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Comment parler aux enfants des tragédies

La règle la plus importante à respecter, c’est de s’adapter à l’âge de vos enfants, à leur sensibilité et leur empathie naturelle, ainsi qu’à leur « proximité » (géographique ou émotive) par rapport à la tragédie en question. Vous n’êtes pas obligés de donner tous les détails, particulièrement pour les enfants très jeunes.

Une fois que ceux-ci ont un certain âge et qu’ils sont susceptibles d’en entendre parler ailleurs qu’à la maison, il est pourtant important que ce soit vous qui leur appreniez la nouvelle plutôt que quelqu’un d’autre. Il sera ainsi plus facile pour vous de le faire d’une manière qui concorde avec leur personnalité, et vous pourrez aussi répondre à leurs questions et les rassurer, ce qui ne sera pas le cas dans la cour d’école.

Même si vous pouvez ou devez en parler, les experts croient pourtant que la bonne chose à faire, c’est aussi de limiter l’exposition des enfants aux nouvelles véhiculées dans les médias… Il est prouvé que celles-ci font souvent ressortir des peurs et suscitent de l’anxiété chez les enfants. Pendant quelques jours, on ferme donc la télé et on met de la musique dans l’auto!

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Discuter de la fin de vie mènerait à des traitements moins agressifs

Les patients en phase terminale, comme ceux atteints du cancer, seront moins enclins à opter pour des traitements agressifs en fin de vie s’ils ont des discussions ouvertes sur le sujet.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend les propos d’une étude récente sur le sujet. On parle entre autres de l’importance du lien patient-médecin, et de celle de bien communiquer.

Ainsi, plusieurs patients en fin de vie laisseront tomber les traitements qui n’ont pour but que de leur ajouter quelques jours, mais qui n’améliorent pas leur situation ou qui ne leur procurent pas de soulagement réel. De telles méthodes acharnées sont par ailleurs onéreuses.

La Dre Jennifer Mack, auteure principale de l’étude et médecin au Dana-Farber Cancer Institute de Boston, explique : « Les soins agressifs individuels en fin de vie ne sont pas nécessairement mauvais. C’est juste que la plupart des patients qui acceptent le fait qu’ils sont en train de mourir ne veulent souvent plus recevoir ce type de traitement. Nous devrions nous assurer que de bonnes discussions sur le sujet ont lieu rapidement après un diagnostic de cancer incurable ».

L’étude analysait les cas de 1231 patients en phase terminale et note que les discussions à cet effet ont souvent lieu trop tard.

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Comment amener vos enfants à s’ouvrir

Leur poser les bonnes questions : Essayez de formuler les demandes d’une manière qui les pousse à vous en dire un peu plus. Par exemple, « Avec qui as-tu joué à la récréation aujourd’hui? »

Passer du temps ensemble : Le meilleur moment pour leur poser des questions, c’est peut-être lorsque vous faites des activités ensemble, par exemple durant une marche ou lorsque vous faites un bricolage.

Demander aux enfants de tenir un journal : Les enfants plus vieux aimeront peut-être avoir un cahier où ils pourront écrire quelques lignes chaque jour sur leur temps passé à l’école.

En faire un jeu : Par exemple, vous pouvez leur raconter trois anecdotes de votre journée, incluant une qui est fausse. Les enfants doivent deviner laquelle, puis faire de même.

Faire de l’écoute active : Soyez à l’affût de petits commentaires que vos enfants pourraient faire ici et là, sur les enseignants ou d’autres élèves. Il pourrait s’agir là d’un point de départ pour une conversation.

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Comment amener vos enfants à s’ouvrir

Leur poser les bonnes questions : Essayez de formuler les demandes d’une manière qui les pousse à vous en dire un peu plus. Par exemple, « Avec qui as-tu joué à la récréation aujourd’hui? »

Passer du temps ensemble : Le meilleur moment pour leur poser des questions, c’est peut-être lorsque vous faites des activités ensemble, par exemple durant une marche ou lorsque vous faites un bricolage.

Demander aux enfants de tenir un journal : Les enfants plus vieux aimeront peut-être avoir un cahier où ils pourront écrire quelques lignes chaque jour sur leur temps passé à l’école.

En faire un jeu : Par exemple, vous pouvez leur raconter trois anecdotes de votre journée, incluant une qui est fausse. Les enfants doivent deviner laquelle, puis faire de même.

Faire de l’écoute active : Soyez à l’affût de petits commentaires que vos enfants pourraient faire ici et là, sur les enseignants ou d’autres élèves. Il pourrait s’agir là d’un point de départ pour une conversation.

