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Les consommateurs peu influencés par la publication des apports caloriques

Des chercheurs de l’Université Carnegie Mellon constatent que les nouvelles mesures concernant la publication et l’affichage des apports caloriques appliquées un peu partout dans le monde n’ont que peu d’impact sur le comportement des consommateurs.

Publiée dans l’American Journal of Public Health et rapportée par Santé Log, l’étude démontre que l’affichage des calories comprises dans les menus de restaurants, par exemple de fast-food, n’incite pas vraiment les clients à faire des choix plus éclairés en matière de nutrition.

Pour vérifier cette théorie, l’équipe de Carnegie Mellon a analysé les réactions et comportements de plus de 1000 sujets clients dans deux franchises McDonald’s de la région de New York.

Après avoir séparé les sujets en trois groupes et informé ces consommateurs des calories retrouvées dans les repas de la célèbre franchise, des apports caloriques recommandés ou encore en ne disant rien du tout, les chercheurs constatent avec stupéfaction que les trois groupes agissent de la même façon.

Il semble que les gens font ce qu’ils veulent, malgré les dangers et les recommandations! Cependant, les chercheurs impliqués croient que toute cette sensibilisation entourant la malbouffe amène les restaurateurs à créer de meilleurs repas, ce qui s’avère une excellente chose.

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Se protéger soi-même contre les erreurs médicales par la proactivité

The National Library of Medicine publie une liste de recommandations qui s’applique parfaitement à la population québécoise. Elle traite des mesures et des moyens à prendre pour prévenir le plus possible les erreurs médicales.

On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

he National Library of Medicine publie une liste de recommandations qui s’applique parfaitement à la population québécoise. Elle traite des mesures et des moyens à prendre pour prévenir le plus possible les erreurs médicales.

On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le sommeil des tout-petits et leur comportement

Les résultats d’une récente recherche sur le sommeil des jeunes enfants ont été publiés dans l’édition de juillet du Journal of Developmental & Behavioral Pediatrics.

Il s’agit là d’une étude basée sur l’analyse du comportement de plus de 9 000 enfants, de leur naissance à l’âge de 4 ans. Selon la Dr Rebecca J Scharf de l’Université de la Virginie, « Les enfants d’âge préscolaire ayant un sommeil insuffisant ont plus de chance de développer de l’agressivité, de la frustration, d’avoir recours à des agressions, des impulsions, des crises et d’avoir un comportement dérangeant. »

En moyenne, un enfant de cet âge aurait besoin d’une période de sommeil d’au moins 9 h 45. En deçà de ce seuil, c’est considéré comme un manque de sommeil. D’ailleurs, les enfants du groupe dormant moins de 9 h 45 ont démontré de plus importants troubles du comportement.

Toujours selon Dr Scharft, « Il y a de très bonnes raisons de croire que la carence de sommeil mène à une extériorisation du comportement[.] Il serait tout à fait avisé de prôner de bonnes habitudes de sommeil, une routine appropriée pour aider les jeunes enfants. »

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L’amitié, le secret du bonheur pour vos enfants

L’une des choses qui nous brisent le plus le cœur, c’est de voir que notre enfant n’arrive pas à se faire d’amis, selon le Dr John Medina.

Pricelessparenting rapporte quelques trucs pour développer les aptitudes sociales de votre enfant, basés sur le livre d’Elman et Kennedy-Moore, The Unwritten Rules of Friendship: Simple Strategies to Help Your Child Make Friends.

Le livre décrit les comportements typiques qui éloignent les autres enfants et que le vôtre doit éviter, puis il donne la liste de « lois non écrites » qu’un enfant doit comprendre en amitié.

Par exemple :
 
– Il n’existe pas d’ami parfait;

– Si vous frappez quelqu’un, il y a de bonnes chances qu’il vous frappe plus fort en retour;

– Quand quelqu’un dit « arrête », arrêtez;

– Ressasser les mauvaises émotions les rend pires encore;

– Il ne faut pas rester dans l’entourage de personnes qui sont méchantes avec soi.            

Ainsi, si votre enfant est la cible constante de rejet de la part des autres, il serait bien de trouver des ouvrages du genre pour vous aider à cibler son comportement avec les autres. Par la suite, n’hésitez pas à l’aider à développer les bonnes habitudes et la bonne attitude pour l’aider à entrer en contact avec les autres.

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Les laisses pour enfants : pour ou contre?

Votre petit, un brin trop curieux à votre goût, se dérobe à votre attention dès que vous tournez la tête pour aller explorer les alentours. Votre cœur s’est probablement déjà arrêté en le voyant partir en direction de la rue!

C’est arrivé à plusieurs. Est-ce que ça justifie l’utilisation d’une laisse pour enfants? Voici le débat proposé sur le site Today’s Parent.

Deux mères s’opposent pour partager leur vision de cette méthode encore très mal perçue par une majorité de gens, alors qu’on fait plutôt référence à la laisse comme un outil exclusif à nos amis poilus.

