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L’aspirine peut réduire les risques de cancer du côlon

Après avoir analysé quatre essais cliniques qui se sont échelonnés sur 20 ans auprès de 14 000 personnes, les scientifiques mentionnent qu’une petite dose d’aspirine, soit l’équivalent d’un comprimé ordinaire ou allégé pris quotidiennement, réduit les risques de cancer du côlon de 24 % et les risques d’en mourir de 35 %, rapporte The Lancet.
 
Auparavant, des études affirmaient que 500 mg par jour prévenaient la maladie, mais cette dose comportait trop d’effets secondaires. D’ailleurs, ces derniers (saignements et douleurs à l’estomac) demeurent tout de même inquiétants, voilà pourquoi on recommande aux personnes qui ne sont pas à risque d’avoir un cancer du côlon de s’abstenir de prendre de l’aspirine si c’est seulement à titre préventif.
 
Toutes les personnes devraient consulter leur médecin avant de prendre des comprimés d’aspirine quotidiennement, rappellent les experts.
 
Éventuellement, l’aspirine pourrait mener à de nouvelles thérapies, car on croit qu’elle freine la production d’une enzyme liée aux cancers du sein, de l’estomac de l’œsophage et du côlon.
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Évaluer le Parkinson par une biopsie du côlon?

Une biopsie du côlon permettrait de diagnostiquer l’existence et la gravité de la maladie de Parkinson chez les personnes atteintes.
 
Les chercheurs ont identifié les mêmes anomalies dans les neurones des patients et les neurones du système digestif. La sévérité des lésions du tube digestif est liée à la gravité de la maladie.
 
Selon les résultats obtenus sur 39 patients, dont 29 avaient la maladie, les anomalies du système nerveux central sont réellement similaires à celles décelées dans le tube digestif, rapporte la revue PLoS One.
 
« L’avancement de la maladie pourrait ainsi être déterminé à partir de l’analyse de simples biopsies coliques effectuées à l’hôpital lors de coloscopies ou de rectosigmoidoscopies. Si nos résultats se confirment à grande échelle, il serait possible de faire un diagnostic de sévérité de la maladie de Parkinson du vivant du patient et d’ajuster le traitement et la prise en charge », affirme le chercheur principal de cette étude, Pascal Derkinderen.
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Le sel des charcuteries augmente les risques de cancer du côlon

Encore une fois, les charcuteries sont pointées du doigt. Ces viandes sont considérablement transformées. On leur ajoute du sel, des nitrites et on les colore. Ces procédés favorisent l’augmentation des lésions précancéreuses au côlon.

 

Selon une étude des chercheurs de l’Institut national de recherches agronomiques (INRA) de Toulouse, qui portait sur le lien entre la consommation de charcuteries et le cancer, on a découvert une association de quatre facteurs qui favoriseraient l’apparition de la maladie.

Il y a la coloration de la viande, l’ajout de nitrites, la cuisson et l’oxydation. Ces facteurs augmentent significativement les risques de cancer du côlon.

Par exemple, pour le jambon cuit, la transformation de l’hème (molécule à l’origine de la couleur rouge de la viande) augmente l’apparition d’agents cancérigènes lors de la fabrication.

On croit que cette découverte pourrait favoriser la mise en place de nouveaux processus de fabrication et de nouvelles stratégies de prévention.

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Une bactérie à l’origine du cancer du côlon

La bactérie intestinale Escherichia coli, communément appelée E. coli, favoriserait le développement du cancer du côlon, selon une étude des chercheurs de l’INRA rapportée par Top Santé.
 
Habituellement, la bactérie colonise pacifiquement le tube digestif de l’humain. Selon l’étude, certaines souches seraient toutefois capables de produire une substance néfaste pour l’ADN des cellules épithéliales du côlon. Cela entraînerait une modification du nombre et de la structure des chromosomes des cellules intestinales, provoquant ainsi une transformation maligne des cellules.
 
« Les phénomènes d’instabilité chromosomique et de mutations géniques sont des causes de la transformation maligne des cellules et sont fondamentaux dans la genèse des cancers », affirment les auteurs des travaux.
 
La présence de certaines souches de la bactérie serait donc un facteur de prédisposition pour le développement du cancer.
 
L’étude a été faite conjointement avec l’école vétérinaire et le centre hospitalier de Toulouse, en France.
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Les protéines animales affectent le côlon

TopSanté nous apprend que les personnes qui mangent beaucoup de viandes et de poissons ont trois fois plus de risques de souffrir d’une maladie inflammatoire aux intestins à un moment de leur vie. 
 
Selon des chercheurs français, cela serait dû à une trop grande quantité de protéines animales qui seraient ingérées. Par contre, les protéines des produits laitiers et des œufs ne sont pas touchées. Ces dernières n’affectent pas le côlon et le tube digestif, contrairement à celles provenant des viandes et poissons.
 
Ces maladies mettent rarement en danger la vie des personnes atteintes, mais elles sont réellement difficiles à vivre et souvent tabou. Parmi les symptômes provoqués, on note de la diarrhée, des douleurs abdominales, de la fièvre, de la fatigue et une perte de poids.
 
