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Trucs et Bricolages

Test: en amour, êtes-vous du type distant ou entreprenant?

Quel est votre pattern, en matière de relations amoureuses? Qu’est-ce qui vous caractérise en ce domaine et qu’est-ce qui vous bloque?

Pour le vérifier, il vous suffit de lire l’interprétation associée à l’image que vous verrez en premier ici:

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Vous avez vu l’arbre

Vous êtes une personne très engagée dans les relations que vous entreprenez, que ce soit en amour, en amitié ou au travail. Vous désirez mener à bien vos relations.

En amour, votre partenaire sait que vous êtes  quelqu’un de dévoué, d’attentionné et à l’écoute. Les besoins de votre âme soeur ont une importance majeure pour vous. Le problème, c’est que vous avez tendance à vous oublier dans tout ça.

Oui, prendre soin de la personne que vous aimez est très important, mais il ne faut pas que cela soit à vos dépens.

Aimez-vous autant que vous aimez l’autre!

Vous devez être à l’écoute de vos propres besoins pour mettre des limites dans vos relations interpersonnelles. Il vous faut trouver le juste équilibre, sans terre pour autant votre empathie.  Car pour être stable émotionnellement, vous devez aussi appliquer cet empathie envers vous-même!

Il est important de cultiver votre paix intérieure. Être en accord avec vos besoins personnels et vos désires profonds sera bénéfique pour votre couple! Car votre partenaire sera plus conscient de vos aspirations. Si vous êtes en phase avec vous-même, la vie amoureuse sera plus paisible pour vous deux.

Si vous avez vu des visages qui se regardent

Vous faites partie des gens qui agissent de façon logique et qui ne se laissent pas souvent emporter par leurs émotions et sentiments.

En amour, vous prenez toujours du recul, car vous ne voulez pas prendre des décisions irréfléchies. 

En début de relation, vous prenez toujours votre temps avant de vous engager entièrement. Une fois engagé.e, vous avez tendance à garder une certaine distance émotionnelle entre vous et votre partenaire et cela peut affecter le couple.

Vous avez tendance à vous préparer une porte de sortie, au cas où l’histoire prendrait fin. Donc, puisque vous ne vous investissez pas entièrement dans la relation, celle-ci n’évolue que très peu.

Cela peut révéler chez vous une peur d’être abandonné.e. Vous voulez protéger votre coeur tout le temps. Cela risque de faire en sorte que vous passerez le reste de votre vie en solo!

Si on veut qu’une relation fonctionne, il faut donner de sa personne. Apprenez à ouvrir votre cœur et à accorder votre confiance à l’être cher.

Cela ne veut pas dire de vous lancer tête baissée dans une nouvelle histoire amoureuse. Peu à peu, apprenez à connaître l’autre pour voir si ses traits de caractère vous correspondent. La personne parfaire n’existe pas, alors demandez-vous si vous êtes prêt.e à vivre avec les défauts de l’autre. Si les sentiments sont partagés et que ces défauts vous « conviennent, allez-y!

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10 comportements que votre coiffeur déteste

Quand on va chez le coiffeur, on peut adopter certains comportements qui dérangeront la personne responsable de nous arranger la tignasse.  Ce n’est pas nécessairement pour mal faire ou par manque de respect intentionnel, mais il vaut mieux se livrer à un petit examen de conscience avant notre prochain rendez-vous!

Voici 10 choses qui irritent les coiffeurs!

1. Annuler le rendez-vous à la dernière minute (ou ne pas y aller du tout, sans avertir)

Annuler le rendez-vous à la dernière minute, ou carrément ne pas s’y présenter sans rien dire, empêche le coiffeur de donner la place à un autre client et donc, le prive d’un revenu. La moindre des choses est de contacter le salon le plus tôt possible.

2. Aller au rendez-vous quand on est malade

La COVID aurait dû nous apprendre ça… Se présenter au salon de coiffure quand on est malade met le coiffeur et tous ses collègues et autres clients à risque d’attraper le virus… On attend donc quelques jour pour rafraichir notre coupe!

3. Arriver en retard

Tout le monde peut être en retard de temps en temps. Quand on est reconnu.e pour toujours l’être, c’est une autre histoire! Le retard d’un client peut avoir un effet domino sur toute la journée du coiffeur. Cela peut déranger les professionnels, mais aussi les autres clients qui attendent…

4. Bouger constamment

Se lever sans cesse, toujours baisser la tête our consulter son téléphone, avoir la bougeotte… Ça dérange le coiffeur et ça peut mettre en péril le résultat de la coupe ou de la coloration.

