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Un cocktail d’antioxydants pourrait contribuer au ralentissement du déclin cognitif

Une étude américaine propose une nouvelle solution afin de prévenir et ralentir les effets du déclin cognitif dû au vieillissement, rapporte Santé Log.

Le concept proposé par des chercheurs de l’Université de Floride du Sud se traduit par un véritable cocktail d’antioxydants qui, une fois mélangé, peut se transformer en ce qu’on appelle un nutraceutique.

Les chercheurs croient être en mesure de commercialiser l’idée sous forme d’un simple comprimé, qui contiendrait à la fois du thé vert, de la vitamine D et des extraits de bleuets.

Ces trois aliments, tout comme les antioxydants, sont déjà reconnus pour leur capacité à prévenir le développement ou l’amplification de maladies cognitives, ou du déclin « normal » dû à l’âge.

Après une série de tests conduits sur des patients volontaires, les chercheurs de la Floride ont pu confirmer leur théorie. Un grand nombre de ces personnes âges participant à l’essai auraient bien répondu au traitement, en plus d’afficher certaines améliorations cognitives encourageantes.

D’autres phases de tests sont encore à venir, et les chercheurs croient que cette étude ouvre la porte à de nouvelles solutions en matière de traitement du déclin cognitif chez les personnes âgées.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le magazine Rejuvenation Research.

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Marijuana thérapeutique : une nouvelle méthode à l’essai

On tente de nouvelles expériences afin de maximiser l’efficacité de la marijuana thérapeutique pour les patients qui en ont besoin, et la plus récente en date prend la forme d’une simple capsule de cannabis concentré.

Ainsi, rapporte Santé Log, les patients peuvent simplement avaler le comprimé de cannabis, au lieu de fumer la plante et d’encourir possiblement d’autres problèmes respiratoires.

C’est du moins la méthode mise à l’essai lors d’une étude publiée dans le magazine Neuropsychopharmacology, qui tend à démontrer que l’administration du cannabis par voie orale serait bel et bien la meilleure.

Pour comparer les méthodes, on a analysé les cas de 30 sujets, 15 hommes et 15 femmes, dont certains recevaient du cannabis en gélules, d’autres de façon traditionnelle, et d’autres, bien sûr, un placebo.

Les chercheurs ont constaté que la pilule de cannabis permettait de réduire la douleur aussi efficacement que lorsque la drogue douce est fumée, sans plus. Il s’agirait d’une égalité, mais les travers associés à l’inhalation de cannabis seraient cependant annulés grâce au format pilule.

Plusieurs autres essais et études sur le sujet sont appelés à être publiés, mais on pourrait assister à une révolution dans le domaine de la marijuana thérapeutique.

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Nouvelle recherche concernant les pilules de chimiothérapie

The National Library of Medicine rapporte des conclusions tirées d’une nouvelle recherche effectuée dans le dossier des pilules de chimiothérapie, une nouvelle façon de faire en oncologie.

Le premier constat parle d’une efficacité notable pour ce nouveau traitement, certains patients réagissant mieux à ce format qu’à celui intraveineux. De plus, il semble qu’il soit plus facile de cibler et combattre certaines formes de cancer avec cette chimiothérapie en pilules qu’avec la formule précédente.

Malheureusement, le principal problème avec cette méthode est que la posologie n’est souvent pas respectée. On constate que beaucoup de patients ne respectent pas les doses ou les recommandations, ce qui vient fausser les données et les traitements.

De plus, certains effets secondaires ont été observés, notamment des douleurs, des nausées, de la diarrhée, de la fatigue et des réactions cutanées. Ceci n’est rien pour aider les patients à respecter les règles établies, puisque plusieurs décideraient de « sauter » des doses afin d’éviter certains de ces désagréments.

« Les prescriptions pour ces pilules comprennent des instructions souvent complexes. Certaines d’entre elles demandent aux patients de prendre les comprimés plusieurs fois par jour, puis une seule, puis d’arrêter le traitement, pour enfin reprendre de multiples doses quotidiennement. Ça peut devenir très compliqué, surtout pour ceux qui subissent plusieurs traitements en même temps », lance l’auteure en chef de l’étude, Sandra Spoelstra.