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L’autorité parentale et la génération C

Les enfants nés après 1991 entrent directement dans l’ère des communications, de la collaboration, de la connexion et de la créativité. Voilà pourquoi on les appelle la génération C.

Donc, dans cette optique, la communication est la voie la plus adéquate pour affirmer son autorité auprès d’eux. Selon plurielles.fr, les mêmes valeurs de base demeurent, soit les interdits, les limites et les règles à respecter. Cependant, la clé de l’autorité, aujourd’hui, se base sur l’explication du refus.

Le piège à éviter, c’est l’extrême. On ne doit pas oppresser l’enfant, mais il ne faut pas jeter l’éponge non plus. Le secret, c’est de commencer alors que l’enfant est jeune, quoiqu’il n’est jamais trop tard pour réajuster le tout.

Les parents, en couple ou séparés, doivent eux aussi communiquer afin d’offrir une constance à l’enfant. Si l’un dit non pour une raison, l’autre doit suivre.

Ensuite, il faut tenir son point de vue. C’est là, bien souvent, que le parent abandonne, plie, se ramollit. Mais il faut éviter à tout prix de céder.

L’importance primordiale, dans le processus d’autorité, c’est de faire comprendre et ressentir à l’enfant qu’on lui fait confiance et qu’il est aimé inconditionnellement. Le reste est une discipline, souvent plus difficile pour le parent que pour l’enfant.

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La communication non verbale des bébés pourrait prédire l’autisme

L’autisme est causé par un mélange de composantes génétiques et environnementales, et c’est pourquoi 19 % des enfants qui ont un frère ou une sœur souffrant d’autisme vont également développer un trouble du spectre autistique (TSA).

Des psychologues ont donc tenté de trouver un moyen d’identifier des marqueurs permettant de prédire que ces enfants, dits à haut risque, pourraient plus tard recevoir le diagnostic. Le but de cette démarche posée auprès de bébés âgés de 8 à 15 mois était de leur offrir une intervention rapide, qui pourrait améliorer leur traitement à long terme.

Les chercheurs ont ciblé deux groupes de bébés, un à haut risque et un considéré comme ayant peu de risques de recevoir un diagnostic d’autisme. Ils ont observé si les bébés présentaient les caractéristiques de communication non verbale suivantes : si l’enfant démontrait de l’intérêt pour un objet à un tiers, par exemple en le regardant dans les yeux ou en pointant, si l’enfant demandait de l’aide à un tiers pour atteindre un objet, et si l’enfant répondait au comportement d’un tiers, par exemple en suivant du regard son doigt qui pointait vers un jouet.

Les résultats de l’étude ont démontré que les bébés qui ne présentaient pas ces caractéristiques à 8 mois avaient de très fortes chances d’éprouver des problèmes dans leurs rapports aux autres à 30 mois, ce qui correspond à un indicateur d’autisme important.

« Pour les enfants qui sont à risque de développer l’autisme, des interventions spécifiques axées sur la communication durant leur première année de vie peut grandement en réduire l’impact plus tard », a expliqué l’auteur de l’étude, David Messinger, à Science Daily.

L’étude a été publiée dans la revue médicale Infancy.

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Les animaux de compagnie à la rescousse des enfants autistes

 

En fait, l’animal pourrait aider à améliorer les aptitudes sociales des enfants atteints d’autisme.

« Nous entendions souvent des parents mentionner qu’avoir un animal ou interagir avec un animal aidait vraiment à améliorer les aptitudes sociales de leur enfant, mais il n’y avait pas d’étude qui avait analysé cela scientifiquement », relate la directrice de la recherche environnementale à l’Autism Speaks, Alycia Halladay, à propos de la recherche publiée dans le journal PLoS ONE.

Des médicaments existent pour aider à améliorer des handicaps particuliers, comme les problèmes de coordination, chez les enfants autistes, mais il n’existe pas vraiment de médicaments conçus pour améliorer leurs aptitudes sociales.

Toutefois, le fait d’apprendre à partager avec un animal et de développer des habitudes pour en prendre soin pourrait aider l’enfant.

De plus, l’animal pourrait aider l’enfant à interpréter des signaux et indices de communication, les aidant ainsi à adapter leur comportement.

Rappelons que le fait d’avoir un chien à la maison pourrait protéger le bébé de quelques infections des oreilles et des voies respiratoires, selon une étude américaine publiée récemment dans la revue Pediatrics.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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La thérapie à la rescousse de l’autisme?

