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La fessée : La violence engendre la criminalité?

Cette affirmation peut sembler extrême, mais il s’agit des résultats obtenus à la suite d’une étude relative aux conséquences de la fessée sur la vie future d’un enfant.

Les chercheurs ont décortiqué les tendances criminelles d’étudiants universitaires dans 15 pays, en utilisant 9 « unités de mesure » criminelles. On vérifiait notamment les tendances à la criminalité, si l’étudiant avait agressé l’un ou l’autre de ses parents dans les années précédentes, ainsi que tout autre personne, ami, partenaire, etc.

Les facteurs tenus en compte dans l’enfance comprenaient entre autres l’éducation parentale, les mesures correctives utilisées, ainsi que l’approche positive et aimante des parents.

« Beaucoup de parents et psychologues croient que si la fessée est donnée dans un cadre positif, par des parents aimants, il n’y aura pas de conséquence négative chez l’enfant », rapporte Straus, l’un des chercheurs. Cette croyance est fausse.

En fait, selon les résultats rapportés, Science World Report affirme que même si l’approche positive du parent diminuait la prédominance criminelle de l’étudiant, chaque cas rapportant avoir eu droit à la fessée était relié à certains comportements criminels.

Dans les cas où les 2 parents avaient donné la fessée, la prédisposition criminelle augmentait considérablement dans 8 des 9 unités de mesure considérées.

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L’humain serait plus honnête le matin

Serait-on plus enclin à l’honnêteté le matin que le reste de la journée?

Ce qui semble difficile à croire et de prime abord dénué de logique est pourtant l’affirmation de chercheurs américains qui démontrent leur théorie par le biais d’une étude, maintenant rapportée par Top Santé.

Initialement publiée dans le magazine scientifique Psychological Science, l’étude des chercheurs de Harvard et de l’Utah trace un parallèle entre le mensonge et l’heure de la journée, affirmant que l’humain serait plus tenté de mentir une fois l’après-midi arrivé.

Les chercheurs ont analysé les réactions d’étudiants placés dans différentes mises en situation, le matin et l’après-midi. Les résultats sont étonnants, alors que les mêmes étudiants qui disaient la vérité au lever, par exemple dans le contexte d’un examen, d’un jeu d’argent ou d’une simple question, changent carrément de comportement et de réponse en après-midi!

Encore plus aberrant, un simple exercice visant à former un mot avec les suffixes « rale » et « que » démontre que les sujets de l’étude changent avec les heures qui passent. Le matin, les étudiants ont formé des mots tels qu’« éthique » et « morale », mais des mots complètement différents étaient formés plus tard dans la journée.

L’étude sympathique permet de constater que l’heure de la journée influence nos comportements et que, possiblement, le sommeil permet de retrouver ses bases en matière de morale et d’éthique.

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Pleurs de bébé : Caprices ou autre chose?

Vous avez nourri, lavé, changé, câliné et même chanté une chanson à bébé avant de le coucher. Pourtant, il hurle et hurle encore au point que vous ne savez plus quoi faire. S’agit-il de caprices? Apparemment pas.

C’est du moins ce que croit Didier Pleux, docteur en psychologie du développement. Lors d’un entretien avec le site Famili.fr, Dr Pleux explique qu’un bébé qui fait la crise, par exemple lorsque vient le temps de se coucher, est incapable de caprice. Il précise que le terme « caprice » signifie le désir d’embêter ses parents, chose dont les bébés sont incapables.

Il s’agirait plutôt de la frustration ressentie de ne plus jouir de plaisir reçu avant d’être placé au lit. Il continue en disant que les bébés ne manipulent pas comme il est commun de le croire. Ils testent par contre leurs parents, ce qui est un réflexe naturel.

Selon le docteur, le comportement des tout-petits est directement lié à celui des parents. Un enfant qui ne s’endort pas bien est généralement un enfant qui a été trop stimulé avant le coucher.

Pour éviter le problème, il importe d’avoir une routine de calme avant le sommeil, d’adopter très tôt une attitude moins surprotectrice et surtout, offrir une constance à votre enfant.

Voilà qui devrait venir en aide aux mamans désarmées devant le comportement de leurs petits. Et ne vous inquiétez pas; un peu d’autorité et de détachement ne nuira pas à l’amour que bébé vous portera!

 

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La fessée reliée à des problèmes d’apprentissage et de comportement

Même si les méthodes disciplinaires ont changé, certains parents prônent encore le châtiment corporel. Cependant, une nouvelle étude révèle que la fessée pourrait être associée à un retard d’apprentissage et à la présence d’agressivité.

