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Des déménagements fréquents sont néfastes pour les enfants

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 2810 enfants de milieux urbains défavorisés des États-Unis, nés entre 1998 et 2000, et suivis jusqu’à l’âge de 5 ans.

Parmi ceux-ci, 23 % des enfants n’avaient jamais déménagé, 48 % avaient déménagé une ou deux fois, et 29 % avaient déménagé trois fois ou plus.

Les enfants qui avaient déménagé fréquemment avaient plus de problèmes d’attention, d’anxiété, de dépression, d’agressivité et d’hyperactivité que les autres. Cet effet était particulièrement observable chez les enfants vivant sous le seuil de la pauvreté.

« Les États-Unis sont encore en train de se remettre d’une importante récession, ce qui a eu un impact majeur sur le marché immobilier. Ceci a poussé de nombreuses familles à faible revenu à déménager à répétition pour chercheur du travail ou encore un logement moins cher », a fait remarquer l’auteure de l’étude, Kathleen Ziol-Guest, selon ce que rapporte Science Daily.

En 2002, 6,5 % des enfants américains habitaient dans leur logement actuel depuis moins de six mois. Dans les milieux défavorisés, ce pourcentage grimpait à 10 %.

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Comment gérer les crises chez les enfants

Comprendre la biologie

Les crises sont un phénomène cérébral réel, et pas (juste) une manière pour les petits monstres d’obtenir ce qu’ils veulent. Lorsqu’une crise se produit, quelque chose a atteint une zone du cerveau appelée l’amygdale, qui gère les émotions. Cette zone sert entre autres à identifier le danger et à réagir promptement. Chez les enfants, les connexions entre l’amygdale et les régions plus rationnelles du cerveau ne sont pas toujours bien formées, alors leur petit cerveau peut rapidement devenir complètement bouleversé et dépassé.

Réagir ou ignorer?

Certains enfants ont simplement besoin de temps pour se calmer, alors que d’autres peuvent être ramenés à un comportement plus normal. Vous connaissez vos enfants, alors faites ce qui marche le mieux pour eux. Une bonne idée serait à tout le moins de reconnaître leurs sentiments, par exemple en disant, « Wow, je vois que tu es vraiment fâché… »

L’après-crise

Il ne sert à rien de passer beaucoup de temps à essayer d’expliquer en long et en large ce qui s’est passé, mais lorsque l’enfant s’est calmé un peu, essayez d’aller chercher son cerveau rationnel. Par exemple, dites-lui : « Quelle solution pourrait-on trouver pour que ça n’arrive pas la prochaine fois? » À moyen et à long terme, il est important de donner aux enfants les outils pour qu’ils soient capables de se contrôler eux-mêmes.

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Les gènes pourraient en partie expliquer pourquoi certains enfants sont difficiles

Dans le cadre d’une nouvelle étude, les chercheurs ont observé 66 paires de jumeaux âgés de 4 à 7 ans. Ils ont conclu que les gènes pouvaient expliquer 72 % des variations entre les enfants en ce qui a trait à une certaine tendance à éviter les nouveaux aliments, tandis que le reste était influencé par l’environnement.

Les chercheurs ont noté que d’autres études précédentes révélaient des pourcentages similaires chez les adolescents et même les adultes, ce qui signifie que les gènes ont un impact sur les habitudes alimentaires la vie durant.

La présente étude, publiée dans la revue médicale Obesity, a mené à une découverte surprenante. En effet, les chercheurs ont examiné l’aversion aux nouveaux aliments en relation avec le pourcentage de gras chez l’enfant et ses parents. Si un des parents était en surpoids, c’était habituellement également le cas de l’enfant, mais uniquement si ce dernier évitait de goûter à de nouveaux aliments.

« L’aversion des enfants à essayer de nouveaux aliments est similaire à son tempérament ou sa personnalité. Certains enfants sont plus susceptibles que d’autres d’avoir ce problème. Par contre, ça ne veut pas dire que leur comportement ne peut pas changer, et qu’ils peuvent devenir un peu moins difficiles », a affirmé l’auteur de l’étude, Myles Faith, selon Medical News Today.

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Le somnambulisme comporte ses dangers

Le somnambulisme, ou le fait de marcher ou d’évoluer durant l’état de sommeil, n’est pas toujours un phénomène bénin. S’il peut parfois être sans risque, il comporte aussi son lot de dangers.

C’est ce que l’on apprend d’une étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, qui affirme que plusieurs incidents sont rapportés par des gens aux prises avec ce trouble du sommeil.

