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Des trucs pour améliorer le comportement de ses enfants

Passer du temps avec chacun de vos enfants : Les enfants ont besoin d’attention et d’une connexion émotionnelle chaque jour. S’ils ne l’obtiennent pas, la discipline ne sera pas aussi efficace. 10 ou 15 minutes de temps avec chacun peuvent faire toute la différence!

Mettre les enfants au travail : Chaque enfant devrait contribuer aux petites tâches de la maison, selon leur âge. C’est une compétence très importante qui permet également de développer l’esprit d’équipe au sein de la famille.

Insister sur l’heure du coucher : La plupart des enfants ne dorment pas assez. Pour les coucher plus tôt, faites-le sur plusieurs jours, à raison de 10 minutes plus tôt chaque fois. Après quelques nuits, vous verrez peut-être une différence remarquable dans leur comportement!

Laisser faire les punitions : Parfois, envoyer un enfant dans sa chambre ne fonctionne tout simplement pas et ne fait qu’empirer la situation. Si c’est le cas chez vous, essayez plutôt de systématiquement trouver une leçon concrète à tirer : « Qu’est-ce que je pourrais t’apprendre ici pour que tu puisses mieux agir la prochaine fois? »

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La solitude et la santé

On parle beaucoup des différents facteurs qui peuvent engendrer ou déclencher des problèmes de santé. Même chose du côté de la nutrition, les gens surveillant maintenant tout ce qu’ils mangent, de façon obsessive pour certains.

À passer tout ce temps à analyser et éviter certains de ces facteurs, on oublie trop souvent d’autres caractéristiques qui sont nocives pour la santé, à commencer par le stress… et la solitude.

C’est ce qui ressort des conclusions rapportées par Santé Log, alors que des chercheurs de l’Université d’État d’Ohio et des National Institutes of Health affirment que le stress est non seulement un ennemi à abattre, mais aussi ce qui le déclenche.

Et l’un des plus grands déclencheurs de stress serait la solitude. Les gens qui vivent seuls et qui en souffrent seraient plus enclins à développer certaines maladies. Ainsi, le stress créé par cet état de fait serait une porte ouverte aux ennuis de santé.

Pour parvenir à ce constat, les auteurs de l’étude ont étudié les réponses biologiques de plusieurs sujets, dont certains menaient une vie sociale épanouie, et d’autres une vie d’isolement.

Pour ces chercheurs, les faits sont là : le corps réagit et fluctue bel et bien selon le type de vie sociale d’un individu.

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L’eye-tracking permettrait de repérer le leadership

Santelog.com rapporte une étude intéressante qui prétend qu’il est possible de repérer dans une foule la personne qui possède le plus de leadership et de chances d’accéder à un contexte de pouvoir.

Basée sur une technologie appelée eye-tracking, l’étude s’est effectuée par l’analyse de groupes de personnes réunies au même endroit. Les sujets de l’étude ne se connaissaient pas et devaient prédire qui des personnes dans les groupes-tests ressortiraient comme meneur.

Les participants auraient été en mesure d’identifier le « dominant » d’un groupe avec précision en moins de deux minutes.

C’est que selon les chercheurs, deux comportements particuliers permettent d’identifier les futurs chefs d’un groupe ou d’une société.

Le premier facteur est celui des qualités présentées par le sujet, comme le talent et la compétence. Le deuxième est la capacité de leadership, de domination.

Après plusieurs tests, dont celui de l’eye-tracking, on constate que ces qualités sont inconsciemment perçues par les autres personnes d’un groupe donné. Ainsi, les regards des gens d’un groupe se tourneraient majoritairement et de façon instinctive vers le chef naturel de celui-ci.

Une étude qui en dit long sur les réactions sociales de l’humain et sur la notion du « leadership inné ».

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La litière de votre chat pourrait affecter votre comportement

Tous les amoureux des félins et propriétaires de chats voudront sans doute lire cette nouvelle. Il appert, selon www.nlm.nih.gov, que les germes contenus dans la litière de votre chat, et plus particulièrement ceux contenus dans les « cadeaux » laissés dedans, pourraient avoir des effets néfastes sur le cerveau.

Par conséquent, ces effets pourraient bien jouer sur le comportement des maîtres. C’est du moins ce que conclut une étude sur le sujet, publiée dans la plus récente édition du journal PLoS Pathogens.

Ainsi, on apprend que c’est ce processus qui mène à la toxoplasmose, une maladie déclenchée par une exposition massive à ces germes. Si cette maladie est somme toute bien connue, il en va autrement de ses effets sur le cerveau et sur le comportement.

