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Les parents doivent s’impliquer à tout prix dans les médias sociaux

Un rapport de McAfee, intitulé The Digital Divide: How the Online Behavior of Teens is Getting Past Parents (Le comportement des adolescents en ligne, à l’insu des parents), explique qu’il y a du rattrapage à faire, et vite.

Premièrement, les réseaux sociaux ne devraient être accessibles qu’aux 13 ans et plus selon la COPPA (loi de la protection en ligne pour les enfants). Mais nombreux sont les enfants de moins de 12 ans qui sont déjà bien actifs sur les différents réseaux sociaux, et ce, sans que les parents soient au courant.

Les risques de cyberintimidation sont d’autant plus grands que le jeune est déjà en faute et n’osera pas en parler s’il subit ce harcèlement. Dans le cas contraire, celui qui intimide se sentira puissant, puisqu’aucune autorité ne peut l’arrêter.

Babble rapporte quelques données du rapport de McAfee. Près d’un parent sur 3 se dit dépassé par la technologie et espère que ses enfants se comportent de façon adéquate en ligne. Encore 1 sur 3 croit que ses enfants sont trop avancés en informatique et qu’il lui sera impossible de les contrôler.

La pire des données est celle où 22 % des parents ne croient pas que leurs enfants peuvent s’attirer des problèmes en ligne. Une naïveté qu’aucun parent d’aujourd’hui ne peut se permettre.

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Comprendre et surmonter les crises de colère des enfants

Ce sont des parents qui ont donné leur avis à Parenting Squad. Les crises de colère existent parce que les tout-petits ne savent pas doser l’intensité de leurs réactions. À nous de comprendre ces éclats.

Avant la crise – Sachez reconnaître les catalyseurs. À la base, il s’agit souvent de besoins primaires, comme dormir, manger et boire. Dès que vous reconnaissez un signe, répondez à ce besoin. Vous devez également apprendre à vous connaître. C’est un échange. Si vous ne voulez pas qu’il panique, vous devez vous-même demeurer calme.

Pendant la crise – Respirez plusieurs fois avant de réagir. Vous détacherez plus facilement votre esprit de la montée de vos propres émotions. Laissez les autres penser ce qu’ils veulent. Si vous n’avez pas le contrôle de vos émotions, vous n’arriverez jamais à calmer celles de votre enfant. Concentrez-vous uniquement sur votre enfant, peu importe l’avis des autres. Collez-le, maintenez-le pour éviter qu’il se blesse et, surtout, si vous le pouvez, éloignez-le immédiatement de la source d’irritation.

Après la crise – Analysez ce qui vient de se passer. Tentez de découvrir la source de la crise. Révisez votre réaction et la solution apportée, ainsi que la réponse physique et émotionnelle de votre enfant. En procédant de la sorte, avec le temps, vous saurez exactement quoi faire lors des crises, et votre enfant se calmera de plus en plus rapidement.

Mais surtout, n’oubliez pas, ayez confiance en vous et votre instinct.

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Autisme : une nouvelle découverte qui étonne

Des chercheurs affirment être très surpris des conclusions tirées de leur propre étude concernant l’autisme et ses effets sur la connexion de certains circuits cérébraux, dévoile The National Library of Medicine.

En effet, les chercheurs du Massachusetts tentaient de confirmer certaines théories voulant que la connectivité entre certaines parties du cerveau soit moins efficace chez les autistes que les autres, mais qu’elles agissaient tout de même en synchronisme. Plus encore, on croyait que ce que l’on appelle la « connectivité fonctionnelle » pouvait être plus active chez les autistes.

Or, on apprend que non seulement les parties du cerveau en cause ne sont pas en symbiose, mais aussi que la connectivité fonctionnelle fractionne chaque action de façon indépendante.

Les chercheurs tentent d’expliquer la signification de ces conclusions en y allant d’une métaphore musicale.

« Imaginez le cerveau comme un orchestre. Quand les violons sont coordonnés avec les instruments à vent, l’orchestre joue en harmonie. C’est un exemple de connectivité. La connectivité locale, c’est comme de se concentrer sur les violons alors qu’ils jouent tous ensemble. On croyait que, chez les autistes, “l’orchestre” n’était pas bien coordonné entre les sections, mais que les instruments similaires jouaient ensemble. Mais on se rend compte que chaque instrument joue indépendamment des autres. »

Cette découverte permettra une meilleure analyse du phénomène et aide à comprendre ce que peuvent traverser les gens aux prises avec l’autisme.