Ce sont 1933 parents qui ont été interrogés par l’équipe du Dr Michael J. MacKenzie de la Colombia University School of Social Work. Leurs enfants avaient à l’époque environ 3 ans.

Ils ont été interrogés à nouveau lorsque les enfants avaient 5 ans, afin de déterminer la fréquence des épisodes de fessée.

Lorsque les enfants avaient atteint l’âge de 9 ans, ils étaient directement interrogés et devaient répondre à plus de 50 questions. Celles-ci déterminaient le niveau d’agressivité et la tendance à briser les règles de conduite. Les chercheurs évaluaient également l’étendue de leur vocabulaire.

Comme l’a mentionné MacKenzie, « les effets de la fessée perdurent. Ce n’est pas un problème que l’on peut éliminer du revers de la main ».

Les résultats ont démontré que les enfants qui recevaient la fessée plus de 2 fois par semaine étaient plus en difficulté que les autres, notamment en ce qui a trait au développement cognitif, au vocabulaire et à l’agressivité.

Science World Report révèle que 23 pays ont déjà banni le châtiment corporel par l’établissement d’une loi.

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Débarrassons vite nos enfants des comportements sexistes

En tant que parents, nous avons un rôle important à jouer pour éviter que nos enfants grandissent en développant des attitudes discriminatoires.

Comme le rappelle SheKnows, le sexisme est une discrimination basée sur le sexe de la personne, sur son identité sexuelle et sur les stéréotypes de la société.

Débutez dès la tendre enfance. En magasinant pour des jouets, par exemple, faites remarquer la couleur rose des articles ménagers. « Pourquoi sont-ils roses? Pourtant, même les garçons cuisinent et font le ménage! »

D’ailleurs, à ce titre, il est de votre responsabilité de donner des tâches équilibrées entre garçons et filles dans la maison. Évitez de garder le côté manuel pour les garçons et le ménage pour les filles!

Lorsque les enfants vont à l’école, ils sont confrontés aux autres jeunes et leurs idées sexistes. Si on se moque de votre enfant, faites du renforcement positif à la maison et adressez-vous rapidement à l’enseignant. Celui-ci ne devrait pas tolérer ce comportement.

Une attitude neutre et ouverte aidera vos enfants à reconnaître la valeur des autres de même que la leur. Éventuellement, ils défendront eux-mêmes leur position et leurs opinions.

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Comment gérer un enfant porte-panier

Peut-être que vous êtes mal à l’aise, comme le rapporte la mère de Kadyn sur Todays Parent. Que ce soit un autre enfant ou un adulte, connu ou inconnu, Kadyn ne peut s’empêcher de tout rapporter à sa mère, ce qui la met souvent dans l’embarras.

Comme l’indique Kylee Goldman, une thérapeute spécialisée avec les enfants qui exerce en Ontario : « Alors que plusieurs raisons peuvent être associées aux “mouchards”, il y a bien plus qui se cache derrière ce comportement ».

En effet, les jeunes qui agissent de la sorte vous démontrent qu’ils ont déjà un sens aigu de ce qui est moralement bien ou mal. « Ils rapportent quelque chose que les gens font et qu’ils jugent inapproprié ou mal », explique Goldman.

Bien sûr, lorsque votre jeune remet en question les actes de personnes que vous côtoyez, et ce, en leur présence, cela peut devenir problématique. Il faut leur indiquer que ce genre de question peut être réglé entre vous deux, plus tard.

C’est ce que croit Paul McDonnell, psychologue pour enfants de Fredericton. « Nous devons enseigner aux enfants ce qu’il faut rapporter et le moment où le faire. »

Sachez que cette facette de votre enfant, si elle est bien développée, l’aidera à divulguer des comportements inappropriés comme l’intimidation ou le harcèlement, plus tard.

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Les jeunes enfants se conforment rapidement aux rituels sociaux

Que ce soit le fait de serrer la main lorsqu’on rencontre quelqu’un ou dire « à vos souhaits » lorsque quelqu’un éternue, ces « rituels » donnent l’impression aux gens d’appartenir à un groupe social ou culturel spécifique.

Les résultats d’une nouvelle recherche, effectuée par Christine Legare à l’Université du Texas à Austin, ont été publiés sur Cognition.

Il est déjà connu que les enfants apprennent beaucoup en imitant les autres. C’est leur façon d’intégrer l’information. L’étude dont il est question, sur la transmission des rituels sociaux, a été menée auprès de 259 enfants âgés de 3 à 6 ans.

Ces enfants visionnaient différentes actions à l’écran. La première action était effectuée par une seule personne. Par la suite, la même action était recréée simultanément par deux personnes. Il a été démontré que dès que les jeunes voyaient une action répétée par plus d’une personne, ils accordaient une grande importance à la recréer de façon identique.