C’est que selon l’étude, de 30 à 50 % des propriétaires de chats seraient déjà infectés par la toxoplasmose, mais le système immunitaire serait en mesure de contrer la maladie dans la grande majorité des cas.

Donc, dans sa forme indétectable commune, la toxoplasmose pourrait mener à de la schizophrénie ou encore à une dépression.

De plus, on a constaté des changements comportementaux chez certains, qui devenaient subitement plus extrovertis qu’à l’habitude, par exemple. De l’agressivité, des envies de prendre des risques et d’autres symptômes du genre sont aussi observables chez certains sujets.

On suggère de bien nettoyer la litière de votre animal et de le faire souvent, en plus de garder la toilette féline dans une zone réservée et recluse du reste de la maison.

La toxoplasmose peut être fatale chez les gens qui ont un système immunitaire déficient.

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Le fer donné aux bébés de petit poids permet d’améliorer leur comportement plus tard

Pour une étude menée en Suède, 285 nouveau-nés de petit poids (de 2 à 2,5 kilos) ont reçu un supplément de fer quotidien entre 6 semaines et 6 mois.

Les bébés qui naissent avec un faible poids sont plus à risque d’avoir plus tard des problèmes cognitifs et de comportement. Ils sont également plus susceptibles d’avoir une carence en fer, qui peut affecter le développement neurologique.

À l’âge de 42 mois, ces enfants, ainsi que 85 enfants du même âge dont le poids de naissance était normal, ont subi des tests d’intelligence et une évaluation comportementale. Même s’il n’y avait pas de différence significative entre le QI des deux groupes, les enfants ayant pris un supplément de fer avaient un taux de problèmes comportementaux moins élevé.

« Ces résultats suggèrent à la fois que le risque plus élevé de problèmes comportementaux chez les bébés de petit poids peut être prévenu, mais consolide aussi un lien de causalité entre les suppléments de fer et un meilleur comportement chez les enfants à risque d’avoir une carence en fer », a expliqué l’auteur de l’étude, le Dr Staffan Berglund, selon MedPageToday.

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Une intervention rapide peut prévenir les problèmes de comportement chez les enfants

L’instigateur du projet, Pal Roland, du Center for Behavioural Research, explique ainsi que plusieurs systèmes, dont celui mis en place en Norvège, font une intervention à l’envers : la majorité des efforts sont consacrés à l’école secondaire. Le chercheur propose plutôt que les ressources soient mieux distribuées, avec de l’aide offert dès la garderie, la maternelle et l’école primaire.

Le projet, intitulé The Challenging Child (l’enfant difficile), met l’accent sur les manières d’identifier, même en bas âge, les enfants qui pourraient avoir besoin d’aide. Ce n’est pas toujours facile, étant donné que tous les jeunes enfants peuvent exprimer de la frustration et de la colère. Mais c’est dans la sévérité et la fréquence de cette négativité qu’on peut voir des signes avant-coureurs.

Le chercheur mentionne entre autres la transition entre la garderie et l’école primaire comme une source majeure de stress pour certains enfants à risque, qui peuvent développer des comportements négatifs simplement parce qu’ils ne savent pas comment bien exprimer ou canaliser ce stress.

Il faut épauler ces enfants, leur procurer du soutien, notamment en formant bien les enseignants et intervenants et en se transmettant de l’information sur les stratégies qui fonctionnent.

Les parents sont aussi des acteurs-clés pour aider leurs enfants. « La plupart des gens mettent l’accent sur les professionnels, mais je crois que les parents sont une influence majeure sur leurs enfants. Ces parents devraient recevoir une formation des enseignants ou intervenants, afin qu’ils développent leur expertise », a ajouté M. Roland, selon Medical News Today.

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Plus de testostérone voudrait dire plus d’honnêteté

Une étude unique et inusitée qui vient de paraître tendrait à démontrer que les hommes qui ont un fort taux de testostérone seraient plus enclins à être honnêtes, selon ce que rapporte www.nlm.nih.gov.

Il semble que cette hormone, communément reliée au sexe masculin et associée à des comportements agressifs, serait aussi gage de moins de mensonges et d’un comportement social sain.

L’étude, menée par le Dr Matthias Wibral de l’Université Bonn, analysait les comportements de 46 hommes dont les taux de testostérone étaient augmentés artificiellement, et de 45 autres qui recevaient un placebo.

