Catégories
Uncategorized

Le séchoir à mains serait moins efficace que le bon vieux papier

S’il peut sembler banal, léger et quasi inutile, le débat proposé par cette étude publiée dans le Clinique Mayo Proceedings s’avère cependant beaucoup plus important qu’on pourrait le croire, rapporte Santé Log.

La question est la suivante : doit-on privilégier le séchoir à mains ou le bon vieux papier après s’être lavé les mains dans un lieu public?

D’abord, lorsqu’on sonde l’intérêt ou la préférence des gens entre les deux outils, le papier remporte le concours de popularité, souvent de beaucoup. Il reste à savoir si cette méthode est aussi efficace, ce à quoi ont décidé de répondre des chercheurs australiens de l’Université Queensland, en collaboration avec des chercheurs chinois.

On vous fait grâce des nombreuses statistiques énoncées dans la publication de ces recherches, mais disons simplement que presque tous les tests mènent au même résultat : le séchage des mains à l’ancienne, avec papier, demeure beaucoup plus efficace que sa version technologique par séchoir.

On devrait par conséquent proposer cette option aux gens en milieux publics comme les hôpitaux et les écoles, croient les chercheurs concernés, afin d’assurer la sécurité publique et de prévenir la prolifération de bactéries comme l’E. coli ou encore de virus comme l’influenza et ses nouvelles souches.

Catégories
Uncategorized

Une étude prétend démontrer que les végétariens vivent plus longtemps

Slate rapporte une vaste recherche sur les habitudes alimentaires qui croit pouvoir conclure de façon efficace que les gens qui ne mangent pas de viande ont effectivement un potentiel accru de longévité.

L’étude, publiée par le magazine médical JAMA et rapportée également par le Wall Street Journal, comprend les analyses de plus de 70 000 personnes et de leurs habitudes alimentaires.

Faisant partie de la même communauté et devant se plier pour la plupart aux lois du végétarisme, les chercheurs ont comparé les taux de mortalité et les cas de décès de ces sujets en deux groupes, soient les végétariens convaincus et les mangeurs de viandes.

Conclusion? « Les choix alimentaires semblent avoir joué un grand rôle dans la protection des participants vis-à-vis des maladies cardiaques, dont les végétariens ont 12 % de chances de moins de mourir que les carnivores », expliquent les observateurs du Wall Street Journal.

Une raison de plus de calmer ses envies de viandes… En plus, on avance qu’avec la montée en flèche de population d’ici 2050, la planète entière pourrait devoir réviser ses habitudes alimentaires et faire passer ses apports de viandes de 20 à 5 %, afin de nourrir tout le monde!

Catégories
Uncategorized

Régime nordique contre régime méditerranéen : une nouvelle rivalité est née

Amateurs de nutrition, d’alimentation, de santé ou encore simplement de bons débats houleux, vous voudrez sans doute découvrir cette nouvelle rivalité alimentaire.

On vous faisait découvrir récemment le « régime nordique », consistant de plusieurs aliments et ingrédients traditionnels et locaux scandinaves.

Auparavant, le monde entier avait été frappé de la vague du « régime méditerranéen », qui sévit d’ailleurs toujours en ce moment.

Ce n’était donc qu’une question de temps avant que des études viennent comparer et s’affronter les deux diètes, comme celle rapportée par Santé Log.

La rivalité est donc lancée, mais on ne pourra pas accuser les chercheurs d’avoir été chauvins dans cette histoire, puisqu’ils penchent du côté du régime méditerranéen dans ce premier affrontement… même s’ils viennent de Suède et de Finlande, notamment!

Leurs résultats placent la diète méditerranéenne bien en avant du régime nordique en terme de baisse de cholestérol dans le sang, de prévention du diabète et d’autres maladies, et sur la santé en général.

Par contre, d’autres bienfaits de la diète nordique semblent observables, mais on devra attendre les résultats de nouvelles recherches sur le sujet.

Une rivalité vient de naître!

Catégories
Uncategorized

Comparer nos enfants, une erreur!

Que ce soit conscient ou non, certains parents ont tendance à comparer leurs enfants entre eux où avec ceux des autres. Non seulement c’est indélicat et potentiellement blessant, mais c’est même mauvais pour leur développement. Nos enfants sont tous différents, avec des forces et des lacunes.

Les comparer à « mieux » qu’eux ne fera que les faire sentir insuffisants ou frustrés, et potentiellement développer des problèmes d’insécurité.

Sur ParentsCanada, une blogueuse en parle ouvertement et donne sa famille en exemple. Elle note certaines observations intéressantes.

