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Apprendre à ne plus crier

Quelques exemples forts simples, offerts dans le livre du Dr Jeffrey Bernstein, spécialisé en thérapies pour enfants, adolescents et familles, sont cités sur PsychologyToday.

Il conseille tout d’abord de s’engager à ne plus crier. Même si ça semble plus facile à dire qu’à faire, prendre la décision consciente de vouloir améliorer ce comportement porterait ses fruits.

Aussi, travailler plus intelligemment vous évitera de travailler trop intensément. Si, par exemple, vous vous prenez constamment les pieds dans les dizaines de jouets que vos enfants laissent trainer, limitez la quantité d’objets auxquels ils ont droit à la fois. Moins vous aurez de raisons de vous fâcher, moins vous crierez.

De plus, ne pas prendre de façon trop personnelle les comportements de votre enfant vous apportera une tolérance supplémentaire. Il est irritant et semble vouloir vous provoquer? Il est fort possible qu’il soit en train de vivre son propre petit combat intérieur et qu’en fait, vous n’ayez absolument rien à y voir.

Finalement, ne vous jugez pas trop. Si vous glissez, vous vous relevez et essayez de nouveau, tout simplement. Ne cherchez pas la perfection, mais l’amélioration. Donc, plutôt que de succomber au « j’aurais dû », tentez plutôt de vous servir de cet écart pour vous rappeler votre engagement à cesser de crier, et remettez-vous en selle!

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Trouver les bons mots pour encourager un enfant qui manque de confiance en lui

Entre « Tu es génial! » et « Bravo, tu as fait de l’excellent travail! », à priori, on ne voit pas ce qui peut être interprété négativement. Or, pour un jeune dont l’estime est problématique, il y a un monde de différence.

Selon les experts, indiquer à l’enfant qu’il est génial est une louange liée directement à ce qu’il est en tant que personne. En contrepartie, lui dire qu’il a fait un excellent travail est plutôt associé à l’effort qu’il a mis à réaliser un travail en particulier.

Une récente étude a démontré, comme le rapporte Psychology Today, que les enfants souffrant d’un manque d’estime de soi ressentaient de la honte dans le premier cas. C’est-à-dire lorsque les encouragements et louanges étaient associés à la personne directement, et non au comportement.

Sur le moment, l’enfant se sentira fier et aura un grand regain de confiance, mais dès qu’il échouera, il se remettra en question, et sa fierté se transformera automatiquement en honte.

Il est donc important, en tant que parent, de choisir ses mots en fonction du travail réalisé et non en pointant la personnalité de l’enfant.

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Signes précurseurs de maladie mentale chez l’enfant

Puisque du 5 au 11 mai, c’est la Semaine de la santé mentale des enfants, la RBC souhaite communiquer certaines informations cruciales pour les parents. Via son Projet Santé mentale des enfants RBC, voici des comportements sur lesquels on devrait porter attention :

1- Un enfant dont l’humeur et/ou le comportement changent constamment, particulièrement si l’humeur tend toujours vers la tristesse, et que l’enfant fait subir ses instabilités comportementales aux autres. Si sa façon d’agir est inhabituelle, observez-le de plus près.

2- Les enfants comme les adultes vivent des périodes de stress et d’inquiétude. Mais lorsque celles-ci sont trop fréquentes, surtout en ce qui a trait à l’anxiété, et qu’elles perdurent, il faut se poser des questions.

3- Les résultats scolaires peuvent fluctuer au courant de l’année. Mais s’ils chutent soudainement sans raison, il y a lieu de s’inquiéter. La difficulté de concentration peut être à l’origine du problème.

4- Des montagnes russes d’émotions sont également un signe précurseur de troubles mentaux. Lorsqu’elles sont incontrôlables, que la colère et la peur sont exprimées de façon exagérée, et ce, sans raison, ce n’est pas normal.

Sachez que lors du sondage effectué par la RBC, pour près du tiers des répondants, il y avait au moins un enfant atteint de maladie mentale dans leur entourage familial.

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4 erreurs que les parents américains doivent absolument corriger

Huffington Post rapporte ce comparatif, avec les parents de l’Angleterre, de l’Allemagne et des États-Unis. Or, les parents américains « modernes » ont des leçons à apprendre.

Réglementer le comportement et non le temps – Les Américains ont des horaires surchargés et font de même avec leurs enfants. Ils se soucient moins du comportement que d’être à l’heure à chacune des pratiques. Les enfants se comportent comme des monstres, mais les parents ne les disciplinent pas.

Récompenser pour rien – Les Américains ont le « syndrome du trophée pour tous ». En d’autres termes, ils récompensent tous les enfants sans notion d’efforts. Ainsi, le comportement des enfants se détériore. Les parents vont jusqu’à gâter les enfants pour « éviter la crise » plutôt que pour les récompenser de leur bon comportement.