5. Parler de sujets lourds

Les coiffeurs ont beau être souvent de fins psychologues, il vaut mieux ne pas aborder certains sujets lourds ou risquant de créer la polémique dans le salon.

6. Ne pas respecter les lieux

Un accident, ça peut arriver, mais on tente d’éviter les dégâts de café. On ne touche pas à tout sans permission, on ne déplace pas tous les magazines… Les coiffeurs nous accueillent comme des invités; on doit faire preuve de civisme!

7. Arriver sans savoir ce qu’on veut

Qu’on ait pris rendez-vous pour une teinture ou une coupe, il est toujours mieux d’avoir une idée de ce qu’on veut avant de s’assoir sur la chaise du coiffeur! Tergiverser fait perdre du temps à tout le monde…

8. Garder les yeux ouverts pendant le shampoing

De un, ça fait bizarre. De deux, ça augmente les risques d’avoir des produits dans les yeux. Au lavabo, on se détend!

9. Parler longuement au téléphone

Un coiffeur comprendra que le client réponde rapidement à un appel urgent. Mais une conversation qui peut attendre, c’est une autre histoire. Respect!

10, Ne pas laisser de pourboire

Quand on est satisfait du travail du coiffeur, le pourboire est de mise pour démontrer notre appréciation. On suggère de donner environ 20%.

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Art de vivre

Mes enfants, ces anges à l’école

(CHRONIQUE)

J’ai croisé l’enseignante de ma fille sur la rue dernièrement et on a marché un bloc ensemble.

« Je voulais vous dire à quel point je suis contente de l’avoir dans ma classe.  Elle est tellement gentille, polie, généreuse, douce avec les autres. Elle prend certains enfants en difficulté sous son aile, elle organise leur pupitre et leur horaire… »  

« Ah oui?  Je veux dire…  Ah oui! »

Ma fille
Crédit:www.saramaudephotographie.com

Je crois que j’ai eu l’air bête, ou mêlée dans ma ponctuation.

Ce n’est pas que je n’étais pas contente ou fière du commentaire, j’avais juste l’impression (encore une fois) qu’on me parlait d’une autre enfant que la jeune pré-ado qui vit sous mon toit. Un contraste à la Dr. Jekyll et Mr. Hyde.

Bon, je ne dis pas que ma fille est complètement à l’opposé de ces belles qualités. N’allez pas croire non plus que je ne la trouve pas fabuleuse, elle l’est. Toutefois, à la maison c’est un peu différent.  La politesse est son défi pour lequel nous avons un calendrier à collants et le partage et les besoins de l’autre alimentent  beaucoup les disputes. Et que dire de l’organisation?  Ah!  Seigneur! Ce n’est pas dans sa chambre qu’on la remarque (ou on ne la comprend peut-être pas). Notre quotidien est souvent pimenté de conversations (argumentations) qui finissent en « t’es plaaaaaaaaate », en réflexions, en excuses aux plus jeunes et j’en passe.  Disons de façon bienveillante que ça semble moins naturel ici. 

Mais bon, qu’est-ce que tout cela veut dire ? Je remarque également la même situation avec mes propres élèves lorsque je rencontre leurs parents, ça doit donc être relativement commun.  Ça m’arrive régulièrement qu’un parent me mentionne: “Quand il n’écoute pas, on lui dit qu’on va te le dire.”  C’est souvent mentionné à la blague, mais je comprends l’idée et ça me rappelle drôlement ma propre fille.

Pourquoi donc? Je m’amuse à croire que mon éducation de feu ainsi que les valeurs et attitudes positives que je travaille avec ma grande, et dont on discute jour après jour, portent finalement fruit (il faut bien s’encourager n’est-ce pas).  J’imagine aussi que le milieu familial est un endroit qui lui permet de “ventiler”. Ça me fait drôlement penser aux fois où je suis impatiente à la maison, ça vous arrive ? Lorsqu’on tombe sur la tête de notre conjoint ou conjointe après une grosse journée. On ne se permettrait assurément pas ça au travail.

