Quelques exemples forts simples, offerts dans le livre du Dr Jeffrey Bernstein, spécialisé en thérapies pour enfants, adolescents et familles, sont cités sur PsychologyToday.
Il conseille tout d’abord de s’engager à ne plus crier. Même si ça semble plus facile à dire qu’à faire, prendre la décision consciente de vouloir améliorer ce comportement porterait ses fruits.
Aussi, travailler plus intelligemment vous évitera de travailler trop intensément. Si, par exemple, vous vous prenez constamment les pieds dans les dizaines de jouets que vos enfants laissent trainer, limitez la quantité d’objets auxquels ils ont droit à la fois. Moins vous aurez de raisons de vous fâcher, moins vous crierez.
De plus, ne pas prendre de façon trop personnelle les comportements de votre enfant vous apportera une tolérance supplémentaire. Il est irritant et semble vouloir vous provoquer? Il est fort possible qu’il soit en train de vivre son propre petit combat intérieur et qu’en fait, vous n’ayez absolument rien à y voir.
Finalement, ne vous jugez pas trop. Si vous glissez, vous vous relevez et essayez de nouveau, tout simplement. Ne cherchez pas la perfection, mais l’amélioration. Donc, plutôt que de succomber au « j’aurais dû », tentez plutôt de vous servir de cet écart pour vous rappeler votre engagement à cesser de crier, et remettez-vous en selle!