« Si vous comparez vos enfants, vous être loin du but qui explique la raison d’en avoir. Le point, bien sûr, est de comprendre et développer vos enfants pour ce qu’ils sont, et non pour les comparer aux autres. Cela est d’autant plus vrai pour une famille recomposée dans laquelle vous commencez à distinguer les prédispositions génétiques des enfants de chaque famille. »

« Un enfant pourrait être un élève doué sur le plan visuel, et un autre peut se démarquer en apprenant par cœur. En fin de compte, le but est de prendre chaque enfant pour ce qu’il l’est, de réaliser son potentiel et de mettre sur sa route les outils dont il a besoin pour se développer. »

Catégories
Uncategorized

Faut-il comparer les enfants entre eux?

Même si les parents savent que chaque enfant est unique, il est parfois difficile de s’empêcher de comparer nos enfants avec d’autres du même âge (le petit voisin marche déjà alors que le nôtre ne se tient pas encore bien debout, l’enfant d’une amie sait déjà lire alors que le nôtre n’a aucun intérêt pour apprendre).

Les comparaisons correspondent souvent à un réflexe naturel : si vous rencontrez les parents d’un enfant du même âge que le vôtre, ça ne sera probablement pas long avant que vous commenciez à poliment demander où l’autre se trouve dans son développement.

Selon la médecin de famille de Victoria Tracy Mihaalynuk, « les âges établis pour que les enfants franchissent certaines étapes sont des paramètres, et pas des chiffres absolus. Au lieu de vous inquiéter des stades et de sa capacité à les atteindre le plus rapidement possible, essayez plutôt de vous concentrer sur les beaux côtés et sur l’unicité de votre enfant ».

Il est normal que même des enfants d’une même famille atteignent certains stades à des âges différents. Laissez les frères et sœurs plus jeunes être eux-mêmes et suivre leur propre cheminement.

C’est uniquement dans les cas où l’enfant se trouve vraiment à l’extérieur des chartes qu’il y a peut-être une raison de s’inquiéter. Dans ce cas, il faudrait en parler à son médecin.

Catégories
Uncategorized

La polémique concernant les produits bios fait rage

De plus en plus de gens se tournent vers les produits alimentaires biologiques depuis quelques années. Le nombre de gens résistant à l’idée est tout aussi nombreux, et la polémique entourant le concept bio fait toujours rage.

Une super étude sur le sujet risque d’alimenter les débats, puisqu’elle conclut que les aliments biologiques ne seraient pas « meilleurs » que les autres sur le plan nutritionnel, selon Lanutrition.fr.

Voilà qui a de quoi surprendre et qui mettra sans le doute le feu aux poudres dans le camp des pro-bio, qui vantent constamment les mérites de ces produits.

Les chercheurs ont donc sélectionné 237 études sur le sujet et analysé les résultats. Ils concluent qu’aucun effet significatif ne distingue l’agriculture biologique de l’agriculture conventionnelle, excepté le fait que les produits ne contiennent pas ou peu de pesticides.

Aussi, les aliments biologiques contiendraient moins de bactéries résistantes aux antibiotiques. Des avantages, certes, mais qui ont moins de poids que ce nous aurions pu croire. De plus, les aliments « normaux » contenaient en majorité des résidus de pesticides sous les normales obligatoires en alimentation.

Le bio serait un choix idéal pour les femmes enceintes, les enfants et les personnes âgées aux prises avec des problèmes de santé chroniques.

Catégories
Uncategorized

Les parents sont plus heureux que les autres

Alors que c’était la croyance des dernières décennies, les résultats de deux études parues dans le USA Today émettent le contraire.

« Nous ne trouvons aucune preuve que le bien-être des adultes diminue une fois qu’ils deviennent parents. Nous avons même découvert des preuves solides que le bien-être est élevé lorsque les gens planifient une grossesse et attendent leur premier bébé », affirme l’un des auteurs, Mikko Myrskylä, de l’Institut Max Planck pour la recherche démographique à Rostock, en Allemagne.

En effet, il semblerait que « le bonheur pour les parents augmente de beaucoup au premier enfant, de peu au deuxième, et pas du tout au troisième », avance Myrskylä.

L’âge des parents influencerait également le niveau de joie et de bien-être. Les jeunes parents auraient un niveau de bonheur moins élevé que ceux qui ont un âge plus avancé.

Les parents seraient relativement plus heureux que les non-parents, car au fil des ans, le bonheur des non-parents diminue tout simplement, évaluent les experts.

Pour en arriver à ces conclusions, les niveaux de bonheur de 130 000 adultes dans le monde entier, dont plus de 52 000 parents avant et après la naissance de leur enfant, ont été comparés lors d’une étude à long terme.