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Souper en famille pour la santé mentale des adolescents

Une vaste étude dirigée par Frank Elgar, professeur à l’Institut des politiques sociales et de la santé de l’Université McGill, démontre que les soupers pris régulièrement en famille contribueraient au bon développement mental des adolescents, et ce, indépendamment de la facilité de communication entre eux, leurs âges, sexe ou le niveau de vie de leur famille.

« Des soupers en famille plus nombreux étaient associés à une fréquence plus faible de problèmes émotionnels et comportementaux, à un bien-être émotionnel accru, à des comportements plus confiants et plus aidants envers les autres, ainsi qu’à une plus grande satisfaction à l’égard de la vie », affirme Elgar.

Selon le réseau InfoSanté, les travaux des chercheurs de McGill et de l’Université Queen ont porté sur 26 069 adolescents de 11 à 15 ans qui avaient participé à une étude canadienne sur les comportements liés à la santé des jeunes d’âge scolaire en 2010.

« Nous avons été surpris par la constance des effets observés », déclare le professeur.

Les bienfaits se produiraient à cause des échanges ouverts qui permettent aux enfants d’adopter des comportements opérants et positifs en matière de santé, notamment à faire de bons choix nutritionnels, à exprimer leurs émotions et à se sentir valorisés, ce qui contribue à une bonne santé mentale.

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Comment éviter les luttes de pouvoir parent-enfant

Reconnaissez et récompensez les bons coups de vos enfants.

Si vous ne réagissez qu’à leurs mauvais comportements, les enfants apprendront rapidement qu’une attention négative, c’est mieux que pas d’attention du tout. Il est important de conserver une dynamique positive le plus possible.

Établissez des limites claires et faites des demandes précises.

Essayez de formuler les demandes de manière positive, par exemple : « Je voudrais que tu laisses tes jouets en dehors de la salle à manger », plutôt que « Pas de jouets à table ». Répétez ces consignes souvent afin qu’elles soient bien comprises.

Donnez des choix à vos enfants lorsque c’est possible.

Les parents doivent évidemment garder le contrôle, et certaines choses sont non négociables (par exemple, l’heure du coucher ou faire les devoirs). Mais il est important d’établir des zones où votre enfant peut aussi décider : le laisser décider quels vêtements porter, quels livres il peut lire, les tâches qu’il veut accomplir dans la maison, etc.

Choisissez vos batailles.

Même si c’est parfois difficile de garder son calme, il vaut mieux parfois laisser tomber des situations mineures, et simplement se retenir de réagir.