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Les commotions cérébrales liées aux sports chez les enfants peuvent avoir des complications

Dans le cadre d’une nouvelle étude, des chercheurs ont analysé les données provenant de 17 patients (12 garçons et 5 filles) qui avaient eu une commotion cérébrale en pratiquant un sport (le soccer pour 23 % d’entre eux, et le football pour 17 %).

Ces enfants avaient beaucoup plus de chances, après l’incident, d’éprouver des problèmes comme des maux de tête et de ventre, des étourdissements, ainsi qu’un repli sur eux-mêmes et de la dépression.

Les chercheurs ont remarqué que ces symptômes suggèrent que la commotion pourrait avoir un effet sur les domaines d’internalisation du cerveau, ce qui pourrait facilement passer inaperçu pour les parents et les professionnels de la santé.

La Dre Ivet Hartonian, qui a mené l’étude, a expliqué à Medscape Medical News : « Nos résultats suggèrent qu’il peut y avoir des séquelles à long terme chez les enfants qui ont des traumatismes crâniens pendant qu’ils pratiquent un sport. Les médecins doivent être conscients de cette possibilité. Nous devons aussi mettre l’accent sur le fait de faire du sport de manière la plus sécuritaire possible, et de toujours porter un casque s’il y a un risque de blessure à la tête ».

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Il est difficile de prédire les conséquences d’une commotion cérébrale chez les enfants

Des chercheurs ont évalué 561 études sur les commotions cérébrales chez les enfants, se concentrant sur 15 qui incluaient tous les facteurs recherchés, c’est-à-dire l’âge de l’enfant, son historique médical incluant des commotions précédentes, les médicaments utilisés, la manière dont la commotion s’est produite ainsi que la présence et la sévérité des symptômes.

L’auteur, Roger Zemek de l’hôpital pour enfants d’Ottawa, a expliqué « qu’il existait des preuves minimes et contradictoires qui associent des facteurs cliniques avec le développement éventuel de symptômes persistants chez les enfants qui ont subi une commotion cérébrale », selon Med Page Today.

« Puisqu’il n’y a pas de manière de prédire quels enfants auront des conséquences durables, les médecins doivent continuer de préconiser des soins “conservateurs”, incluant une période de repos physique et cognitif, suivi par un retour progressif aux activités. »

Les résultats de cette analyse ont été publiés dans le JAMA Pediatrics.

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Les commotions cérébrales affectent le cerveau des enfants à moyen terme

Le Journal of Neuroscience publie les résultats d’une étude montrant pour la première fois que les effets d’une commotion cérébrale chez les enfants restent mesurables, même plusieurs mois après l’incident.

Ces données ne sont pas rassurantes, étant donné que plusieurs études récentes suggèrent que le cerveau des enfants est particulièrement vulnérable, même après une commotion légère.

L’étude a porté sur 30 enfants, dont la moitié avait subi une commotion cérébrale légère. Moins de 3 semaines après l’incident, ceux-ci ont subi des tests cognitifs ainsi qu’un test d’imagerie avancé, ciblant en particulier la « matière blanche » du cerveau.

Comparativement aux autres, les jeunes qui avaient subi une commotion avaient des déficits cognitifs subtils et des modifications dans leur matière blanche, ces longues fibres qui transportent de l’information d’une zone du cerveau à une autre.

Lorsque ces mêmes tests ont été reproduits plus de trois mois plus tard, ces modifications cérébrales étaient toujours présentes, et ce, même si les patients affirmaient ne plus avoir de symptômes reliés à la commotion.

L’auteur de l’étude, Andrew Mayer, a noté que « la portée des changements dans la matière blanche de ces enfants ayant subi une commotion cérébrale légère était plus grande que celle observée précédemment pour des patients adultes », selon Science Daily.

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Les médecins ont besoin d’aide pour mieux traiter les commotions chez les enfants

La revue médicale Pediatrics rapporte les résultats d’un sondage mené auprès de 145 médecins de famille ou œuvrant dans une clinique traitant des urgences. Parmi ceux-ci, 91 % avaient traité au moins un enfant qui avait une commotion cérébrale, et 92 % ont recommandé au moins un patient à un spécialiste des commotions durant les trois mois précédents.

Les auteurs du sondage ont noté que les médecins avaient obtenu des résultats très variables dans la manière de reconnaître les signes et les symptômes des commotions cérébrales.

Ils ont également souligné que les cliniques familiales sont le meilleur endroit pour traiter et effectuer un suivi par rapport aux commotions, mais doivent connaître le protocole à mettre à place.

Le nombre de commotions cérébrales chez les enfants a quadruplé depuis 2009, a révélé l’auteur, le Dr Mark Zonfrillo, tel que rapporté par Medical News Today.

Un programme spécial de formation sur les commotions cérébrales a été instauré cette année par des experts provenant d’un hôpital pour enfants de Philadelphie, permettant à plus de 100 médecins de se familiariser avec les exigences reliées à cette condition.

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Les lésions cérébrales traumatiques légères détériorent la qualité de vie des enfants

Céphalées, fatigue, troubles cognitifs et plaintes cognitives, comme l’oubli et l’inattention, sont des symptômes qui peuvent suivre une commotion cérébrale.

Les enfants ayant subi une lésion cérébrale traumatique légère (TCC) sont plus à risque de devoir vivre avec ces problèmes de santé que les enfants en bonne santé ou ceux qui éprouvent une blessure orthopédique.

Une étude publiée dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine confirme que la gravité des blessures peut jouer un rôle important à court terme sur la santé de l’enfant.

Keith O. Yeates, directeur des services de santé du comportement à l’Hôpital pour enfants de Nationwide et coauteur de l’étude, déclare qu’il est important de cibler efficacement les enfants atteints d’une TCC pour leur offrir les soins appropriés.

C’est en comparant les tests neurocomportementaux, les symptômes, les commentaires des parents au sujet du comportement de leur enfant avant l’accident et les estimations du changement des jeunes de 8 à 15 ans qui ont été admis à l’hôpital de Nationwide et de Cleveland que les experts ont pu déterminer que ceux qui sont atteints d’une TCC légère sont plus susceptibles d’afficher des augmentations des symptômes cognitifs et somatiques.

Des recherches supplémentaires devront être faites à ce sujet, mais il a été prouvé que le fonctionnement quotidien des enfants atteints d’une TCC peut être brimé.

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Rappel des dangers des commotions cérébrales

Les commotions cérébrales sont le lot de nombreux sportifs professionnels comme les hockeyeurs, les lutteurs, les boxeurs et les footballeurs. Ces traumatismes à répétition causent toutefois d’importants dommages à l’organe le plus fragile de notre corps.
 
Les personnes qui sont victimes de commotions cérébrales sont plus susceptibles de développer des maladies comme la dépression ou la démence.
 
Une commotion cérébrale suit habituellement un coup à la tête qui cause un déplacement violent du cerveau dans la boîte crânienne. Cela perturbe alors le fonctionnement de cet organe.
 
Il en résulte donc des nausées, des vomissements, des vertiges, de la confusion, de la fatigue, de la faiblesse et des céphalées.
 
L’Association américaine de neurologie a émis un avis demandant aux sportifs victimes de commotions cérébrales d’être évalués et de ne pas reprendre le jeu tant et aussi longtemps que tous les symptômes n’ont pas disparu.