Catégories
Uncategorized

Diagnostic déficient de l’appendicite chez l’enfant

Il semble que des questions financières atteignent la santé des enfants. On apprend dans Le Figaro que près de 18 000 enfants ont reçu un diagnostic 48 heures plus tard que d’autres, en vue d’éviter un trop grand nombre d’interventions coûteuses.

Il s’en est suivi une catastrophe, pour ces enfants. Parmi ceux qui auront ainsi attendu, 22,6 % ont subi une rupture de leur paroi de l’appendice. De plus, une vingtaine d’enfants diagnostiqués trop tard pour une crise d’appendicite auront eu à subir une chirurgie visant à enlever une partie du côlon.

Les enfants tardivement diagnostiqués auront aussi été hospitalisés plus longtemps que les autres; on parle ici d’une proportion comparative de 3,5, soit de 3 à 10 jours.

D’autre part, les considérations financières auront été vaines, car ces diagnostics tardifs auront finalement coûté deux fois plus cher aux compagnies d’assurance.

Toutefois, il faut mentionner que le diagnostic de la crise d’appendicite est ardu chez l’enfant. Il existe malgré tout le score d’Alvaro, lequel sert à évaluer efficacement l’urgence de la situation.

Dans cette charte, chacun des symptômes de l’appendicite correspond à un nombre de points; au-dessus de quatre, le patient est en observation; au-dessus de six, on procède à une intervention.

Catégories
Uncategorized

La moitié des bébés provenant d’embryons congelés sont trop gros

C’est lors de la conférence annuelle de la Société européenne de reproduction et d’embryologie, qui a eu lieu hier (17 juillet) à Stockholm en Suède, que les résultats de la recherche danoise ont été dévoilés.
 
L’étude a été menée auprès de 15 000 bébés divisés en 3 catégories : ceux nés d’une fertilité naturelle et les autres de fertilisation in vitro, à partir d’embryons congelés et non congelés.
 
Les résultats démontrent que 50 % des bébés nés à partir d’embryons congelés, de par leur surplus de poids à la naissance, compliquent l’accouchement. En effet, il n’est pas rare que leur poids dépasse les 10 livres.
 
Le Daily Mail rapporte les explications de la docteure Anja Pinbord, responsable de l’étude de l’Université de Copenhague : « La cryopréservation (congélation) des embryons peut entraîner des modifications épigénétiques (altérations génétiques causées par l’environnement) dans le stade embryonnaire précoce, à la suite des procédures de gel et dégel ».

Alors que les chercheurs mettent l’accent sur le côté positif, c’est-à-dire la réduction du risque d’avoir un bébé trop petit, ils n’ont d’autre choix que d’avouer que de l’autre côté de la médaille, les bébés ainsi procréés mènent la plupart du temps à la césarienne, sans quoi les risques et complications par voie naturelle sont trop élevés.

Catégories
Uncategorized

Accouchement difficile pour les femmes obèses

Une femme qui était déjà obèse ou en surpoids avant sa grossesse court de plus grands risques lors de son accouchement.

Celui-ci doit plus souvent être provoqué, car le temps de gestation d’une femme dans cet état de santé tend à être trop long. Le recours à une césarienne serait aussi plus fréquent.

Ce sont les conclusions d’une étude de l’Université de Liverpool parue dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology.

Ayant porté sur 30 000 femmes qui ont accouché au cours des 4 dernières années, elle a permis d’établir certaines comparaisons entre les femmes en surpoids et celles d’un poids considéré comme normal.

Il semble donc que 3 femmes obèses sur 10 ont dépassé leur temps de gestation, contre 2 sur 10 pour les autres.

De plus, si le quart des femmes de poids santé ont dû faire provoquer leur accouchement, c’est la réalité de plus du tiers des femmes en surpoids ou souffrant d’obésité.

Parmi celles-ci, 3 sur 10 ont vu leur accouchement se solder par une césarienne, alors que moins de 20 % des femmes en général vivent cette situation à la suite d’un accouchement provoqué.

Catégories
Uncategorized

Un bébé né plus tard risque aussi l’hospitalisation

L’hospitalisation future d’un bébé né vers la 36e semaine de gestation semble tout aussi fréquente que s’il est prématuré.

C’est ce que nous apprend une analyse de données de l’Hôpital universitaire de Loyola ayant porté sur les bébés nés à cet endroit.

Ainsi, un enfant qui naît entre la 34 et la 37e semaine de grossesse reçoit les mêmes soins qu’un autre né complètement à terme. Mentionnons que ce fait touche les bébés ayant une taille et un poids dans la moyenne.

Ce même traitement ferait en sorte que les bébés de la 36e semaine ont près de 2 fois plus de risques de vivre une hospitalisation durant leur 1er mois de vie que ceux nés à la 34e ou 35e semaine.

Les dirigeants de l’étude soulignent donc l’importance de traiter les bébés nés près de la maturité de la même manière que ceux nés prématurément.

La raison est que ces petits ne sont pas réellement à terme. Cela augmente les risques de complications, comme la jaunisse, les problèmes respiratoires et l’hypothermie.

Le communiqué de l’Université Loyola mentionne finalement que les naissances entre la 34e et la 37e semaine représentent aujourd’hui 70 % des naissances dites prématurées.