Nadine Silverthorne, la mère qui s’y oppose, explique que pour elle, les parents utilisant des laisses pour contrôler leurs petits sont paresseux. Elle juge qu’il est du devoir des parents d’apprendre à leurs enfants la bonne attitude à adopter lorsqu’ils sont de sortie

Quant à Amy Morrison, elle adore la laisse! Elle déclare ne pas comprendre pourquoi on prendrait cette précaution avec nos animaux, mais pas avec nos enfants. Pour elle, il ne s’agit que d’une méthode supplémentaire pour s’assurer de la sécurité de nos enfants, et elle ne comprend pas comment ça peut être mal vu.

Malgré que les deux mères aient de bons arguments, il faut dire qu’on est encore loin de l’acceptation de cette méthode restrictive.

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L’impact des agressions entre frères et soeurs

Alors qu’elles peuvent être perçues comme quelque chose de tout à fait normal et même bénéfique aux yeux de certains, les agressions entre frères et sœurs ont des répercussions plus graves qu’on pourrait le croire.

Une récente étude menée à l’Université du New Hampshire et publiée dans l’édition de juillet du journal Pediatrics démontre les dommages causés par de telles situations.

En fait, les séquelles seraient semblables à celles vécues lors de l’intimidation causée par des pairs, phénomène largement médiatisé depuis quelques années maintenant, à la suite du suicide de plusieurs jeunes.

Concernant les résultats de l’étude ayant analysé le cas de 3599 enfants de 1 mois à 9 ans, la Dre Corinna Jenkins Tucker de l’UNH déclare : « Même les enfants n’ayant rapporté qu’un seul incident marquant présentaient plus de détresse de santé mentale que les autres. Notre étude démontre que peu importe le type d’agressions et la fréquence de celles-ci, il n’y a rien de bénin, et ce, que ce soit chez les jeunes enfants ou les adolescents ».

En résumé, que ce soit des agressions verbales, physiques, avec ou sans « arme », aucun incident ne devrait être considéré comme faisant simplement partie de la relation entre frères et sœurs, et il faut en discuter sérieusement avec les enfants, peu importe leur âge.

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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Mon enfant ne cesse de me défier

Tous les enfants ne sont pas sages et dociles. Nous-mêmes avons possiblement bravé nos parents de temps à autre. Cependant, quand c’est à notre tour de faire face à ce type de comportement, nous ne savons pas toujours comment le gérer.

Sur le site PsychologyToday, on cite le livre du Dr Jeffrey Bernstein, 10 Days To A Less Defiant Child, et mentionne 4 importantes améliorations à faire soi-même pour modifier le comportement de nos enfants.

D’abord, il importe de comprendre la raison du comportement de notre enfant. Comme toute chose, quand on comprend la cause, le problème est plus simple à régler.

De plus, bien que cette réaction soit commune, crier ou donner de grosses punitions peut parfois s’avérer totalement inefficace. En fait, vous risquez surtout de mettre de l’huile sur le feu. En général, vous aurez de meilleurs résultats en parlant calmement. En donnant l’exemple, votre enfant ne sentira pas autant le besoin de hausser le ton.

Quant à la fameuse guerre de pouvoir, elle serait futile. L’enfant se croyant au même niveau d’autorité que vous, il ne servirait à rien de bon de vous battre pour lui montrer votre supériorité.

Finalement, le renforcement positif est une technique qui a fait ses preuves. Encourager les bons comportements des jeunes limiterait leur besoin de la mauvaise attention qu’ils recherchent en vous défiant.

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Les stéroïdes ne seraient pas dangereux que pour la santé physique

Bien que les stéroïdes anabolisants permettent des prouesses athlétiques et des gains musculaires spectaculaires, il est bien reconnu que d’en faire l’utilisation comporte sa part de risques pour la santé.

Mais pas uniquement pour la santé physique, apprend-on des informations rapportées par Santé Log, alors qu’une nouvelle étude en provenance de Suède fait état d’importants risques pour la santé mentale, à moyen et long terme.

Selon l’étude parue dans le British Journal of Sports Medicine, des recherches effectuées sur des athlètes suédois démontrent un lien direct entre l’utilisation des stéroïdes et le développement de certains troubles mentaux et psychologiques.

On parle notamment de problèmes de dépression, de concentration et de troubles comportementaux divers, qui peuvent survenir des années plus tard.

Le Dr Fahlke, auteur principal de l’étude, parle d’un « cercle vicieux » dont seraient victimes plusieurs athlètes au cours de leur vie, voyant certains problèmes de santé mentale être renforcés par l’utilisation de stéroïdes, et pouvant ensuite mener à des abus d’autres drogues ou d’alcool.

Un cercle vicieux que les chercheurs souhaitent éviter pour la nouvelle génération de sportifs, qui se doivent d’être sensibilisés à la cause et au phénomène.