Du nombre des gens qui marchent en dormant,  58 % en moyenne auraient expérimenté des comportements violents ou agressifs. On craint donc pour l’intégrité physique de ces patients, en plus de celle de leurs proches, qui ne se rendent pas toujours compte de ces comportements nocturnes.

Outre ces conséquences potentiellement dangereuses, les somnambules sont souvent victimes de sévères fatigues durant le jour et sont souvent portés vers la dépression.

Pour contrer le phénomène, les experts français en tête de l’étude conseillent de se documenter sur le sujet et d’éviter les déclencheurs de ce trouble, comme de mauvaises habitudes de sommeil ou un stress trop important.

On conseille vivement à ces patients de bien verrouiller les portes et de même dormir au niveau du sol, s’il le faut. Installer une cloche aux portes n’est pas une mauvaise idée, puisque cela pourrait réveiller le dormeur qui tente d’en franchir une.

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Potins

Justin Bieber mis en garde

À la suite de son concert au stade O2 de Londres, où il est arrivé avec 2 heures de retard, Justin Bieber a eu une réunion Skype de 20 minutes avec les dirigeants de sa maison de disques.

Une source a déclaré au Daily Mirror : « Recevoir un déluge de commentaires négatifs n’est pas chose courante pour Justin. Il a tout naturellement du mal à l’accepter… Son comportement capricieux et ses bêtises sont loin d’être ce que ses fans attendent de lui ».

« Il a été suggéré qu’il reste un peu plus chez lui et qu’il commence à changer son comportement… Justin Bieber a bien pris en compte ces remarques et a promis de mettre à nouveau ses fans au premier plan. »

Après la réunion, Scooter Braun, gérant du jeune chanteur, lui a conseillé sur son compte Twitter de rester « concentré ».

Cependant, Bieber a averti ses critiques qu’il ne pouvait être jugé que par Dieu.

« Je comprends que c’est une partie du travail d’être jugé… Jugez-moi sur les faits, jugez-moi sur ma musique, mais attention au jugement que vous rendez et sachez cela… Je ne suis jugé que par une seule puissance, et je lui obéis », a-t-il écrit sur Twitter.

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Une semaine pour régler les problèmes de comportement chez vos enfants

Jour 1 : Ne pas réagir

La pire gaffe des parents, c’est de répondre au mauvais comportement des enfants. Dites-leur simplement durant un moment calme qu’à partir de maintenant, vous allez les ignorer.

Jour 2 : Rester positif

La première étape pour que la dynamique familiale aille mieux, c’est que les parents y croient.

Jour 3 : Montrer l’exemple

Si vous ne voulez pas que vos enfants haussent le ton à tout moment, ne criez pas envers eux. N’utilisez pas un ton pleurnichard, mais plutôt un ton ferme et neutre.

Jour 4 : Valider avant la discipline

Au lieu de perdre patience si un enfant pousse l’autre parce qu’il a brisé son jouet, vous pouvez calmement lui dire que vous comprenez sa frustration. Puis, expliquez-lui pourquoi il y aura tout de même une conséquence à son geste.

Jour 5 : Être constant

Malgré vos autres préoccupations ou votre stress, c’est une sphère où il est très important d’agir de manière très constante pour que les enfants sachent à quoi s’attendre.

Jour 6 : Changer les mauvaises habitudes

Vos enfants regardent trop la télé et ne veulent plus faire leurs devoirs ou prendre leur bain? C’est le moment d’instaurer de nouvelles habitudes plus saines, sans concessions, et d’être prêts à accepter que celles-ci ne soient pas bien acceptées tout de suite.

Jour 7 : Le 7e jour est toujours fait pour se reposer, non? Faites le point et félicitez-vous de vos progrès.

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Les enfants et l’influence des pairs

Le site Babble a décrit ce phénomène fascinant de la pression exercée par les pairs chez les petits. À quel âge les enfants commencent-ils à subir l’influence des autres?

Les chercheurs croient que cela peut être observé chez des enfants aussi jeunes que deux ans. Dans un test effectué en laboratoire, ces tout-petits imitaient des actions lorsque celles-ci étaient effectuées par plusieurs de leurs pairs. Cet effet ne se reproduisait pas par contre si l’action était effectuée plusieurs fois, mais par un seul autre enfant.

Les enfants vraiment jeunes sont donc influencés par le comportement de la majorité.

