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Des recettes de grand-mère efficaces

Le Dr Alex Ford, de l’Université McMaster en Ontario, affirme que le meilleur traitement contre le syndrome du côlon irritable peut être aussi simple que des antispasmodiques et de l’huile essentielle à la menthe poivrée.

« De nouveaux traitements contre le syndrome ont été créés, comme l’alosétron et le tégasérod, mais les bonnes vieilles méthodes traditionnelles, peu dispendieuses et sans effet secondaire, sont tout aussi efficaces », prétend le Dr Ford.

2 500 personnes ont participé à cette étude. Un groupe était traité avec des antispasmodiques et de l’huile essentielle à la menthe poivrée, le deuxième recevait des placebos, tandis que le troisième n’était pas traité du tout.

Seulement aux États-Unis, ce trouble digestif touche 45 millions de personnes, dont 65 % sont des femmes. Cette maladie se caractérise, entre autres, par des douleurs abdominales, des ballonnements et des gonflements abdominaux.

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Un gène responsable du cancer colorectal

Des scientifiques de l’Université Northwestern, aux États-Unis, viennent d’identifier un gène qui serait responsable du cancer du côlon, qui frappe une personne sur 15.

Selon eux, lorsque le gène TGFBR1 présente une mutation, l’incidence de souffrir de ce type de cancer augmente de 50 %, puisque ce gène diminue la production d’un récepteur clé identifié comme étant le plus puissant frein à la croissance des cellules cancéreuses qui se multiplient.

« Nous allons pouvoir cibler un plus grand nombre de personnes présentant un risque élevé de développer ce cancer, ce qui permettra probablement de réduire à long terme le nombre de cas et de décès en procédant à des examens fréquents », a souligné l’auteur principal de l’étude, le Dr Boris C. Pasche.

La prochaine étape consiste maintenant à effectuer des essais cliniques afin de créer un test qui permettra de diagnostiquer ce cancer en fonction de la mutation génétique.

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Les femmes, protégées contre le cancer du côlon

Des chercheurs australiens croient que les femmes ont de meilleures chances de survivre au cancer du côlon que les hommes. Selon eux, c’est l’oestrogène qui serait en cause.

Entre 1997 et 2004, le Dr. Jenn H. Koo et ses collègues ont analysé les dossiers médicaux de 2 050 patients ayant reçu un diagnostic de cancer du côlon. 44 % d’entre eux étaient des femmes.

Celles qui étaient âgées de moins de 50 ans voyaient le risque de mourir d’un cancer du côlon chuter de moitié, comparativement à la gent masculine. Ce n’est qu’une fois la ménopause atteinte que les femmes avaient 38 % plus de risques de décéder de la maladie que les hommes, peu importe le stade d’avancement du cancer.

Les résultats complets de cette recherche sont publiés dans l’édition de juin de l’American Journal of Gastroenterology.

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Découverte en matière de chirurgie bariatrique

Une recherche, dont les résultats ont été présentés lors de la 25e réunion annuelle de l’American Society for Metabolic & Bariatric Surgery, se penche sur les effets que semble avoir la chirurgie bariatrique chez les patients atteints d’obésité morbide.

Entre 1986 et 2002, des chercheurs de l’Université McGill ont comparé le risque de cancer auprès de 1 035 patients ayant subi une chirurgie bariatrique et 5 746 patients qui n’en avaient pas subi.

« Le lien entre l’obésité et plusieurs formes de cancer est bien établi. Il s’agit de l’une des premières études à suggérer que la chirurgie bariatrique pourrait prévenir le risque de cancer chez un pourcentage statistique et clinique important de personnes obèses morbides », a observé l’auteur principal de l’étude, le Dr Nicholas Christou.

L’incidence de cancer du sein est notamment réduite de 85 %, tandis que le risque de cancer du côlon et du pancréas chute de 70 % chez les personnes ayant subi ce type d’opération. Pour le cancer de la peau, le risque baisse de 60 %.

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Le Vectibix a l’aval de Santé Canada

Le ministère fédéral de la Santé vient de donner son accord conditionnel au médicament Vectibix, ou panitumumab, qui traite le cancer colorectal métastatique, une forme de cancer foudroyant qui continue de progresser même après des traitements de chimiothérapie.

Seul bémol, ce nouveau médicament n’agit pas sur les patients chez qui on observe une mutation du gène KRAS.

Fabriqué par Amgen Canada, le Vectibix est le premier anticorps monoclonal entièrement humain destiné au traitement du cancer colorectal. Il offre l’avantage d’être beaucoup moins douloureux que la chimiothérapie traditionnelle et sera probablement offert à l’été 2008 aux Canadiens.

Au pays, environ 21 500 adultes recevront un diagnostic de cancer colorectal cette année. De ce nombre, 8 900 perdront le combat contre la maladie, qui se propage en métastases dans d’autres parties du corps dans 50 % des cas.

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La pilule pourrait prévenir le cancer du côlon

De récentes recherches, effectuées auprès de 90 000 Canadiennes âgées entre 40 et 59 ans, ont démontré que l’usage de la pilule pourrait diminuer le risque de développer un cancer du côlon, rapporte l’International Journal of Cancer.

Les résultats ont démontré que près du cinquième des femmes ayant consommé des anovulants voyait les risques de développer la maladie diminuer pour les 16 prochaines années.

Si plusieurs études suggèrent que l’oestrogène joue un rôle clé dans le développement du cancer du côlon, il serait toutefois trop tôt pour confirmer que l’hormone agit comme une protection contre la maladie. D’autres facteurs comme l’activité physique et la perte de poids pourraient influencer l’apparition du cancer.

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Une fonction pour l’appendice

Selon des médecins américains du Centre médical de l’Université Duke, l’appendice est une région de l’intestin où des bactéries nécessaires à la digestion seraient protégées.

D’après le professeur William Parker, l’appendice serait recouvert d’une couche de microbes, mucus et molécules, dont la fonction serait de protéger certaines bactéries utiles dans le processus de digestion.

L’appendice est un prolongement du colon dont l’utilité est incertaine depuis des lustres. Il est surtout connu pour son inflammation assez fréquente, d’où le nom d’appendicite. Cette dernière se traite par l’ablation chirurgicale de l’appendice.