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Cancers rares mais agressifs chez les enfants

Selon Science World Report, lorsqu’un enfant est atteint du cancer colorectal ou du sein, la maladie est très agressive et difficile à traiter.

Les chercheurs qui ont mené cette étude se sont basés sur les dossiers médicaux de patients de 1998 à 2011. Les données ont été entrées dans la base de données nationale du cancer du Collège des chirurgiens de la Société américaine du cancer.

Parmi plus de 2 600 000 patients atteints de cancer du sein, seuls 574 cas étaient attribuables à des moins de 21 ans.

Les scientifiques ne s’attendaient pas à ces données. « La seule pensée que même des enfants puissent être atteints de cette maladie, c’est surprenant », a déclaré Dr Morgan K. Richards.

« C’est pourquoi il est important d’étudier ces maladies. Même si les cas sont rares, il n’est pas impossible que des enfants les développent. Il faut être mieux informés sur la façon dont ces cancers se développent et progressent. »

Cette nouvelle possibilité doit pousser les spécialistes à la considérer lors de diagnostics auprès des enfants.

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Une variante génétique vulnérable aux viandes transformées

De nombreuses études ont confirmé certains dangers pour la santé liés à la consommation de viandes transformées. On sait maintenant qu’il est important de limiter l’achat et la consommation de ces produits usinés, même s’ils se retrouvent souvent partout et dans un grand nombre d’options au supermarché.

Cependant, certaines personnes mangent littéralement ce qu’elles veulent au cours de leur vie et ne semblent pas trop en souffrir.

Une nouvelle étude jette un peu de lumière sur ce phénomène, rapporte MedicalNewsToday, alors que des chercheurs de la Cancer Research Center’s Public Health Sciences Division viennent de lier une variante génétique à une vulnérabilité accrue aux viandes transformées.

Cette vulnérabilité fait augmenter les risques de cancer colorectal chez les consommateurs de viandes transformées, s’accordent pour dire les spécialistes.

La variante rs4143094 serait observable chez au moins une personne sur trois, selon la Dre Jane Figueiredo, qui présente l’étude.

« Nos résultats, si reproduits dans d’autres études, pourraient procurer une meilleure compréhension de la biologie du carcinogène colorectal. La possibilité que des variantes génétiques puissent modifier le risque individuel d’une maladie basé sur le régime alimentaire n’a pas encore été étudiée de façon concrète, mais représente une information importante dans le développement de certaines maladies », explique Dre Figueiredo.

Une étude intéressante qui pave la voie à de nouvelles découvertes, en somme. Les résultats ont été publiés dans la revue PLOS Genetics.

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Le pain hausserait les risques de cancer du sein chez les femmes en ménopause

Une alimentation comprenant beaucoup de pain serait nuisible à la santé des femmes qui sont en ménopause ou qui s’en approchent, selon une étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université de Toronto et de Milan qui travaillent conjointement à cette recherche affirment que la consommation de pain lors de cette période peut augmenter les risques de cancer du sein de 60 %, une statistique qui ne peut être négligée.

Ainsi, on suggère plutôt à ces femmes de troquer le pain pour les pâtes, afin d’éviter cette hausse de risque, qui s’avère tout aussi exacte pour d’autres types de cancer et d’autres maladies.

Comme l’expliquent les chercheurs impliqués, les pâtes sont à l’opposé du pain en matière d’effets sur la glycémie, un facteur reconnu du développement du cancer du sein.

À noter, l’effet du pain serait également vérifiable chez les hommes en ce qui concerne le cancer colorectal, avec une hausse moyenne des risques de 22 %.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, conclut l’équipe de spécialistes. 

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Près du double du risque de cancer pour les amateurs de malbouffe

La malbouffe est au plus bas. Jamais sa réputation n’aura été aussi entachée que maintenant, et cette récente étude en provenance des Pays-Bas ne risque pas d’améliorer la situation.

Si on savait que la malbouffe était mauvaise pour la santé, il appert qu’elle augmenterait dramatiquement les risques de cancer, rapporte Santé Log.

Et pas de moindre façon, puisque selon les chercheurs de l’Université de Wageningen, on parle de risques de cancer qui se voient augmentés de 200 % chez ceux qui consomment régulièrement ce genre d’aliments et qui souffrent d’une condition héréditaire comme le syndrome de Lynch, par exemple.

Une bien mauvaise publicité pour les chaînes de restauration rapide, qui tentent par tous les moyens de redorer leur blason. Même chose en ce qui concerne les croustilles et autres grignotines, qui se retrouvent aussi au banc des accusés dans cette étude.

Les conclusions de cette dernière ont été publiées dans le magazine Cancer (American Cancer Society) et somment les gens aux prises avec des conditions héréditaires ou des problèmes de santé d’adopter sans attendre de nouvelles (et bonnes) habitudes alimentaires.

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Le syndrome métabolique et le cancer

On apprend par l’entremise de e-sante.fr que la façon dont les gens se traitent eux-mêmes est assurément un facteur influent dans les risques de cancer.

On traduit l’ensemble des comportements adoptés par un individu sur sa santé comme « l’hygiène de vie », mais un terme plus scientifique et précis s’attache à ce groupe de comportements : le syndrome métabolique.

Ce dernier est défini comme un ensemble de comportements et de caractéristiques physiques qui en découlent, comme l’obésité, la haute pression et le taux de cholestérol dans le sang, par exemple.

Ce groupe de problèmes physiques est maintenant clairement mis en évidence dans le développement de plusieurs cancers, et les chercheurs italiens en tête de l’étude démontrent son influence sur les risques de développement de la maladie.