Ces maladies sont dues à une inflammation du côlon et du tube digestif qui, eux, répondent à la présence de bactéries inconnues dans la flore intestinale.
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La vitamine D protègerait contre le cancer du côlon

Le British Medical Journal rapporte que des chercheurs anglais ont démontré que la vitamine D aurait des effets protecteurs contre le cancer colorectal.

Selon l’étude, les personnes ayant un haut taux de vitamine D dans le sang auraient 40 % moins de risque de développer ce type de cancer, comparativement aux personnes ayant un faible taux de la vitamine.

On a analysé le sang de 1200 personnes ayant un cancer colorectal pour connaître les effets de la vitamine D sur la maladie. Les chercheurs avaient déjà démontré par le passé qu’une carence en vitamine D augmentait les risques de développer le cancer et demandaient que l’on ajoute de la vitamine D dans certains produits alimentaires, comme le lait.

Par contre, d’autres chercheurs invitent à la prudence avec ces résultats. Selon eux, on ignore si des suppléments de vitamine D auraient un effet positif et pourraient remplacer une alimentation équilibrée et une exposition régulière au soleil. On souhaite approfondir les études avant de recommander l’ajout de vitamine D dans les produits sur le marché.

La vitamine D joue aussi un rôle dans la solidité des os en augmentant le taux de calcium.

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Un cancer pour Johnny Hallyday

Lors d’une entrevue donnée récemment dans le cadre du Festival du film de Toronto, où il était venu présenter son dernier film, Vengeance, Johnny Hallyday aurait avoué qu’il avait été opéré pour le cancer du côlon.

Le chanteur français de 66 ans a séjourné cet été à l’Hôpital américain de Neuilly-sur-Seine pour ce que l’on croyait être une simple série d’examens, devenue nécessaire à la suite d’une chute qu’il avait faite sur un yacht à Monaco.

Selon Hallyday, il ne s’agissait que d’un « petit cancer » et la vedette de rock était d’ailleurs de retour sur scène vendredi dernier (25 septembre) à Lille, en France, pour entreprendre la deuxième portion de son Tour 66.

Cette série de spectacles a été annoncée comme étant sa dernière, alors que le chanteur roule sa bosse dans le monde de la musique depuis près de 50 ans.

Dans l’entourage d’Hallyday, personne n’a été en mesure de confirmer cette nouvelle concernant son cancer.

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Bière rime avec cancer?

Une étude menée par une équipe de chercheurs des universités de Montréal et McGill auprès de 3 600 hommes âgés de 35 à 70 ans démontre l’association entre la consommation quotidienne de bière et de spiritueux et l’incidence de six types de cancer.

Ces patients sont sept fois plus à risque que les hommes qui ne boivent pas d’alcool de développer un cancer de l’œsophage. L’incidence du cancer du côlon grimpe de 80 % et celui du poumon de 50 % chez ces mêmes candidats.

« Ce sont les personnes qui boivent chaque jour ou plusieurs fois par jour qui sont à risque. Cela ajoute au nombre croissant de preuves indiquant que le fait de consommer beaucoup d’alcool nuit considérablement à la santé, de plusieurs manières, et que le cancer représente une part importante des risques », a expliqué l’un des auteurs, Andrea Benedetti, de l’Université McGill.

Étonnamment, ce phénomène ne s’applique pas en cas de consommation de vin. Des recherches antérieures avaient déjà démontré une diminution du risque de maladies cardiovasculaires grâce à la consommation quotidienne de vin, à raison d’un verre ou deux par jour.

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De l’aspirine contre le cancer colorectal

Une recherche, dont les résultats complets sont publiés dans le Journal of the American Medical Association, prétend que les vertus de l’aspirine sont nombreuses en matière de cancer colorectal.

Non seulement sa consommation fait chuter le risque de souffrir de la maladie, mais les cancéreux ont aussi 29 % moins de risques d’en décéder lorsqu’ils prennent de l’aspirine.
 
Au cours des travaux menés par le Dr Andrew Chan, professeur adjoint à la Faculté de médecine de l’Université Harvard, on a observé que 88 % des patients consommant de l’aspirine avaient survécu cinq ans après le premier diagnostic de cancer, tandis que le taux de survie s’établissait à 83 % chez les malades à qui l’on avait donné un placebo.
 
Ce phénomène est attribué à l’effet inhibiteur de l’aspirine sur l’enzyme cyclo-oxygénase, qui contribue à l’inflammation et à la prolifération des cellules humaines.
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L’obésité liée à la diverticulite

Une recherche, menée par la Dre Lisa L. Strate et ses collègues du département de médecine de l’Université du Washington à Seattle, démontre que l’obésité pourrait hausser le risque de diverticulite, qui se caractérise par une inflammation des diverticules de l’intestin grêle, du côlon ou du diverticule de Meckel.

Les scientifiques ont analysé les dossiers médicaux de 47 228 hommes, âgés de 40 à 75 ans, qui n’avaient jamais souffert de diverticulite avant le début des travaux.

801 diagnostics de diverticulite ont été répertoriés au fil de l’étude et les chercheurs croient que les hommes obèses étaient 78 % plus à risque de souffrir de la maladie inflammatoire, comparativement aux sujets ayant un poids santé.