Peur de dire « non » – Ce qui a été remarqué chez les Américains, c’est qu’ils ont tendance à supplier leur enfant de cesser leurs bêtises. Ils négocient, tolèrent, mais sont incapables d’affirmer un « non » catégorique. Au contraire, il faut imposer des limites et éviter d’acheter la paix.

Tolérer le chaos à l’heure du coucher – Lorsque les enfants s’opposent fermement au sommeil, ne faites pas comme les Américains. Ces derniers choisissent de distraire et de divertir leurs enfants, alors qu’il faut être ferme sur l’heure du coucher. Autrement, toute la routine s’en trouve déréglée. L’histoire, c’est 30 minutes avant le dodo. Pas une fois que l’enfant ne veut pas dormir.

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Les enfants partagent plus lorsqu’il y a un témoin

Une étude intéressante, menée au Michigan, a fait valoir que malgré leur connaissance sur la générosité et le partage, les enfants sont toujours réticents à partager. D’autre part, à l’Université Yale, les résultats vont plus loin. Ils démontrent que la « réputation » a son importance même chez les enfants, et ce, dès 5 ans.

En d’autres mots, les participants, et ce, presque à l’unanimité, partageaient uniquement lorsque l’autre avait vu le « contenu à partager ». Si, par exemple, l’autre enfant n’avait pas connaissance des autocollants qu’il avait en sa possession, il les cachait. En contrepartie, dès que le pot aux roses était découvert, immédiatement, l’enfant donnait généreusement.

Il s’agit d’un comportement qui fait passer la réputation sociale en avant-plan et qui a surpris les chercheurs. Habituellement, le discernement du jugement social débute tranquillement vers 8 ans. Or, l’étude a démontré que dès 5 ans, les jeunes comprenaient l’impact positif lorsqu’on pouvait témoigner de leur générosité.

En Allemagne, une autre recherche voulait comparer le comportement de singes du même âge que les enfants, afin de voir si l’impact social chez les primates se développait de la même façon. Finalement, les singes agissaient exactement de la même façon, que leurs pairs en soient témoins ou non.

Ainsi, la conscience de l’impact social est uniquement ancrée chez l’humain.

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Changer le comportement d’un enfant au tempérament difficile

Ces enfants, que l’on voit souvent en crise hystérique ou colérique en plein centre commercial, souffrent souvent de désordres émotionnels. Par exemple, le trouble oppositionnel avec provocation (TOP), le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ou encore le trouble des conduites.

Or, Psychology Today rapporte que ces comportements seraient modifiables. Il s’agit de diminuer les attitudes négatives et d’augmenter les agissements positifs, à l’aide de la thérapie comportementale nommée ABC method (Antecedents, Behaviors, Consequences). Celle-ci se base sur la compréhension de tels comportements, en vérifiant les antécédents, le comportement inapproprié et ses conséquences.

Tout d’abord, pour en arriver à cette solution, il faut que le parent cesse de culpabiliser en croyant qu’il est un mauvais père ou une mauvaise mère. Ensuite, il faut mettre en œuvre une routine stricte.

– Axer sur le positivisme (renforcement) auprès de l’enfant. Félicitez-le, gâtez-le, embrassez-le, dites-le haut et fort devant d’autres gens, afin qu’il sache que vous êtes fier de lui.

– Soyez conforme aux conséquences associées à TOUS ses comportements inappropriés. Rappelez-vous que les enfants jouent souvent « aux dés ». Ils testent nos limites. S’ils voient que vous cédez, les choses iront en se dégradant.

– Le sommeil… encore une fois. La routine de sommeil est très importante. Reportez-vous simplement à votre propre comportement lorsque vous manquez de sommeil. Un enfant ne contrôle pas bien ses émotions. S’il est fatigué, les mauvais plis ressortiront d’autant plus.

Mais n’oubliez pas de consulter un spécialiste si la situation ne s’améliore pas.

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Des chiens guides pour les enfants autistes

Les chiens Mira aident les aveugles, et souvent, d’autres aident les policiers dans leur travail. Désormais, certains toutous développent des habiletés pour aider les enfants autistes, après un long entraînement spécialisé.

La sécurité d’abord – Les enfants autistes, surtout en public, sont souvent portés à des comportements imprévisibles. Par exemple, un jeune peut choisir de quitter ses parents sans réfléchir. Le chien qui a reçu l’entraînement pour accompagner ces enfants encerclera le petit, ou encore, il jappera pour aviser les parents.

