Des scientifiques sont parvenus à mieux comprendre comment le Lupus se développe chez des souris et cela pourrait maintenant aider à mieux traiter cette maladie auto-immune.
Le Lupus touche jusqu’à deux millions de personnes aux États-Unis. Les défenses du corps se replient sur elles-mêmes, ce qui provoque des symptômes similaires à l’arthrite et au rhumatisme.
Cette maladie porte sur la capacité du système immunitaire à rejeter les déchets et se débarrasser des cellules mortes. S’il n’y a pas ce genre de nettoyage, cela prédispose au Lupus.
Selon le journal Nature Medicine, on soupçonnait la molécule PPAR-delta d’être essentielle au processus d’élimination et, après certains tests, il s’est avéré qu’elle l’était.
Maintenant, des médicaments favorisant l’activité de cette molécule aideraient donc à traiter le Lupus.