Catégories
Uncategorized

L’alcoolisme foetal réduit la matière grise

Les bébés atteints du syndrome d’alcoolisme fœtal accusent plus tard des problèmes moteurs, de même que des difficultés quant à leur comportement et leur cognition.

De récentes recherches ont démontré que le volume de la matière grise était réduit de manière notable chez ces enfants. On pourrait peut-être mieux comprendre les répercussions de l’alcool chez le bébé en étudiant cette lacune.
 
Une étude de l’Université de l’Alberta, publiée dans Alcoholism: Clinical & Experimental Research, a donc fait la lumière sur cette différence dans les structures cérébrales chez les enfants atteints de ce syndrome.
 
Après avoir examiné 28 enfants atteints et 56 autres en bonne santé, tous âgés de 6 à 17 ans, les chercheurs ont découvert qu’en effet, le volume de la matière grise était moindre dans les six structures du cerveau en jeu.

On pourrait arriver à mieux comprendre les répercussions de l’alcoolisme durant la grossesse. Par exemple, l’effet dévastateur causé à la matière grise affecterait les fonctions cognitives en nuisant à la bonne communication entre différents points du cerveau.

Catégories
Uncategorized

Le traitement de votre dépression est bon pour votre enfant

On peut lire dans l’American Journal of Psychiatry les résultats d’une recherche ayant porté sur la dépression de la mère et les répercussions sur son enfant. Il semble qu’au fur et à mesure qu’un traitement progresse, l’enfant démontre une amélioration quant à son comportement.

Ces résultats sont très encourageants, même que plus l’état de la mère s’améliore, plus l’enfant va bien aussi, toujours selon cette recherche. Il semble également que l’enfant n’a pas besoin de suivre lui-même un traitement.
 
Même un an après la rémission complète de la mère, l’enfant continue à démontrer des améliorations. À l’inverse, si une mère ne répond pas au traitement de la dépression, alors l’enfant ne s’améliorera pas non plus.

Ces observations ont été faites à la suite d’analyse de données portant sur les effets négatifs que peut avoir la dépression de la mère sur ses enfants.

Catégories
Uncategorized

L’allaitement pour un bon comportement?

Allaiter votre bébé pourrait non seulement vous protéger tous deux de maladies, cela pourrait même prévenir les problèmes de comportement, lisons-nous sur Medical News Today.

Plusieurs spécialistes approuvent ce lien. Une équipe de l’Université d’Oxford aurait donc démontré que les bébés allaités seraient moins enclins à développer des problèmes de comportement que ceux nourris au lait maternisé.
 
Semble-t-il que l’allaitement inculquerait des modèles comportementaux que l’enfant suivrait toujours, une fois plus vieux. Ces constatations ont été faites à la suite de l’analyse d’un sondage effectué auprès de 9 500 mères et leur bébé. L’enquête en question s’était tenue en 2000 et 2001.
 
Les participantes devaient faire état de problèmes vécus avec leur enfant. Des résultats anormaux étaient moins fréquents chez les enfants qui avaient été allaités au moins 4 mois, soit dans une mesure de 6 %.

À l’opposé, des problèmes de comportement ont été relevés dans une proportion de 16 % chez ceux qui avaient été nourris au lait maternisé.

Catégories
Uncategorized

Prévenir la violence par l’éveil des enfants

On peut lire dans Pediatrics qu’un programme éducationnel entamé dans les années 80 a fait ses preuves quant à la prévention de la violence.

En effet, une série d’études ayant porté sur ledit programme ont démontré que l’éveil chez le bébé joue un rôle prédominant quant à son comportement futur.
 
Ainsi, un jeune enfant que l’on pousse à interagir et à jouer avec sa mère deviendrait un adulte ayant moins recours à la violence et ayant une meilleure éducation. Il aurait même un quotient intellectuel plus élevé.
 
La recherche en question, menée par l’Université des Indes occidentales en Jamaïque il y a une vingtaine d’années, avait porté sur 129 bébés jamaïcains. D’une durée de deux ans, elle avait constitué en la comparaison de trois groupes.
 
Les enfants du premier groupe avaient suivi le programme de stimulation, alors que ceux du deuxième groupe avaient simplement reçu du lait maternisé. Un troisième groupe comprenait des enfants qui avait à la fois suivi le programme et pris du lait.

Finalement, les participants ont subi une évaluation lorsqu’ils ont eu 22 ans. Ceux qui avaient reçu une stimulation étaient 65 % moins enclins à avoir recours à la violence.

Catégories
Uncategorized

Un traitement qui pourrait être prometteur pour les enfants atteints d’autisme

Bien que les recherches se poursuivent à l’Agence de recherche des soins de santé et de qualité aux États-Unis, il semblerait qu’un traitement médical soit prometteur pour les enfants atteints d’autisme.

La mise à jour de la recherche a été publiée dans le journal Pediatrics, apprend-on sur Health News. L’étude porte principalement sur les effets de deux médicaments, la rispéridone et l’aripiprazole, communément utilisés pour traiter le trouble du spectre autistique (TSA).
 
Les résultats sont concluants quant à la diminution de certains comportements, dont la détresse émotionnelle, l’agression, l’hyperactivité et l’automutilation. Néanmoins, les effets secondaires sont importants, consistant en une prise de poids rapide et de la somnolence. D’autre part, aucun des médicaments utilisés n’agit à la fois sur le comportement général et les aptitudes sociales, ce qui pose problème.
 
L’opinion des scientifiques est mitigée, puisque la recherche comporte trop de limitations. Chaque cas de TSA étant différent, il est impossible d’obtenir des résultats probants sur une base régulière ou d’affirmer que l’un des traitements est plus efficace qu’un autre. 