Habiletés sociales – Selon une étude de 2012 sur un groupe d’enfants autistes divisé en 2, ceux qui avaient eu un chien avaient développé considérablement leurs habiletés sociales, contrairement au 2e sous-groupe. La recherche avait été menée par le Centre de ressources pour autistes de l’Hôpital Bohars, en France. L’efficacité de la présence du chien était d’autant plus remarquable s’il avait été introduit auprès de l’enfant âgé de 5 à 6 ans.

Comme l’indique She Knows, nul ne connaît la raison pour laquelle ces chiens aident à développer l’empathie et le positivisme associé à la communication. Cependant, l’enfant autiste arrive plus facilement à communiquer avec un chien qu’un humain, et développe même le sens du partage.

Il s’agit donc d’une solution efficace, qui augmente la liberté de l’enfant et, par le fait même, celle des parents.

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Laissez la vieille école derrière et parlez plutôt à vos enfants

En se basant sur ces souvenirs, où la punition suivait inévitablement les disputes, les mauvais coups, les bévues, soyons plus attentifs et communiquons. C’est la meilleure méthode pour obtenir la collaboration de nos tout-petits.

Comme nous sommes encore aujourd’hui tiraillés entre la punition, pour discerner ce qui est bien ou mal, et des façons plus positives et plus modernes d’agir, voici quelques trucs trouvés sur Psychology Today.

L’exemple donné se réfère à une enfant de 3 ans qui vient de recevoir un bâton de baseball en plastique. Elle passe dans la cuisine et frappe accidentellement sa mère au genou.

– Évitez de vous concentrer uniquement sur l’événement ou le comportement. Essayez de comprendre. Elle vient de recevoir ce cadeau et est probablement très excitée.

– Fixez donc les limites pour la prochaine fois : pas de bâton à l’intérieur. Donnez l’exemple de ce qui vient de se passer : « Quelqu’un pourrait être blessé ».

– Plutôt que d’effrayer l’enfant en réagissant de façon colérique, expliquez-lui que vous comprenez qu’il s’agit d’un accident. Mais suggérez-lui une façon de régler la situation. Par exemple, en s’excusant ou en faisant un câlin.

– Dirigez immédiatement l’enfant vers une autre activité. Elle a compris qu’elle a fait une erreur, mais elle peut jouer avec autre chose.

Sans même vous en rendre compte, vous enseignerez les bonnes manières à votre enfant, et vous serez en mesure de réagir calmement à ce genre de situation.

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Potins

Le comportement de Miley Cyrus inquiète

Rien ne va plus pour Miley Cyrus, qui cumule les comportements étranges et extrêmes, rapporte Music-News.

À un tel point que sa famille et ses proches commencent maintenant à s’inquiéter, eux qui craignent qu’elle soit victime d’un incident ou d’une dépression.

Déjà plus ou moins stable dans ces agissements, la chanteuse et actrice de 20 ans semble de plus souffrir des tergiversations entourant sa relation et son mariage éventuel avec l’acteur Liam Hemsworth.

« Miley ne semble pas vouloir écouter qui que ce soit, et elle veut faire ce qui lui plaît. Elle reste debout toute la nuit, fait la fête avec ses amis et boit jusqu’aux petites heures du matin. Tout ce qu’elle dit vouloir faire, c’est faire la fête toute la nuit et dormir toute la journée. Elle semble en déni concernant sa relation », rapporte une source que l’on dit proche de la star.

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Les enfants qui font de l’apnée du sommeil sont plus à risque d’avoir des problèmes de comportement

Le journal médical SLEEP a publié les résultats d’une étude ayant porté sur 263 enfants, qui ont subi des tests dans un laboratoire de sommeil, ainsi qu’une évaluation neurocomportementale complète.

Parmi ceux-ci, 23 ont développé de l’apnée du sommeil pendant l’évaluation, tandis que 21 avaient ce problème persistant au départ. Finalement, 41 enfants qui faisaient au départ de l’apnée du sommeil ont vu ce problème disparaître durant les 5 ans de suivi après l’étude.

Les enfants qui ont développé l’apnée du sommeil durant l’étude avaient de 4 à 5 fois plus de chance que les autres d’avoir des problèmes de comportement, tandis que ceux qui avaient la forme persistante étaient 6 fois plus à risque. Ces enfants risquaient plus d’éprouver des problèmes d’hyperactivité, d’attention, de communication, d’habiletés sociales et de comportements perturbants.

« Cette étude procure de l’information importante aux professionnels de la santé, montrant que même si l’apnée du sommeil peut éventuellement disparaître, celle-ci est associée à des risques considérables de comportement. Les enseignants devraient aussi considérer que les problèmes de sommeil pourraient être la cause de problèmes survenant en milieu scolaire », a expliqué l’auteure de l’étude, Michelle Perfect, selon ScienceDaily.