« La raison est simple, lorsque les enfants voient plus d’une personne accomplir la même tâche, et ce, de façon identique, ils l’associent à une convention sociale établie et s’y conforment. Au contraire, lorsqu’une seule personne fait un geste particulier, l’enfant répètera le geste, mais à sa façon », explique Legare.

Ainsi, dès l’âge de 3 ans, l’enfant ressentira le besoin d’appartenir ou de s’identifier à un groupe social ou à une culture précise. Il retiendra donc les comportements qui y sont associés.

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Que faire lorsque votre enfant est agaçant avec les autres?

Retroussez donc vos manches, laissez de côté votre égo et aidez plutôt votre enfant à corriger son comportement et développer ses habiletés sociales.

SheKnows vous propose des astuces pour améliorer la situation, surtout lorsque le professeur ou même la famille et les amis s’y mettent.

Ne confrontez pas votre enfant devant les autres

Assurez-vous de l’approcher à l’écart afin qu’il ne se sente pas humilié. La raison est simple, souvent, l’enfant lui-même n’est pas conscient que son comportement est désagréable. Il est donc essentiel que la première étape consiste à l’avertir que ce qu’il fait est inapproprié. Cela lui fera prendre conscience de ses agissements.

Ajustez votre vocabulaire émotionnel à la compréhension de votre enfant

Selon l’âge, les enfants ne comprennent pas tous les termes agaçant, irritant, frustration ou embarras. Simplifiez les mots, utilisez, s’il le faut, des images ou dessins d’expressions pour expliquer les émotions. Sinon, plutôt que d’expliquer le mauvais comportement, guidez-le vers le comportement à adopter.

Demandez de l’aide

Il se peut que le comportement de votre enfant soit excessif ou que vous soyez incapable de gérer la situation. Il n’y a aucune honte à avoir. Des spécialistes sont là pour vous aider. N’hésitez pas non plus à travailler de concert avec le professeur de votre enfant.

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À quel moment doit-on intervenir dans le sport de ses enfants?

Avant d’engager un entraîneur privé, sachez au moins comment détecter les changements de comportements de votre enfant. Selon SheKnows, plusieurs indices ne trompent pas.

Votre enfant a le trac – C’est normal, dans la mesure où c’est la première partie de l’année ou celles des éliminatoires. Mais s’il est nerveux ou anxieux avant chaque pratique, c’est peut-être qu’il perd confiance en lui.

Il est en colère ou même frustré – Lorsque ce même sport qui le rendait si heureux fait désormais le contraire et le rend agressif, il est temps d’intervenir. Certains enfants sont trop exigeants envers eux-mêmes.

Votre jeune vous dit que l’entraîneur de l’équipe fait jouer ses « favoris » – C’est peut-être qu’il réalise (ou pas) que ces jeunes sont meilleurs, et que ses propres aptitudes ne sont plus ce qu’elles étaient.

Lorsque votre enfant veut aller plus loin, et que son entraîneur ne le lui permet pas – Il se peut que votre jeune soit alors prêt à passer à un niveau supérieur, et qu’il soit nécessaire de lui offrir un entraînement plus encadré. Dans ce cas précis, évitez de jouer au coach. Pensez plutôt à un entraîneur privé.

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L’altruisme serait meilleur pour la santé et les gènes que l’égocentrisme

Voici une recherche plus qu’intéressante proposée par The National Library of Medicine, initialement publiée par un groupe de chercheurs américains.

L’équipe californienne a en effet tenté de déterminer les effets de nos actions sur la santé et la génétique, en analysant les comportements de 80 personnes, divisées en deux groupes.

Le premier groupe comprenait les individus en quête d’une vie remplie de sens, d’altruisme et de générosité. Le deuxième groupe, on le devine, comprenait plutôt des gens plus égocentriques, à la recherche d’un plaisir et d’une gloire bien plus personnelle.

Les résultats, publiés dans la version web du magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, sont étonnants.

Les sujets du premier groupe ont démontré une réponse des gènes qui se caractérise par une action des cellules immunitaires! On note moins de gènes « inflammatoires », et une exubérance des gènes antiviraux et protecteurs de l’organisme. Le contraire a aussi été observé chez le deuxième groupe.

« Les deux groupes semblaient profiter des mêmes niveaux d’émotions positives. Par contre, les génomes répondaient de façon très différente, malgré des états émotionnels relativement semblables et positifs. Le génome humain est beaucoup plus sensible aux différentes façons d’atteindre le bonheur que nos esprits conscients », résume Steven Cole, professeur à l’Université de Californie.

Incroyable!