Ma fille
Crédit:www.charlottebdomingue.com

Cet événement n’était pas le premier et le running gag de la discordance entre l’école et la maison revient souvent ici. « Heille, on a encore encensé son attitude positive. » Je suis fière, je le crois, mais je ne peux pas m’empêcher de trouver ça drôle. J’aimerais pouvoir l’observer à l’école, voir comment elle évolue en société lorsque je ne suis pas là.

Et vous ? Est-ce que vos enfants semblent différents à l’école et la maison?

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Bébé et cie

4 minutes d’exercice en classe peuvent faire des miracles

Une nouvelle recherche mentionne que 4 minutes d’exercices amusants améliorent considérablement la capacité d’apprentissage et le comportement dans les classes du primaire.

C’est une excellente nouvelle, puisque de moins en moins de cours d’éducation physique sont compris dans les cases horaires scolaires. Le programme aurait donc tout avantage à être incorporé rapidement pour les élèves de la première à la sixième année.

Brendon Gurd est l’auteur de cette étude mettant à l’essai le FUNterval (intervalle amusant) pour les élèves de 2e et 4e année. Ces 4 minutes comprennent en intervalle des exercices de haute intensité et des informations sur la façon de vivre et de s’alimenter sainement.

« En Ontario, 20 minutes d’activité physique par jour sont requises dans les écoles primaires. Il y a cependant un besoin d’innovation et de méthodes accessibles pour que les professeurs puissent satisfaire aux exigences. »

Les activités ont été développées sous forme de thématiques, joignant des mouvements à une histoire (ex. : on ramasse du bois, on attrape des papillons), mentionne medicalnewstoday.com.

Les effets sur l’attention et le comportement se faisaient sentir pendant les 50 minutes qui suivaient l’exercice.

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Bébé et cie

Un chien détecteur de stress pour aider les enfants à l’école

Chaque matin, Cali, une chienne de 18 mois, renifle les 85 étudiants de l’école Calais à Whippany, au New Jersey. Elle aide sa maîtresse, la spécialiste Casey Butler, à détecter les jeunes qui ne se sentent pas bien.

Cali peut déceler l’odeur du cortisol chez l’humain, une hormone produite en réponse au stress ou à l’anxiété. De plus, sa présence met les enfants en confiance. Tour à tour, elle passe devant eux, puis en gestes très discrets, Mme Butler sait si tel ou tel élève est en situation de stress.

Le New York Times rapporte que l’enfant est surpris lorsqu’il dit bien aller et que Casey Butler affirme « Eh bien, Cali me dit le contraire ».

Les enfants concernés ont tous des difficultés à gérer l’anxiété et le stress, puisqu’ils souffrent d’autisme, de déficit d’attention ou d’autres troubles du comportement.

Cali arrive même à diriger la spécialiste vers des élèves en difficulté qui sont à l’autre bout d’un couloir.

L’initiative a été chaudement accueillie par tout le personnel enseignant. La réussite du programme ouvre donc la voie à d’autres écoles qui souhaiteraient venir en aide de cette façon aux élèves nécessitant des soins spéciaux.

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Bébé et cie

La saison de naissance de votre bébé influencera son tempérament

La science s’est collée à l’astrologie le temps d’une recherche, rapporte Science World Report. Celle-ci a été effectuée par le professeur Xenia Gonda et a été basée sur 400 candidats. Les résultats seront présentés à Berlin pendant l’European College of CNP Congress.

« Des études biochimiques ont démontré que la saison à laquelle vous êtes né a une influence sur certains neurotransmetteurs de monoamine comme la dopamine et la sérotonine, même à l’âge adulte », a confié Gonda.

« Les saisons ont une incidence sur notre humeur et notre comportement. Même que notre saison de naissance pourrait influencer notre risque à développer certaines conditions médicales, incluant certains troubles de santé mentale », explique un autre chercheur du nom d’Eduard Vieta.

Les résultats ont démontré que les gens nés pendant la saison chaude, contrairement à ceux nés en hiver, avaient beaucoup plus de sautes d’humeur, mais avaient aussi un tempérament plus positif, surtout si elles étaient nées au printemps.

Quant aux gens nés en période froide, ils étaient de nature moins irritable comparativement à ceux des autres saisons. S’ils étaient nés en automne, ils avaient moins de chance de développer un tempérament dépressif.

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Bébé et cie

Une mère qui consomme de la cocaïne peut engendrer un enfant agressif

La recherche menée auprès de 200 familles à faible revenu a fait ressortir les principaux facteurs déclencheurs de troubles comportementaux chez les enfants dont la mère consomme de la cocaïne.

