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Une nouvelle percée pour guérir le VIH

Des chercheurs ont testé sur des souris atteintes du VIH un nouvel assemblage de 4 médicaments. Celui-ci rend visible au système immunitaire la partie latente du virus. Celui-ci se cache habituellement directement dans l’ADN.

Pour la professeure Sharon Lewin, la méthode que l’on appelle shock-and-kill (surprendre et tuer) représente un pas majeur vers la guérison du VIH.

Comme l’explique Lewin, le principe n’est pas nouveau. « C’est une idée que nous explorons depuis plusieurs années. » Le tout a été testé avant, mais les résultats commencent à porter leurs fruits.

Le principe expose le virus latent à l’aide de 3 antibiotiques, mais le 4e sert ensuite à détruire le virus ainsi mis à jour en stimulant fortement le système immunitaire.

Pour le moment, 57 % des souris traitées étaient stables, c’est-à-dire que le VIH était sous contrôle, indique iflscience.com.

La mauvaise nouvelle, c’est que pour le moment, ces souris sont traitées seulement une journée ou deux après avoir reçu le virus du VIH. « Ce qui n’est pas le cas des gens », souligne David Cooper, un professeur de médecine impliqué dans la recherche.

La recherche a été publiée dans la revue scientifique Cell.

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Nouveauté : une combinaison anti-requins

Des cerveaux australiens seraient parvenus à concevoir et créer une combinaison à l’épreuve des requins, afin de protéger les baigneurs et les surfeurs des régions du monde aux prises avec ces dangereux voisins aquatiques.

C’est Top Santé qui rapporte la nouvelle, en rappelant que cinq surfeurs sont morts des suites d’attaques de requins en 2011 et 2012, en Australie. Les citoyens de ce pays sont donc de plus en plus inquiets face au phénomène, et c’est ce qui aurait poussé Hamish Jolly et Craig Anderson à travailler sur une solution concrète.

Ces derniers, tous deux chercheurs à l’Institut océanographique de l’Université de la Western Australia, ont donc créé une combinaison spéciale qui ressemble à celles que l’on retrouve déjà sur le marché.

Sauf que la combinaison de Jolly et Anderson utilise des rayures qui font office de camouflage à l’image de plusieurs poissons et animaux marins.

« Un certain nombre d’animaux sont repoussés par des animaux toxiques qui ont développé un code visuel signalant à leurs prédateurs potentiels de ne pas les manger. Et ce signal est souvent un motif à rayures », lance Shaun Collin, un collègue.

Il fallait y penser!

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Une combinaison de médicaments plus efficace

On administre souvent de la zidovudine, ou AZT, aux bébés de séropositives qui n’ont pas été allaités et dont la mère n’a pas eu de traitement durant la grossesse. Ce produit aide à prévenir la transmission de la maladie de la mère au poupon.

Cette stratégie n’est pas toujours efficace. Les chercheurs de l’UCLA ont découvert que la combinaison de deux ou trois médicaments, donnés au poupon 48 heures après sa naissance, pouvait réduire le risque de contraction du VIH de moitié, comparativement à l’AZT.

Toutefois, les scientifiques ont remarqué que la combinaison de deux médicaments était moins toxique pour le bébé que la combinaison de trois d’entre eux.

« La facilité de l’utilisation, la toxicité réduite, l’accessibilité ainsi que le bas prix suggèrent que la combinaison de la zidovudine et la névirapine est une option intéressante pour la prophylaxie chez les enfants à haut risque de transmission périnatale de l’infection VIH-1 », explique la professeure en maladies pédiatriques infectieuses, Dre Karin Nielsen-Saines.

Les petits qui sont nés de mères infectées et qui ne reçoivent pas de thérapies antirétrovirales ont 25 % plus de chances de devenir séropositifs durant la grossesse ou à la naissance. Leurs risques augmentent de 40 % lorsqu’ils sont allaités.

Rappelons que de prendre des médicaments anti-VIH durant la grossesse ne représenterait pas un danger pour les nourrissons, la croissance du fœtus ou la mère.

