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Les gens pessimistes le sont-ils par choix, ou est-ce autre chose?

Selon des chercheurs, les gens pessimistes sont parfois meilleurs dans leur travail que leurs collègues plus optimistes et au meilleur tempérament.

La raison étant que les pessimistes ont tendance à se concentrer sur une chose à la fois et à faire abstraction de ce qui les entoure. D’autre part, ils sont moins actifs que leurs contraires.

Ainsi, les personnes optimistes tendent vers la jovialité et vont sauter d’une tâche à l’autre, d’une activité à l’autre, et seront parfois moins concentrées, rapporte l’auteur de la recherche, Justin Helper.

Deux études sont venues corroborer la théorie de l’équipe d’experts du département de psychologie à l’Université de Pennsylvanie. Les participants, pessimistes et optimistes, devaient faire la liste des activités auxquelles ils participaient en une semaine, et le temps alloué à chacune.

Il s’est avéré que les personnes au tempérament plus négatif consacraient simplement plus de temps à chacune de leurs activités, moins nombreuses que celles des participants positifs, mentionne Science World Report.

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Les enfants savent lorsqu’on ne leur dit pas toute la vérité

Si votre jeune vous demande : « Alors, maman, d’où viennent VRAIMENT les bébés? », c’est que vous vous êtes fait prendre. Ils savent lorsque vous leur dites la vérité, mais pas « toute » la vérité, selon une nouvelle étude, rapporte NBCnews.com.

La recherche suggère même que l’enfant, si jeune soit-il, adapte son comportement en conséquence lorsqu’il sent que la personne à qui il s’adresse n’est pas entièrement digne de confiance.

Deux expériences ont été menées avec des enfants de 6 et 7 ans par des chercheurs de l’Institut de technologie du Massachusetts. Ils ont découvert que lorsque les enfants se rendaient compte qu’un enseignant ne leur donnait pas toute l’information, ils cherchaient la « vraie réponse » par eux-mêmes.

Dans ce cas-ci, il s’agissait de montrer un nouveau jouet aux enfants, sans leur dire tout ce qu’ils pouvaient en tirer.

Dans la deuxième expérience, lorsque les enfants avaient considéré cet enseignant plus ou moins digne de confiance, ils étaient encore plus portés à essayer un nouveau jouet présenté, convaincus qu’ils découvriraient autre chose de leur propre chef.

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Esprit d’équipe dans le sport, comment devenir un modèle pour son enfant

Lorsqu’un enfant pousse le sens de la compétition jusqu’à en oublier le plaisir, qu’il manque de respect à son entraîneur et ses coéquipiers et qu’il manque d’esprit d’équipe, il faut souvent observer l’attitude du parent.

Il faut savoir montrer l’exemple et surtout, rappelle Parenting Squad, éviter d’engueuler l’entraîneur et les arbitres pendant une partie.

Retour sur les bonnes valeurs :

Le respect : Non seulement de l’autorité, mais des règlements du sport et des coéquipiers de l’équipe, tout comme ceux de l’équipe adverse.

Le plaisir : La compétition malsaine élimine le plaisir de jouer. Évitez de mettre l’accent sur la victoire. Apprenez plutôt à votre enfant à perdre avec le sourire. Encouragez aussi les gestes d’équipe (partage du ballon, de la rondelle, etc.)

La bonne conduite : Ne tolérez aucun mauvais langage ou comportement de la part de votre enfant envers qui que ce soit, et assurez-vous d’avoir des conséquences également à la maison le cas échéant.

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Des parents qui se comportent comme des sauvages après le divorce

Selon La Presse, 25 % des parents qui divorcent sont incapables de faire preuve de savoir-vivre, et ce, même si la séparation remonte à plusieurs années. De nombreux cas familiaux qui se retrouvent dans les dossiers de la DPJ ou de la police. Une situation qui est inacceptable.

Comme l’explique Valérie Morel, une conseillère à la clinique du Centre jeunesse de la Montérégie, les conflits parentaux démolissent les enfants. « Grandir dans le conflit altère toute la construction des jeunes. Ils sont déboussolés, comme des poupées tiraillées. »

Certains parents en viennent aux coups, d’autres doivent échanger leurs enfants pour la garde partagée directement au poste de police, puis d’autres encore embauchent des détectives pour suivre l’autre parent lorsqu’il a les enfants. Des situations beaucoup plus fréquentes qu’on le croit.

Les parents vengeurs ne se rendent même pas compte des dommages psychologiques permanents qu’ils causent à leurs enfants, trop aveuglés par leurs propres ressentiments envers l’ex-conjoint.

Dans les sondages du ministère de la Famille du Québec, il existe même un sondage intitulé : Post-Separation Conflict Trajectories. C’est dire à quel point les agissements insensés des parents sont répandus.

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Une étude pilote prometteuse contre la violence chez les jeunes

Les croyances et comportements violents des jeunes du premier cycle du secondaire peuvent être réduits grâce à l’implantation d’un programme d’intervention ciblé. C’est ce que rapporte Medical News Today.

Au terme de l’étude du Dr Manny Sethi, professeur adjoint de chirurgie orthopédique et de réadaptation, et ses coauteurs de Vanderbilt, un seul programme sur les 27 s’est avéré concluant. Ce programme a été testé dans une école secondaire de Nashville, où le taux de violence est très élevé.

La recherche a été publiée dans le Journal of Injury and Violence Research. Selon Dr Sethi, la résolution du problème réside dans la collaboration des médecins et des éducateurs. « Les gens sont victimes de blessures causées par la violence, mais nous traitons la conséquence, et non la cause. »

En tout, 122 étudiants se sont prêtés au programme de résolution de conflit. À la fin du programme, les résultats ont démontré une diminution importante du niveau de violence et une grande amélioration des compétences des étudiants pour gérer la colère et la violence.