Il semblerait, selon une nouvelle étude de l’Université Columbia à New York, que les compétences sociales et la communication de certains enfants autistes pourraient s’améliorer avec le temps grâce à la thérapie.

Cependant, d’autres enfants ne verront pas leur sort s’améliorer et continueront d’avoir des problèmes fonctionnels à mesure qu’ils vieillissent. Selon les experts, tout dépend de l’âge où l’enfant a reçu son diagnostic : plus jeune est le mieux pour entreprendre un suivi rapide et efficace.

De plus, au moment du diagnostic, il faut remarquer si l’autisme était léger ou sévère, car ceux qui sont des cas moins lourds sont plus aptes à s’améliorer, tout comme ceux qui ne sont pas atteints d’une déficience intellectuelle supplémentaire.

Il semblerait que les parents qui offrent un soutien précoce à leur enfant autiste voient de meilleurs progrès auprès de leur jeune.

L’étude indique que les parents instruits et de race blanche avaient tendance à se tourner davantage vers la thérapie et diverses organisations pour aider leur progéniture, ce qui permettait à l’enfant de se retrouver dans le 10 % des autistes qui connaissent les plus grandes améliorations au niveau social entre 3 et 12 ans.

La recherche révèle également que contrairement aux compétences sociales et à la communication, les comportements répétitifs n’auront pas tendance à s’améliorer ou à s’aggraver au fil du temps, pour la majorité des enfants.

Optimisme et persévérance devraient être deux éléments au programme quotidien des parents, selon les chercheurs. De plus, ces derniers espèrent que des lois seront adoptées sous peu pour permettre la légitimité des traitements pour tous, peu importe le statut social, afin d’aider le plus d’autistes possible. Ces derniers devraient poursuivre la thérapie à l’âge adulte, conseillent les chercheurs.

Les détails de cette étude sont parus récemment dans la revue Pediatrics.

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Les enfants de parents schizophrènes sont plus à risque

Le journal Archives of General Psychiatry dévoile qu’une équipe de neuroscientifiques, dirigée par le psychiatre Vaibhav Diwadkar de la Wayne State University, a découvert, grâce à la résonance magnétique, qu’il y avait des différences importantes dans le développement du cerveau entre les enfants de parents schizophrènes et ceux sans antécédents familiaux.

C’est en observant le comportement et le fonctionnement du cerveau de jeunes de 8 à 20 ans, à qui l’on montrait différents visages avec diverses émotions, que les chercheurs ont découvert un dysfonctionnement dans le réseau cérébral.

En effet, les enfants à risque de la maladie avaient un réseau de communication réduit et des réponses désordonnées quand ils regardaient des visages émotionnels, comparativement aux enfants sans antécédents familiaux.

« Le dysfonctionnement du réseau du cerveau associé à la transformation émotionnelle est un facteur prédictif potentiel de l’apparition de problèmes émotionnels qui peuvent survenir plus tard dans la vie et qui sont à leur tour associés à des maladies comme la schizophrénie », explique le Dr Diwadkar.

Grâce à cette étude qui s’est déroulée sur une période de trois ans, l’origine de la maladie pourrait être connue. Une étude longitudinale devra être faite pour savoir si les enfants à risque développent ou non la schizophrénie, car pour le moment, malgré des différences cérébrales criantes, tous les enfants étaient normaux.

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Bientôt une communication possible avec des patients dans un état végétatif

L’année dernière, des chercheurs avaient démontré que certaines personnes dans un état végétatif étaient bel et bien conscientes de leur environnement et pouvaient communiquer avec l’aide de l’imagerie par résonnance magnétique.
 
Voilà pourquoi ils ont tenté de pousser plus loin leurs recherches. Selon The Lancet, ils sont parvenus à créer un appareil portable à moindre coût qui mesure les variations d’activités cérébrales, permettant donc de communiquer avec certaines personnes considérées comme « inconscientes » par la science.
 
Ils ont placé des électrodes sur 16 patients dans un état végétatif en leur demandant d’imaginer qu’ils pouvaient serrer les poings ou bouger les orteils. Trois des personnes sont parvenues à activer significativement les mêmes zones d’activités cérébrales que les douze témoins en bonne santé.
 
« L’un des patients était en état végétatif depuis presque deux ans. Pourtant, il était capable de comprendre ce que nous faisions et de montrer qu’il était conscient », explique un des chercheurs, Adrian Owen.
 
Peut-être que plus de trois personnes étaient assez conscientes de leur environnement, seulement leur volonté n’a pas été assez forte pour pouvoir enregistrer l’activité cérébrale.