Catégories
Uncategorized

Des complications de grossesse liées à un type de fécondation in vitro

Selon une étude parue dans Obstetrics & Gynecology, les risques de prééclampsie sont de 17 % si les femmes portent un ovule déjà fécondé, contre 5 % si elles utilisent la méthode traditionnelle de fécondation in vitro.

Les complications de grossesse seraient donc plus grandes si l’on implante un ovule déjà fécondé au lieu de féconder un ovule de la patiente. Les risques d’accouchement prématuré seraient aussi plus élevés.

L’apparition de la prééclampsie serait de toute évidence en lien avec la réponse du système immunitaire lors de la reconnaissance de cellules étrangères.

Rappelons que la prééclampsie se reconnaît par une hausse de la pression artérielle et un plus haut taux de protéines dans l’urine.

D’autre part, cette affection de grossesse serait plus fréquente lorsque la future mère porte un embryon ayant été congelé.

Cette étude menée par un hôpital du Rhode Island, aux États-Unis, s’est étalée de 1998 à 2005. Elle a porté sur 77 femmes ayant porté des ovules préalablement fécondés, ensuite comparées à 81 femmes ayant suivi la méthode traditionnelle de fécondation in vitro.

Catégories
Uncategorized

Les effets préventifs d’une tasse de café

Selon une étude parue dans le Metabolism Journal, des chercheurs ont avancé qu’une complication potentiellement mortelle à laquelle sont sujettes certaines femmes à la suite de traitements de fécondation in vitro (FIV) pourrait ne pas se présenter chez celles qui boivent du café.

Autour de 5 à 10 % des femmes qui se soumettent à la fécondation in vitro doivent ensuite faire face au syndrome d’hyperstimulation ovarienne (HSO) et on aurait maintenant identifié une cause possible à cela.

Des scientifiques de la Middlesex University et de la Barts and The London School of Medicine and Dentistry ont analysé le liquide présent autour de l’ovule et ont annoncé qu’il s’y trouvait des niveaux étonnamment élevés d’adénosine chimique.

Ils croient que la HSO se produit quand la stimulation des médicaments de la FIV crée des niveaux élevés d’adénosine, ce qui entraîne la dilatation des vaisseaux sanguins et l’infiltration du sang dans les tissus.

Toutefois, boire une tasse de café fort lors de chaque cycle de fécondation in vitro réduirait les possibilités que survienne une hyperstimulation ovarienne.

Les chercheurs ont mentionné qu’une des solutions pourrait être dans la caféine, car elle est en concurrence avec l’adénosine pour les mêmes récepteurs et bloque donc son action.

D’autres recherches sont en cours avec des patientes qui ont eu recours à la fécondation in vitro et qui ont souffert de la HSO afin de vérifier si la caféine permet vraiment d’éviter cette complication.

Catégories
Uncategorized

Les effets préventifs d’une tasse de café

Selon une étude parue dans le Metabolism Journal, des chercheurs ont avancé qu’une complication potentiellement mortelle à laquelle sont sujettes certaines femmes à la suite de traitements de fécondation in vitro (FIV) pourrait ne pas se présenter chez celles qui boivent du café.

Autour de 5 à 10 % des femmes qui se soumettent à la fécondation in vitro doivent ensuite faire face au syndrome d’hyperstimulation ovarienne (HSO) et on aurait maintenant identifié une cause possible à cela.

Des scientifiques de la Middlesex University et de la Barts and The London School of Medicine and Dentistry ont analysé le liquide présent autour de l’ovule et ont annoncé qu’il s’y trouvait des niveaux étonnamment élevés d’adénosine chimique.

Ils croient que la HSO se produit quand la stimulation des médicaments de la FIV crée des niveaux élevés d’adénosine, ce qui entraîne la dilatation des vaisseaux sanguins et l’infiltration du sang dans les tissus.

Toutefois, boire une tasse de café fort lors de chaque cycle de fécondation in vitro réduirait les possibilités que survienne une hyperstimulation ovarienne.

Les chercheurs ont mentionné qu’une des solutions pourrait être dans la caféine, car elle est en concurrence avec l’adénosine pour les mêmes récepteurs et bloque donc son action.

D’autres recherches sont en cours avec des patientes qui ont eu recours à la fécondation in vitro et qui ont souffert de la HSO afin de vérifier si la caféine permet vraiment d’éviter cette complication.

Catégories
Uncategorized

Pas de complication de la grossesse pour les femmes épileptiques

Le point mentionne que les femmes qui souffrent de crises d’épilepsie ne courent aucun risque durant leur grossesse.
 
Selon une lettre de la Fondation française de la recherche sur l’épilepsie, qui cite une étude américaine sur le sujet, dans 92 % à 96 % des cas, il n’existe aucune complication pour ces femmes enceintes.
 
La maladie ne s’aggrave pas avec la grossesse et elle n’a pas d’influence sur le déroulement de la grossesse et de l’accouchement.
 
Toutefois, on rappelle que les femmes épileptiques qui tombent enceintes doivent absolument avoir un suivi rigoureux, car il s’agit tout de même d’une grossesse à risque.
 
Un neurologue et un obstétricien veilleront sur la future mère et son enfant. De plus, la médication devra être ajustée sinon on risque d’avoir des malformations du fœtus durant le premier trimestre de la grossesse.
 
La grande majorité du temps, tout se déroule normalement et les femmes épileptiques peuvent jouir de la maternité comme toutes les femmes en bonne santé.