En ce moment, le programme dont il est question est en pilote dans 10 écoles, atteignant une clientèle de 3500 élèves.

En 2011, ce sont 707 212 jeunes de 10 à 24 ans qui ont été traités à l’urgence pour des blessures dues à la violence physique.

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Comment savoir si votre adolescent consomme de la drogue

La pression des pairs est un déclencheur fréquent chez les adolescents. She Knows vous donne des indices précis pour reconnaître les signes et symptômes reliés à l’utilisation de drogues.

On parle surtout de marijuana, de médicaments sans prescription, d’ecstasy et son dérivé, MDMA (Molly), des hallucinogènes, des sels de bain et même d’héroïne et de cocaïne.

Les signes physiques
– Yeux rouges
– Hématomes inexplicables
– Difficulté à parler
– Changements soudains de l’apparence ou du poids
– Fatigue anormale ou changement dans la routine de sommeil
– Toux persistante
 
Les changements sociaux
– Manque d’intérêt pour des activités appréciées
– Nouveau groupe d’amis
– Mauvaises notes à l’école et absentéisme
– Évitement du contact visuel
– Sorties tard le soir ou absence prolongée
– Agressivité lorsque le parent pose des questions sur le changement de comportement
 
Les symptômes émotionnels
– Agressivité anormale ou confrontation envers l’autorité
– Dépression ou retrait de la vie sociale
– Irritabilité
– Manque de jugement

Même si l’adolescence apporte de grands changements chez l’individu, vous connaissez vos enfants. Si des changements trop soudains surviennent, consultez un spécialiste, à l’école ou au CLSC, pour trouver des ressources pour répondre à vos questions.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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Le comportement scolaire de votre enfant vous inquiète, que se passe-t-il?

Psychoenfant.fr donne quelques conseils pour aider votre enfant, selon la problématique qu’il vit à l’école et qui entraîne inévitablement la démotivation.

 
Un problème avec l’enseignant

Il vous faut entendre les deux côtés de la médaille. Ne jugez pas votre enfant. Il se peut que les paroles ou agissements de son enseignant lui aient causé plus de tort que nécessaire, mais il faut régler la situation des deux côtés, sinon le malaise persistera.

Pris entre l’enseignant et l’opinion des parents

Si vous avez une dent contre l’enseignant de votre enfant, sous aucun prétexte vous ne devez laisser votre enfant entendre vos critiques. Autrement, l’autorité de l’enseignant sera remise en cause, et vous pourriez être responsable du mauvais comportement de votre enfant.

Une pression trop forte

Lorsque la peur de l’échec prend le dessus sur l’apprentissage, la motivation en prend pour son rhume. Selon Jeanne Siaud-Facchin, psychologue : « Il est essentiel de lui donner confiance en lui, et cette confiance, c’est dans le regard de ses parents qu’il la trouve ». Cette confiance doit se bâtir sur autre chose que la réussite scolaire.

Il se peut aussi qu’il soit simplement fatigué. Demeurez aux aguets.

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Un verre de vin par semaine : avantageux pour la femme enceinte

L’auteure principale de l’étude, Janni Niclasen, de l’Université de Copenhague, a fait participer 100 000 femmes enceintes du Danemark. Bien que les résultats ne soient pas une incitation à prendre de l’alcool pendant la grossesse, il appert que la causalité entre l’alcool et le bon comportement chez les enfants est indéniable.

Selon Science World Report, les participantes étaient interrogées sur leurs habitudes de consommation d’alcool deux fois pendant la grossesse, puis les mères étaient interrogées lorsque l’enfant avait 6 mois, et à nouveau lorsqu’il était âgé de 7 ans.

« Mon étude démontre, entre autres choses, que les enfants de mères qui avaient bu de petites quantités d’alcool (90 unités ou plus) pendant la grossesse démontraient de meilleurs résultats comportementaux et émotionnels à l’âge de 7 ans. Ceci comparativement aux enfants de mères qui n’avaient pas du tout consommé d’alcool pendant la grossesse », rapporte Niclasen dans un communiqué.

Bien entendu, cela ne se veut pas un encouragement à consommer pendant que la femme est enceinte. La recherche a également démontré que les femmes qui buvaient de l’alcool étaient plus éduquées et avaient de meilleures habitudes de vie.

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Comment réagir à un enfant qui réplique

Comme le rappelle parentsociety.com, il faut être constant lorsqu’on veut régler cette problématique. Il faut à tout prix éviter d’engager une joute verbale avec l’enfant.

En public

Si la situation se produit ailleurs qu’en privé, par exemple chez des amis ou même au magasin,  respirez et indiquez à l’enfant que vous allez avoir une discussion en arrivant à la maison.

À quel moment se questionner

Ne passez pas trop de temps à vous demander pourquoi il a réagi ainsi, sauf dans le cas où le comportement est répétitif ou survient toujours dans une situation précise. Il se peut qu’un problème sous-jacent, comme le stress ou de l’intimidation à l’école, soit la cause première.

Fais ce que je dis, pas ce que je fais

Ne perdez pas toute crédibilité en réprimandant les répliques et comportements agressifs si vous agissez vous-même de la sorte. Corrigez votre comportement et cessez de piquer des colères avant de dire à votre enfant comment se comporter.

Expliquez aux plus jeunes

Punir un enfant pour un mauvais comportement, un mauvais agissement ou des paroles désobligeantes doit être expliqué aux plus jeunes. Ils doivent comprendre ce qu’ils ont fait pour mériter la punition, et quel est le comportement à adopter la prochaine fois pour éviter la réprimande.