ne consomment pas assez de poisson.
 
On souhaite parvenir à extraire certaines substances des produits marins, qui seront ainsi purifiées de tous contaminants, pour les intégrer à d’autres aliments que les gens consomment davantage, afin de faire profiter des propriétés bénéfiques pour la santé.
 
Cela peut prendre encore plusieurs années avant d’y parvenir. Entretemps, on rappelle que le meilleur moyen de prévenir le diabète de type 2 et d’autres problèmes de santé est d’adopter de saines habitudes de vie, incluant une alimentation équilibrée et un programme d’exercices physiques régulier.
 
Catégories
Uncategorized

Attention aux collations

Des psychologues de l’Université de Bristol ont découvert que certains enfants prenant régulièrement des collations courraient la chance de développer un problème de surpoids.

Certains enfants s’attendent à devoir manger une collation afin de se sentir repus. C’est à ce moment qu’ils peuvent développer un problème alimentaire, croient les scientifiques.

L’étude publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition met en évidence les risques de devenir obèse si l’apport calorifique des collations n’est pas contrôlé.

L’impression d’avoir ou non assez mangé est importante, puisque souvent, elle dicte la grosseur des portions que nous servons. Si des enfants croient qu’ils doivent manger une collation pour se sentir repus, et que la collation est trop calorifique, les problèmes d’obésité peuvent survenir.

Catégories
Uncategorized

Les collations seraient bénéfiques pour les adolescents

Les adolescents qui prennent des collations durant la journée seraient moins susceptibles d’être en surpoids ou d’être obèses.
 
Après avoir étudié 5 800 adolescents américains, les chercheurs ont constaté que l’obésité et l’obésité abdominale étaient diminuées si les jeunes prenaient des collations, rapporte l’American Journal of Clinical Nutrition.
 
En fait, chez ceux qui ne prenaient pas de collation, le taux d’obésité était de 39 %, comparativement à un taux de 30 % pour ceux qui mangeaient deux collations durant le jour, de 28 % pour ceux qui prenaient 3 collations et de 22 % chez ceux qui s’accordaient quatre collations ou plus par jour.
 
Par le passé, plusieurs études ont associé le grignotage à la prise de poids, alors que d’autres préconisaient la consommation de plusieurs petits repas chaque jour au lieu de trois plus copieux. Évidemment, en prenant des collations, il faut équilibrer les autres repas en les diminuant, sinon il y aura effectivement une plus grande consommation de calories.
 
De plus, l’étude révèle que le taux d’obésité abdominale était de 24 % chez ceux qui se contentaient de trois repas, alors que pour le groupe des quatre collations par jour, il était de 11 %.
 
Des chercheurs demandent à ce que ce type de recherches se poursuive sur une plus longue période afin de confirmer la théorie voulant que le grignotage s’avère bénéfique finalement.