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Les garçons plus à risque d’être prématurés que les filles

L’étude a été menée par l’équipe dirigée par Dre Joy Lawn, de la London School of Hygiene & Tropical Medicine, en collaboration avec 50 chercheurs de 35 instituts.

La cause de cette disparité est due au développement intra-utérin plus rapide des fœtus de sexe féminin. « Dans le cycle du développement, les filles sont toujours un peu en avance sur les garçons. Les fillettes marchent avant les garçons, elles parlent avant les garçons, et c’est aussi vrai au niveau du développement dans l’utérus », a rapporté la Dre Lawn au journal Wall Street.

Cependant, selon Science World Report, les chercheurs se demandent encore quelle est la raison qui prédispose les filles à moins de problèmes à la naissance. D’ailleurs, même lorsque les garçons naissent à terme, ils sont plus à risque que les filles de complications, entre autres des troubles infectieux ou la jaunisse.

Plusieurs théories ont été évoquées par les spécialistes, mais l’une d’entre elles prévaut. Selon la Dre Marianne Legato, les chercheurs croient que la femme développe une réponse auto-immune lorsqu’elle porte un garçon. Les tissus mâles causeraient une inflammation au placenta, entraînant un plus faible apport nutritionnel et une diminution de l’oxygène.

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Accoucher à la maison est moins risqué

Selon une récente étude publiée sur le site Medical Xpress, les femmes présentant un accouchement à faible risque qui décident de donner naissance à la maison courent un moins grand danger de complications graves que celles planifiant de faire de même à l’hôpital.

Les résultats sont basés sur les femmes qui en étaient au moins à leur deuxième accouchement, et les compétences des sages-femmes pourraient faire varier les données. Certains autres facteurs ont aussi été pris en considération, comme l’âge de la mère, le statut socio-économique, l’ethnie et la période de gestation.

Ainsi, une équipe de chercheurs néerlandais a décidé de vérifier si les femmes à faible risque en début de travail avec accouchement à domicile avaient un taux plus élevé d’effets rares, mais graves que lors des accouchements planifiés à l’hôpital. Les effets sont surtout les ruptures utérines, l’éclampsie ou une hémorragie majeure obstétrique nécessitant une grande transfusion sanguine.

D’autres complications indésirables comprenaient des hémorragies post-partum (perte considérable de sang après l’accouchement) et l’extraction manuelle du placenta. 146 752 femmes ont été suivies, dont 63 % ont donné naissance à la maison, contre 37 % en centre hospitalier.

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Pour éviter de déclencher trop tôt l’accouchement, il ne faut pas s’aliter

Depuis des générations, les médecins ont tous la même réponse lorsque vous ressentez des contractions avant le temps ou que trop tôt durant la grossesse, vous traversez quelques complications. Selon l’étude soumise auprès de 646 femmes, l’alitement devrait au contraire être évité.

Les candidates avaient été séparées en plusieurs groupes. Les facteurs tenus en compte étaient l’arrêt partiel ou total de vie sexuelle et l’arrêt ou non au travail. De même, le repos suggéré était pris en considération. Certaines devaient être alitées en permanence, d’autre de façon partielle.

Au terme de l’étude, 37 % des femmes alitées avaient accouché avant terme, contre seulement 17 % chez les femmes qui avaient poursuivi leurs activités quotidiennes.

Les résultats obtenus démontrent non seulement l’inefficacité de l’alitement, mais les chercheurs suggèrent également que cette méthode augmente considérablement le stress et l’anxiété, des facteurs directement reliés aux accouchements prématurés.

De plus, Famili rappelle que les longues périodes au lit entrainent une atrophie musculaire et osseuse, en plus de créer un risque supplémentaire de formation de caillots de sang.

D’autres études seront nécessaires, mais le Collège américain des obstétriciens, déjà, soutient cette recherche.

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Les futures mamans prématurées risquent des complications

Les chercheurs montréalais ont découvert que les complications de ces grossesses seraient proportionnelles au niveau de prématurité.

En fait, ces complications sont l’hypertension gestationnelle, le diabète gestationnel et la prééclampsie, entre autres.