Ainsi, l’efficacité dépend du degré de gravité d’autisme, de la phase à laquelle l’enfant est pris en charge et de la combinaison du traitement médical au traitement comportemental.

Catégories
Uncategorized

Dur, dur d’être maman

Une étude parue dans Pediatrics fait un constat plutôt inquiétant sur la santé des jeunes parents et de leurs enfants. Il semble que la parentalité entraînerait son lot de problèmes sur la santé, particulièrement pour les mères.

En effet, un sondage effectué auprès de 1 500 adultes dans la vingtaine a démontré que les mamans étaient plus enclines à consommer de la malbouffe et des aliments très caloriques que les autres femmes.
 
Ce comportement est bien entendu reproduit par leurs enfants. Ce constat est assez inquiétant, d’autant plus que les mères avaient aussi un indice de masse corporelle plus élevé que les autres.

Malgré tout, on a noté, par le biais d’un sondage, que les jeunes parents, tant les hommes que les femmes, faisaient des activités physiques d’un effort modéré à vigoureux.

Catégories
Uncategorized

Comportement des enfants : la pollution en cause?

Des symptômes de déficit de l’attention et de dépression ont été plus remarqués chez des enfants âgés de 5 à 7 ans ayant été plus fortement exposés à la pollution de combustibles fossiles.

Cette observation, tirée d’une étude parue dans Environmental Health Perspectives, a pu être établie après que l’on ait analysé le sang du cordon ombilical de 215 bébés. Une fois les enfants plus vieux, on a fait des comparaisons entre l’état de leur comportement.
 
C’est la première fois qu’une étude porte sur les répercussions environnementales quant au comportement. Les émissions dues à la trop grande circulation automobile ont été particulièrement ciblées dans cette recherche.

Les problèmes d’anxiété et de dépression ainsi que ceux liés à l’attention ont bien entendu des conséquences sur les résultats scolaires des enfants, sur leurs relations avec leurs pairs ainsi que sur tout autre aspect social.

Catégories
Uncategorized

Famille de deux filles : combinaison gagnante

Après avoir comparé 12 combinaisons différentes de frères et de sœurs, des chercheurs ont conclu que la meilleure combinaison est 2 sœurs, rapporte Slate.fr. Les familles à enfant unique ne faisaient pas partie de l’échantillon de recherche.

Cette vaste étude comprenait 2 116 parents d’enfants de moins de 16 ans. On a demandé aux participants de relever différents comportements de leurs enfants par rapport à la comptabilité, aux jeux communs et aux disputes, par exemple.
 
Avoir deux filles représente donc la meilleure combinaison possible. Elles auraient peu de disputes, joueraient plus souvent ensemble et embêteraient moins leurs parents.
 
D’autre part, il semble que le pire scénario soit d’avoir quatre filles. Les parents de l’étude qui formaient une telle famille étaient les moins satisfaits. Ils auraient plus de difficulté dans leur vie quotidienne et seraient mécontents du comportement de leurs enfants. Dans ces familles, on a relevé quatre disputes ou bagarres par jour en moyenne.

On conclut toutefois que les parents interrogés n’aimaient pas moins leurs enfants que les autres, mais qu’ils rencontraient simplement plus d’embûches quant à la gestion de leur vie de tous les jours.

Catégories
Uncategorized

Une vision différente de la communication chez les bébés

Contrairement à ce que l’on croit, les bébés ne vivent pas au moment présent; ils conservent une influence du passé. C’est ce que suggère une récente étude parue dans Infancy.

Il semble donc que les jeunes enfants agissent de façon beaucoup plus mature que l’on ne croit et qu’ils se basent sur des empreintes de leur vie pour agir, au fil du temps.
 
Ainsi, les bébés sont en mesure de maîtriser leur comportement, et ce, en regard de la façon dont ils ont agi précédemment. Ils sont donc influencés par leurs actions passées.
 
L’aptitude d’avoir des actions intentionnelles leur permet d’atteindre des objectifs mentaux. Ces constats ont été faits après que l’on ait observé 13 jeunes enfants de 4 à 24 semaines en interaction avec leur maman, sous forme d’expressions faciales de tous les jours.
 
Au total, les bébés ont observé l’expression faciale de leur mère dans le cadre de 208 interactions.

Le temps durant lequel les bébés regardaient leur mère était lié à celui qu’ils avaient précédemment passé à la regarder. En d’autres mots, les enfants démontrent un intérêt indépendamment de ce qui se passe autour d’eux. Alors, ils coordonnent ces deux modèles d’intérêt.

Catégories
Uncategorized

Une vision différente de la communication chez les bébés

Contrairement à ce que l’on croit, les bébés ne vivent pas au moment présent; ils conservent une influence du passé. C’est ce que suggère une récente étude parue dans Infancy.

Il semble donc que les jeunes enfants agissent de façon beaucoup plus mature que l’on ne croit et qu’ils se basent sur des empreintes de leur vie pour agir, au fil du temps.
 
Ainsi, les bébés sont en mesure de maîtriser leur comportement, et ce, en regard de la façon dont ils ont agi précédemment. Ils sont donc influencés par leurs actions passées.
 
L’aptitude d’avoir des actions intentionnelles leur permet d’atteindre des objectifs mentaux. Ces constats ont été faits après que l’on ait observé 13 jeunes enfants de 4 à 24 semaines en interaction avec leur maman, sous forme d’expressions faciales de tous les jours.
 
Au total, les bébés ont observé l’expression faciale de leur mère dans le cadre de 208 interactions.

Le temps durant lequel les bébés regardaient leur mère était lié à celui qu’ils avaient précédemment passé à la regarder. En d’autres mots, les enfants démontrent un intérêt indépendamment de ce qui se passe autour d’eux. Alors, ils coordonnent ces deux modèles d’intérêt.