Personne, incluant les chercheurs, ne savait qui recevait quoi. Ensuite, tous les patients de l’étude ont dû jouer à un jeu de dés dans lequel ils pouvaient remporter de l’argent. Plus le score était élevé, plus les hommes pouvaient gagner gros.

De plus, les scientifiques se sont assurés de créer le jeu de façon à rendre l’option de tricher bien présente.

Les patients devaient entrer leurs propres pointages dans un ordinateur surveillé par l’équipe de chercheurs. Conclusion : les hommes avec le taux de testostérone élevé mentaient moins que les autres.

On suggère que cette réaction pourrait être reliée au fait que la testostérone provoque la confiance en soi, nécessaire au « bon comportement social ».

Voilà qui redonne un peu de noblesse à cette hormone, souvent considérée comme un moteur d’agressivité et de comportement machistes.

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Un petit extra de sommeil bénéfique pour les enfants

Ce sont des chercheurs de l’Université McGill, à Montréal, qui ont mis en lumière les bienfaits de ce léger surplus de sommeil.

Medicalnewstoday.com rapporte ainsi que 27 minutes de plus font en sorte d’améliorer considérablement le comportement à l’école. Les jeunes sont plus stables émotionnellement, moins réticents et rebelles à l’autorité, et moins impulsifs.

Reut Gruber, qui a travaillé sur un groupe d’enfants en santé âgés de 7 à 11 ans, affirme que les effets d’une nuit de sommeil écourtée se font sentir immédiatement le lendemain. « Un sommeil réparateur est essentiel afin que les enfants soient alertes. Tout problème de sommeil doit être pris en charge et éliminé. »

Les chercheurs de l’étude affirment que les recherches précédentes se sont surtout attardées sur les résultats scolaires. Cependant, c’est l’effet psychologique du manque de sommeil qui cause de mauvais résultats. Il faut donc axer les recherches en ce sens.

En ce moment, 43 % des garçons de 10 et 11 ans ne dorment pas suffisamment. L’étude n’est que préliminaire et a été effectuée sur un très petit échantillon. D’autres recherches sont donc à prévoir pour corroborer ces résultats.

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De nouveaux outils pour détecter l’autisme

En fait, une évaluation précise des comportements chez les enfants permet de mieux comprendre certains désordres comme l’autisme.

Les scientifiques de Georgia Tech ont donc créé un outil innovateur qui suit automatiquement le regard de l’enfant avec des lunettes spéciales.

Le second outil inventé par ces experts est un système qui catégorise les problèmes chez les enfants qui souffrent de troubles du comportement.

Ces technologies aideront donc les médecins à appliquer des méthodes informatisées pour le dépistage, l’évaluation et la compréhension de l’autisme et des autres troubles de ce genre.

Les chercheurs espèrent qu’un jour, ces technologies pourront être utilisées en dehors du laboratoire, mais pour l’instant, les résultats obtenus sont préliminaires.

Rappelons que les troubles du comportement affectent grandement le quotidien des enfants. Les jeunes souffrant de troubles du spectre autistique seraient plus anxieux que les autres et souffriraient de problèmes gastro-intestinaux chroniques.

De plus, ces enfants auraient des réactions sensorielles atypiques à la lumière, aux sons et aux textures, selon les chercheurs de l’Université du Missouri.

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Diabète de grossesse lié au TDAH

Cependant, un second critère accompagnait les résultats de la recherche : la situation socioéconomique (faible revenu). Medpagetoday.com rapporte que les résultats démontrent également que l’enfant allaité recevait une protection contre le risque de développer un TDAH.

Les médecins allemands, Dr Jochen Schmitt de la Technical University Dresden et Dr Marcel Romanos de l’University Hospital, ont poussé plus loin les recherches et ont augmenté considérablement l’échantillonnage. Ainsi, ce sont 11 222 enfants et leurs mères qui ont été interrogés quant aux habitudes prénatales de la mère et au comportement de l’enfant plus tard.

En moyenne, les enfants étaient âgés de 9,9 ans, et la moitié étaient des filles. Ils ont découvert que lorsque la mère souffrait de diabète pendant la grossesse et se situait au niveau du seuil de la pauvreté, elle développait souvent une dépendance, soit à l’alcool, soit à la cigarette, ce qui augmentait le risque du développement d’un TDAH chez l’enfant.

En conclusion, Schmitt et Romanos ont également soulevé que les facteurs suivants augmentaient de façon significative les risques d’hyperactivité : statut de classe moyenne, tabagisme pendant la grossesse, problèmes de santé prénataux et eczéma atypique.