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Une nouvelle perspective de traitement du cancer du sein

Habituellement, pour traiter le cancer du sein le plus fréquent, celui à récepteurs d’œstrogène positifs, on utilise l’anastrozole ou le fulvestrant.
 
Une nouvelle étude présentée lors d’un colloque de spécialistes du cancer du sein démontre toutefois que la combinaison de ces deux médicaments prolonge la vie des patientes.
 
Durant les essais, les chercheurs ont réussi à prolonger de six mois la vie des femmes ménopausées atteintes de ce type de cancer du sein en les traitant avec les deux molécules, comparativement à celles ayant reçu seulement l’anastrozole.
 
Il s’agit de la première avancée significative dans le domaine depuis une dizaine d’années.
 
Cette découverte ouvre la voie à une nouvelle approche dans les traitements du cancer du sein pour des milliers de femmes.
 
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Une combinaison de médicaments pour la perte de poids

Une nouvelle pilule composée de deux médicaments existants serait plus efficace que toute autre capsule utilisée en ce moment contre le surpoids et l’obésité.
 
Selon The Lancet, le Qnexa, qui est composé de la phentermine, médicament minceur à base d’amphétamine, et du topiramate, antiépileptique lié à la perte de poids, permettrait de perdre jusqu’à deux tailles de vêtements en un an pour les femmes qui prennent de fortes doses.
 
2 500 personnes ont reçu le Qnexa ou un placebo pendant un an. Le premier groupe a perdu beaucoup plus de poids.
 
Cependant, il reste encore du chemin à faire avant de commercialiser ce nouveau traitement, car la phentermine peut causer des problèmes cardiaques et le topiramate est lié aux malformations congénitales, aux problèmes de mémoire et aux changements d’humeur.
 
De plus, le médicament cause des effets indésirables comme des picotements, des étourdissements, de la constipation, de l’anxiété et des symptômes dépressifs.
 
Les autorités ont donc besoin de plus de données avant d’approuver la mise en marché du Qnexa.
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Une combinaison de médicaments pour mieux traiter le cancer du sein

Pour la toute première fois, des chercheurs ont testé l’efficacité de l’herceptine combinée avec le Tykerb au premier stade d’un cancer du sein.
 
L’équipe du Dr Jose Baselga, du Massachusetts General Hospital Cancer Center, a découvert que la combinaison des deux médicaments améliorait les chances de guérison des femmes atteintes par la maladie. Deux fois plus de femmes ont vu leur tumeur régresser.
 
455 femmes ont participé à l’étude. Elles ont reçu soit un des deux médicaments ou les deux. Elles ont aussi été traitées avec de la chimiothérapie et du Paclitaxel.
 
50 % de celles qui avaient eu l’herceptine et le Tykerb combinés ne montraient pas de signe de propagation du cancer lors de la chirurgie pour retirer la tumeur, alors que 25 à 30 % de celles qui n’avaient reçu qu’un des deux médicaments ne montraient aucun signe de progression.
 
Par contre, le Tykerb provoque de la diarrhée et, surtout, la combinaison des deux médicaments coûte 6 000 $, soit deux milles de plus qu’avec l’herceptine. Aussi, ce ne sont pas toutes les provinces canadiennes qui en assument les frais.
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Un nouveau traitement contre l’asthme

Lors du congrès annuel de la Société respiratoire européenne (SRE), des chercheurs de Mundipharma ont présenté les résultats de leurs recherches.
 
Ils ont mis au point une nouvelle thérapie plus efficace contre l’asthme. Il s’agit d’une combinaison de doses fixes de propionate de fluticasone (PF), un corticostéroïde inhalé, ainsi que de fumarate de formotérol (FORM), un bronchodilatateur qui a une action de longue durée.
 
Cette combinaison s’avère à donner de meilleurs résultats que le traitement actuel, ce qui permettrait une meilleure prise en charge de la maladie chez les personnes qui en souffrent.
 
« Les données présentées aujourd’hui démontrent le bon profil d’efficacité de la combinaison PF/FORM et renforcent ses chances de devenir une option alternative de traitement pour les personnes souffrant d’asthme », explique le professeur David Price de l’Université d’Aberdeen au Royaume-Uni.