Les conclusions sont celles qui découlent de l’analyse de 43 études précédentes sur le sujet, qui regroupaient les données recueillies sur pas moins de 39 000 personnes.

Le syndrome métabolique augmenterait les risques de cancer du foie et colorectal de 43 % et 25 %, respectivement, chez l’homme, alors qu’il augmente de 61 % et 34 % les risques de cancer de l’endomètre et colorectal chez la femme, respectivement.

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Les carottes en vedette pour la prévention du cancer du sein

Topsante.com rapporte une étude américaine qui met l’accent sur les carottes pour prévenir le cancer du sein.

Les propriétés anti-cancer des légumes, notamment en matière de cancer colorectal, sont bien connues. Mais plus encore, il appert que les légumes à forte teneur en caroténoïdes seraient encore plus efficaces. Et où retrouve-t-on de fortes doses de caroténoïdes? Oui, dans les carottes.

Les chercheurs américains en tête de l’étude ont démontré clairement les effets d’une diète forte en caroténoïdes, en analysant les dossiers de plusieurs milliers de patientes, dont presque la moitié étaient atteintes d’un cancer du sein.

Les patientes qui avaient un taux de caroténoïdes plus élevé dans le sang ont vu les risques de développer un cancer du sein diminuer radicalement, et encore plus chez les non-fumeuses.

Les résultats de cette étude, menée par des chercheurs de l’Université Harvard, ont été publiés récemment dans le Journal of the National Cancer Institute.

Les caroténoïdes ne se retrouvent pas que dans les carottes! On note que pour retrouver ces nutriments en forte dose, il faut miser sur les fruits et légumes colorés, ou foncés si vous préférez.

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La vitamine D protègerait contre le cancer du côlon

Le British Medical Journal rapporte que des chercheurs anglais ont démontré que la vitamine D aurait des effets protecteurs contre le cancer colorectal.

Selon l’étude, les personnes ayant un haut taux de vitamine D dans le sang auraient 40 % moins de risque de développer ce type de cancer, comparativement aux personnes ayant un faible taux de la vitamine.

On a analysé le sang de 1200 personnes ayant un cancer colorectal pour connaître les effets de la vitamine D sur la maladie. Les chercheurs avaient déjà démontré par le passé qu’une carence en vitamine D augmentait les risques de développer le cancer et demandaient que l’on ajoute de la vitamine D dans certains produits alimentaires, comme le lait.

Par contre, d’autres chercheurs invitent à la prudence avec ces résultats. Selon eux, on ignore si des suppléments de vitamine D auraient un effet positif et pourraient remplacer une alimentation équilibrée et une exposition régulière au soleil. On souhaite approfondir les études avant de recommander l’ajout de vitamine D dans les produits sur le marché.

La vitamine D joue aussi un rôle dans la solidité des os en augmentant le taux de calcium.

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La charcuterie encore pointée du doigt

L’industrie de la charcuterie traverse encore une période difficile. Un an après la crise de la listériose, le Fonds mondial de recherche contre le cancer conseille aux parents de ne plus donner de charcuterie à leurs enfants, rapporte Cyberpresse.

Ce qui pousse le Fonds à faire cette demande, ce sont les liens découverts entre la consommation de charcuteries et le cancer colorectal. C’est pourquoi il souhaite diminuer la consommation de jambon, de salami et d’autres saucissons de Bologne pour les enfants en bas âge.

Dans son rapport sur les habitudes de vie publié en 2007, le Fonds avait déjà recommandé de limiter les viandes rouges et de carrément éviter les viandes préparées et les charcuteries industrielles auxquelles on ajoute du sel et des agents de conservation.

Ce sont les nitrites, permettant aux charcuteries de se détériorer moins rapidement, qui, une fois ingérés, se transforment en molécules ayant des propriétés cancérigènes.

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De l’aspirine contre le cancer colorectal

Une recherche, dont les résultats complets sont publiés dans le Journal of the American Medical Association, prétend que les vertus de l’aspirine sont nombreuses en matière de cancer colorectal.

Non seulement sa consommation fait chuter le risque de souffrir de la maladie, mais les cancéreux ont aussi 29 % moins de risques d’en décéder lorsqu’ils prennent de l’aspirine.
 
Au cours des travaux menés par le Dr Andrew Chan, professeur adjoint à la Faculté de médecine de l’Université Harvard, on a observé que 88 % des patients consommant de l’aspirine avaient survécu cinq ans après le premier diagnostic de cancer, tandis que le taux de survie s’établissait à 83 % chez les malades à qui l’on avait donné un placebo.
 
Ce phénomène est attribué à l’effet inhibiteur de l’aspirine sur l’enzyme cyclo-oxygénase, qui contribue à l’inflammation et à la prolifération des cellules humaines.
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D’autres facteurs de risque du cancer colorectal

Des scientifiques du George Institute for International Health en Australie ont démontré que la consommation d’alcool, le tabagisme et le diabète augmentaient l’incidence de cancer colorectal, tout comme l’obésité et la consommation de viande rouge.

Si la pratique d’un sport fait chuter ce risque, manger plus de fruits et de légumes ne change rien, selon les chercheurs.

« La majorité des gens savent qu’un surplus de poids et de mauvaises habitudes alimentaires sont des facteurs de risque de la maladie, mais ils ignorent que d’autres habitudes de vie, comme la consommation d’alcool, fumer la cigarette et le diabète, contribuent également à augmenter le risque », a observé l’auteure de ces résultats, Rachel Huxley.

À titre d’exemple, 7 verres d’alcool par semaine augmentent de 60 % le risque de cancer colorectal comparativement à ceux qui ne boivent pas.