Le nombre d’adultes nés prématurément pousse les experts à mettre en garde contre ces complications possibles.

« Sept pour cent des jeunes adultes au Québec sont nés avant terme. Il est important que les professionnels de la santé et les responsables de l’allocation des ressources de santé prennent en compte l’impact des naissances avant terme sur les soins obstétricaux », explique la chercheuse principale derrière cette étude, Anne-Monique Nuyt.

Rappelons que d’avoir un poids santé avant de tomber enceinte permet de réduire les risques de complications, surtout lors de grossesses lorsqu’on a 40 ans et plus.

Cependant, les femmes obèses qui tentent d’avoir un bébé après la trentaine sont plus susceptibles de donner naissance prématurément, de souffrir de diabète gestationnel et d’hypertension artérielle.

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Grossesse : les oméga-3 inefficaces contre les complications

Une étude a prouvé qu’il n’existait aucune différence quant aux risques de complications comme le diabète gestationnel et la prééclampsie entre les femmes consommant beaucoup d’acide gras oméga-3 et les femmes n’en consommant pas.

Cependant, les résultats de l’étude pourraient bien relever en partie du hasard, puisque l’écart entre les résultats du groupe de femmes ayant reçu un placebo ainsi que le groupe de femmes ayant consommé des acides gras oméga-3 est statistiquement irrecevable, faute d’une assez grande différence.

Malgré tout, les acides gras oméga-3 pourraient tout de même avoir des effets positifs. Lors de l’expérience, ils ont « réduit le taux de naissances avant terme », explique le docteur de l’University of Adelaide, Mari Makrides.

De plus, dans le groupe ayant consommé ce type d’acides, aucune convulsion n’est survenue chez les bébés, et 3 femmes sont décédées durant l’accouchement, tandis que dans le groupe ayant consommé un placebo, on comptait cinq cas de convulsions et 12 décès.

Rappelons que d’autres bénéfices de l’huile de poisson ont déjà été remis en question. Selon de récentes études menées par des chercheurs sud-coréens, les suppléments d’huile de poisson ne feraient pas de miracle pour le coeur.

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Le zinc pour réduire les complications chez le bébé

Une étude menée à New Delhi recommande aux médecins d’utiliser le zinc comme traitement complémentaire afin de réduire les risques d’échec en cas d’infection bactérienne chez nouveau-nés.

Les infections de ce type sont l’une des principales causes de décès chez les jeunes bambins, spécialement dans les pays moins développés. 
 
Les scientifiques suggèrent donc d’administrer 10 milligrammes de zinc en cas d’infection en plus des antibiotiques appropriés.
 
À l’issue de leurs études, les auteurs de la recherche ont déterminé que pour 15 nourrissons traités au zinc, il y a au moins l’évitement d’un échec thérapeutique pour l’un d’entre eux.  
 
Le zinc est également reconnu pour intoxiquer les microbes dans notre organisme.
 
Rappelons que le zinc n’a pas d’effets bénéfiques que sur les poupons, puisque les pastilles de zinc peuvent réduire la durée du rhume chez les adultes. En fait, elles permettraient de réduire de deux jours la durée des symptômes. Cependant, les pastilles de zinc n’ont aucune incidence sur l’intensité des symptômes du rhume.
 
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L’ocytocine donne des complications post-partum

L’ocytocine est décrite comme étant l’hormone de l’amour. Elle est sécrétée naturellement par le système nerveux lorsque l’on éprouve du plaisir ou un sentiment d’attachement, mais aussi pendant un accouchement, pour faciliter le travail.
 
Lorsque les choses durent ou se compliquent, l’ocytocine de synthèse est administrée à la future maman par une perfusion et permet de faire accélérer les contractions.
 
Selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), le risque d’hémorragie double lorsque l’on administre l’hormone à une femme en train d’accoucher, et il augmente proportionnellement à la dose donnée.
 
À la suite de ce constat de l’INSERM, le Collectif interassociatif autour de la naissance demande aux professionnels de la santé de modérer leurs pratiques lors des accouchements.
 