Ce sont les scientifiques de l’Institut de recherche sur les dépendances de l’Université de Buffalo qui ont mis en lumière cette corrélation. Le comportement agressif, les difficultés avec l’autorité et les batailles qui ont lieu à la maternelle sont attribuables, principalement, au comportement de la mère cocaïnomane avec son enfant à l’âge de 2 ans.

La prise de drogue pendant la grossesse crée déjà une lacune au niveau du lien hormonal mère-enfant, rappelle Medical News Today. On a donc cru lors de précédentes études que seule la prise pendant la grossesse affectait le comportement de l’enfant.

Dre Rina Das Eiden explique : « Les femmes qui consomment de la cocaïne ont plus de difficulté à aider leur enfant lors de l’apprentissage de la gestion du comportement, ce qui peut mener à des troubles dès la maternelle ».

Cette étude vise entre autres de meilleures interventions des services familiaux auprès des enfants nés dans ce milieu.

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La lésion traumatique cérébrale liée à un comportement néfaste chez les jeunes

Les adolescentes sont en effet plus à risque d’agir de manière à mettre leur santé en danger si elles ont subi une LTC (lésion traumatique cérébrale), selon Medical News Today.

Une nouvelle étude a analysé 13 comportements à risque tels que les idées suicidaires, fumer de la marijuana et surconsommer de l’alcool. En tout, 9288 adolescents ontariens ont participé au sondage.

« Les garçons comme les filles étaient plus à risque de divers comportements dangereux s’ils avaient un historique de LTC, mais les filles étaient plus nombreuses dans les 13 comportements, alors que les garçons se démarquaient dans 9 d’entre eux. »

Ainsi, selon Dre Gabriela Llie, « le genre est important lorsqu’il s’agit de lésion traumatique cérébrale ».

Dans la revue PLoS ONE, on peut lire que les filles étaient plus portées aux idées suicidaires, à fumer la cigarette, subir de l’intimidation et vivre une plus grande détresse psychologique.

Bien que ce type de lésion soit « invisible », informe Llie, ce n’est pas une excuse pour que les médecins, les intervenants scolaires et les parents ignorent les conséquences possibles.

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Potins

Amanda Bynes s’est fait suspendre de ses cours le mois dernier

Amanda Bynes a été suspendue de l’école de mode à laquelle elle s’était inscrite.

Le Fashion Institute of Design and Merchandising a en effet interdit l’accès aux cours à l’actrice de 28 ans, qui vient tout juste d’être arrêtée en état d’ébriété au volant de son véhicule.

Selon les amis de Bynes, rapporte entertainmentwise.com, il y avait des « signes précurseurs » de sa rechute depuis un moment déjà.

TMZ rapporte que l’actrice était sous l’effet de drogues en classe et essayait de payer les autres étudiants pour qu’ils fassent ses devoirs. Elle entrait aussi dans de terribles colères contre certains élèves, et a été surprise à tricher pendant un examen.

Les parents d’Amanda Bynes, qui ont la responsabilité légale de leur fille, ne l’avaient pas vue depuis un moment et n’étaient même pas au courant qu’elle avait été arrêtée.

Bynes aurait même cessé de prendre sa médication pour la schizophrénie et la bipolarité.

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À quel moment intervenir auprès des adolescents qui se mettent en danger

Une conduite à risque, informe Le Figaro, comprend la consommation de tabac, alcool et cannabis, mais encore, il s’agit de danger physique comme une mauvaise conduite automobile ou autre.

Le Dr Chambry met en garde devant le comportement « naturel » de l’adolescent qui n’a pas confiance en lui. Souvent, il s’agit d’une réponse à des difficultés relationnelles, mais comme il se refermera sur lui-même, il est difficile pour le parent de deviner ce qui se passe.

« Il peut alors surinvestir des sensations qui lui donnent l’illusion d’une maîtrise qu’il n’a pas avec autrui. » C’est pourquoi les adolescents s’accrochent facilement à toute substance ou activité qui leur donnera la sensation d’être plus forts, mieux dans leur peau.

Là où le parent doit intervenir, c’est lorsque les conduites dangereuses se répètent ou se multiplient. Il faut dès lors consulter, puisqu’on rappelle que le suicide à l’adolescence est bien moins lié à la dépression qu’à l’intolérance et à la déception. « Ils n’ont pas envie de mourir, mais ne veulent pas être déçus. »