Dans une autre étude, celle-ci effectuée auprès d’enfants de quatre ans, les chercheurs ont aussi constaté que les petits tendaient à changer leurs réponses pour se conformer à la majorité.

Un groupe d’enfants ont tous reçu un livre identique, qui montrait l’image d’un animal. Tous sauf un, qui avait un livre avec un animal différent, sans qu’aucun des enfants ne le sache. Lorsqu’on a demandé aux enfants de nommer l’animal à voix haute, celui qui avait le livre différent a dit… la même chose que tous les autres.

Selon les chercheurs, la pression exercée par les pairs, même si elle peut parfois être négative, est une tendance complètement naturelle et innée, rien de plus qu’une tactique d’adaptation sociale et d’apprentissage, utile d’un point de vue de l’évolution!

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Les jeunes enfants sont parfaitement capables d’aider les adultes

Des chercheurs ont fait passer trois tests à 58 enfants de 3 ans, incluant 30 filles et 28 garçons.

Lors d’un des tests, un adulte a demandé à l’enfant de lui apporter un crayon ou un téléphone, en pointant un crayon qui ne fonctionnait plus ou un appareil jouet. La plupart des enfants n’ont pas tenu compte de cette demande et ont plutôt apporté un « bon » objet qui se trouvait à côté.

Si la demande était plus précise, par exemple si l’adulte expliquait à l’enfant qu’il voulait se servir du téléphone jouet comme poids pour faire tenir une pile de papiers, l’enfant acquiesçait à sa demande, montrant qu’il était capable de discrimination.

L’auteure de l’étude, Kristina Olson, a noté que « la plupart des enfants de 3 ans sont capables de reconnaître que les adultes ne prennent parfois pas les bonnes décisions et de décider de les aider d’une meilleure manière. Nous avons même constaté que les très jeunes enfants ont une motivation à intervenir lorsque les autres ne “font pas les choses comme il faut”, et ce, même si on ne leur a pas demandé », selon Science Daily.

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Traiter ses enfants différemment a un impact sur la famille entière

Les parents traitent souvent leurs enfants différemment : ils tendent par exemple à être plus positifs envers l’un et plus négatifs envers l’autre. Mais les chercheurs affirment que ce comportement est difficile à vivre pour l’ensemble de la famille, même pour l’enfant « favorisé ».

Des chercheurs canadiens ont étudié environ 400 familles qui avaient au moins 2 enfants, dont l’âge moyen oscillait entre 2 et 5 ans. Alors que la plupart des études précédentes sur le sujet mettaient surtout l’accent sur deux frères ou sœurs, celle-ci incluait des familles qui avaient jusqu’à 4 enfants et étudiait la dynamique familiale en entier.

Les mères qui avaient vécu des difficultés ou du stress, passé ou présent, par exemple la monoparentalité, des problèmes financiers ou un historique de violence, tendaient à avoir un comportement plus différent envers chacun de leurs enfants que les autres, dont la vie avait été moins difficile. Ces mères montraient par exemple leur affection ou leur chaleur ainsi que leur irritation d’une manière très variable selon l’enfant.

Ces différences de traitement avaient un effet beaucoup plus marqué au niveau de la famille en tant que telle que sur les différents enfants pris de manière individuelle. Plus les enfants étaient traités différemment, plus l’ensemble des enfants de la famille risquait de souffrir de problèmes de santé mentale, rapporte Science Daily.

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De longues heures à la garderie ne causent pas de comportements négatifs

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 72 000 mères et leurs enfants, incluant les frères et sœurs. Les mères ont répondu à un questionnaire leur demandant d’identifier les comportements d’agression et de désobéissance chez leurs enfants à l’âge de 18 et de 36 mois, ainsi que le nombre d’heures que ceux-ci passaient dans une garderie. On parle ici d’un centre de type installation, et non pas d’une garderie en milieu familial.

Les chercheurs ont comparé les enfants provenant de différentes familles, mais aussi les enfants de la même famille qui ne passaient pas nécessairement le même temps à la garderie.

Les chercheurs n’ont pas constaté une augmentation de comportements problématiques chez les frères et sœurs qui passaient plus de temps à la garderie. De la même manière, passer plus de temps dans un service de garde ne résultait pas à une détérioration du comportement, lorsque mesuré dans le temps, selon EurekAlert!.

Les auteurs ont expliqué que ces données contredisaient une étude similaire qui avait été menée aux États-Unis, et ont émis l’hypothèse que cela tenait peut-être au fait que la Norvège possède un système de service de garde en installation très enviable et de très grande qualité.