Mentionnons que malgré ces dangers attribués, l’administration d’ocytocine se voit dans les 2/3 des accouchements par voie naturelle de nos jours.
 
Selon le Collectif, les pratiques obstétricales de routine seraient, en partie, à l’origine des complications, traumatismes et séquelles qui suivent l’accouchement.
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Quand les brûlures provoquent la mort d’enfants

Dans une étude publiée en ligne par The Lancet, des chercheurs des universités de Toronto et du Texas invitent les médecins qui traitent les enfants brûlés à donner plus d’attention, être plus vigilants et améliorer la thérapie pour ces patients.

Les spécialistes recommandent notamment que les patients pédiatriques atteints de brûlures couvrant plus de 60 % de leur corps soient immédiatement transférés dans un centre spécialisé pour grands brûlés.

De plus, l’enfant en question et sa famille devraient pouvoir bénéficier d’un meilleur suivi psychologique postbrûlures.

Sur un total de 123 952 morts infantiles à l’hôpital Shriners pour enfants aux États-Unis, entre 1998 et 2008, les enfants brûlés du groupe de 30-39 % TBSA ne représentaient que 3 % des décès, tandis que ceux du groupe de 90-100 % TBSA en représentaient 55 %.

Des cas de septicémie et de défaillances multiviscérales ont été trois à quatre fois plus diagnostiqués chez les enfants qui se sont retrouvés dans le groupe des brûlés à 90-100 % de leur corps.

Les chercheurs ont également constaté que la présence et la concentration de nouveaux biomarqueurs pour la fonction des organes, du métabolisme et du contrôle de l’inflammation dépendaient en grande partie du fait que le patient avait des brûlures au-dessus ou en dessous du seuil de 62 % TBSA.

Les nouvelles techniques de greffage, les traitements médicamenteux et les méthodes d’amélioration des soins ont permis de sauver davantage de vies depuis le début des années 90. Cependant, les chercheurs affirment qu’il reste du travail à faire afin de répondre au taux élevé de mortalité des personnes atteintes de brûlures couvrant plus de 60 % de TBSA.

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Oubliez les protéines avant une chirurgie

Une étude parue dans le Science Translational Medicine contredit une vieille recommandation disant d’adopter une alimentation équilibrée, même riche en protéines, avant une chirurgie afin d’aider le corps à récupérer.
 
Une équipe de l’École de santé publique de l’Université Harvard a découvert qu’un régime pauvre en protéines avant de passer sous le bistouri pouvait aider à éviter des complications graves, comme un infarctus ou un accident vasculaire cérébral.
                                                                                    
Deux groupes de souris ont été étudiés. Un groupe a reçu une alimentation sans protéines, et l’autre une alimentation normale. Après avoir été soumises à un stress opératoire, les souris du premier groupe ont toutes survécu, mais 40 % de celles qui ont eu une alimentation normale ont eu des complications mortelles.
 
Les chercheurs ignorent encore les mécanismes biologiques en cause et souhaitent maintenant vérifier l’hypothèse sur les humains.
 
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Fécondation in vitro : exigez deux embryons plutôt qu’un seul

Les femmes ont une meilleure chance de succès pour la FIV si elles ignorent les directives officielles de la Human Fertilisation and Embryology Authority, qui dit qu’il ne devrait pas y avoir plus d’un embryon implanté, en raison du risque de naissances multiples.

Il semblerait que la FIV utilisée pour un seul embryon a plus de chances de conduire à des naissances prématurées ou conduire à l’invalidité.

Les dernières recherches ont révélé que plus de 33 000 naissances FIV avaient été un succès, grâce à l’utilisation de deux embryons.

Cependant, choisir trois embryons serait la goutte qui fait déborder le vase. L’étude a démontré que ce nombre était lié à un risque accru de complications à la naissance.

Certaines cliniques de fertilité ont été accusées de risquer la santé des femmes par l’implantation d’embryons multiples pour accroître les chances d’une naissance.

Maintenant toutes les cliniques doivent avoir une stratégie de réduction des naissances multiples, mais il n’y a toujours pas de sanctions légales.

L’âge de la femme est également pris en considération dans le processus de sélection du nombre d’embryons.