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Hollywood PQ

Entrevue Julie Snyder: Son grand retour avec Chaque seconde compte, qui commence ce soir!

HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec la sympathique et généreuse Julie Snyder en marge du lancement du nouveau jeu télévisé qu’elle anime, soit Chaque seconde compte, diffusé dès ce lundi 8 janvier à 20h sur les ondes de Noovo.

Pour avoir vu les premiers épisodes et discuté avec l’animatrice, on peut vous garantir qu’il s’agit d’un jeu télévisé rempli de rebondissements et surtout très amusant qui ne manquera pas de vous divertir!

HPQ: «C’était un grand retour pour toi à l’animation d’un jeu télévisé, qui sera diffusé dès ce soir, comment est-ce que tu as trouvé ton expérience?»

Julie Snyder: «J’ai adoré ça, c’est comme si ça me rappelait Le Banquier, toute l’excitation, la fébrilité, de pouvoir donner de l’argent aux gens. J’ai eu beaucoup de peine quand Le Banquier s’est terminé. En fait, Le Banquier était l’émission numéro un du dimanche depuis 12 saisons à TVA et quand j’ai appris dans Le Journal de Montréal que je perdais mon emploi… j’ai trouvé ça vraiment rough de l’apprendre dans le Journal, parce que ça faisait 20 ans que j’étais à TVA et j’étais à TVA bien avant que mon ex-époux achète la chaîne (…)»

HPQ: «À un moment dans l’émission, il y a William, qui est un participant de 20 ans, qui t’a dit qu’il était fan du Banquier et tu as vraiment été émue. Comment tu t’es sentie à ce moment-là? Est-ce que ça t’a replongée dans tes émotions?»

JS: «Non, mais j’étais contente. Parce que moi, je me suis toujours dit: Le pare-brise est plus grand que le rétroviseur! et quand je te parle que ça m’a brisé le coeur (…) c’est ma réaction que j’ai eu quand (…) je l’ai appris en 2016 (…) c’est là que j’ai trouvé ça cruel et que j’ai trouvé ça difficile. Je me suis mise à trembler de tout mon corps. Mais, aujourd’hui, je regarde dans le pare-brise, je ne regarde plus dans le rétroviseur! Donc, quand il m’a dit ça, ça m’a touché de savoir qu’il avait grandi avec Le Banquier et c’est un concurrent, tu l’as vu, qui est exceptionnel. Il est très, très brillant, très attachant et il m’a fait beaucoup rire aussi, donc ça m’a touchée (…) je le sais que moi, j’aime ça jouer à des jeux, je joue à des jeux de société avec mes enfants (…) c’est vraiment dans l’air du temps, les gens aiment ça répondre à des questions, les gens vont être excités sur leur canapé ce soir!

HPQ: «Même avec toute l’expérience que tu as, est-ce qu’il y a encore un sentiment de stress face à l’idée que les gens pourraient ne pas aimer le contenu de cette émission?»

JS: «(…) je trouve que c’est diversifié, c’est-à-dire que si jamais les gens n’aiment pas ça, c’est correct parce qu’il y a d’autres offres ailleurs, c’est ça qui est bien (…) je trouve que Noovo est stratégique de, pendant qu’il y a des téléromans ailleurs de proposer quelque chose où tu te sens en direct dans l’émission. C’est une émission que tu as le goût de regarder pendant qu’elle est diffusée. Il y a vraiment quelque chose d’excitant et ça met en vedette des gens qui ne sont pas des artistes, c’est ça que j’aime. Ce n’est pas un quiz où un artiste est associé à quelqu’un d’inconnu, c’est vraiment quatre inconnus qui viennent de quatre régions différentes, qui ne se sont jamais rencontrés. Donc, de mettre en valeur, les gens qui ne sont pas des artistes, ça, ça me passionne. C’est ça que je trouve vraiment intéressant!»

HPQ: «C’est aussi le fait que les gens puissent jouer avec vous en étant à la maison!»

JS: «Bien oui! Le monde à la maison va crier, ça c’est sûr!»

HPQ: «On a parlé du coté amusant du jeu, mais comment tu te sentais aux moments où les joueurs devaient éliminer un membre de leur équipe? Ça m’a brisé le coeur… (rires)»

JS: «Moi aussi, mais les producteurs (Trio Orange) (…) ont vraiment été gentils parce que moi je leur ai dit: Je le sais qu’ailleurs dans le monde la personne est éliminée et elle s’en va, mais moi je ne suis pas capable ça. Alors on a trouvé un prix de consolation pour la personne qui part. Elle part passer un weekend fantastique dans un merveilleux chalet, le genre de chalet que l’on a pas les moyens de se payer, à 1000$ la fin de semaine pour ne pas nommer de prix-là (…) c’est sûr que ça, ça m’aide à passer au travers ce moment-là qui est un moment très difficile (…) qui arrive rapidement dans l’émission, après deux rounds de questions!»

Julie Snyder nous explique ensuite que non seulement le quiz s’adresse à tout le monde, mais qu’il est encore possible de joindre le plaisir!

JS: «En fait, Chaque seconde compte, c’est un quiz de culture mais pas juste de la culture générale avec un grand C, la culture du divertissement aussi et les gens qui s’y connaissent en divertissement peuvent très bien répondre. (…) les gens peuvent encore s’inscrire sur Noovo.ca, ils cliquent sur l’onglet participer et ils peuvent s’inscrire pour jouer avec nous et gagner de l’argent ou pour assister à l’émission en studio!»

HPQ: «Donc les gens peuvent encore s’inscrire en ce moment?»

JS: «Exactement (…)!»

HPQ: «Crois-tu que tu aurais été une bonne candidate pour ce genre d’émission?»

JS: «Oui (rires)! Oui, parce que je pense que je suis pas pire pour répondre aux questions! (…) ils passent un questionnaire à tout le monde et c’est un questionnaire de 25 questions et j’ai répondu à 23 bonnes questions sur 25! Mais, des fois ils vont prendre quelqu’un qui répond juste à 15 questions, mais qui va répondre à des questions que les autres ne sont pas capables de répondre, donc tu n’as pas besoin d’avoir une grande culture générale pour jouer, il faut juste que tu sois curieux, que tu écoutes des émissions de télé. Il y a souvent des questions sur les émissions de télé, les films, les réseaux sociaux, il y a des faits insolites (…)»

Une émission qui risque de faire passer de beaux moments aux téléspectateurs ainsi qu’aux participants qui courent la chance de gagner de gros montants d’argent!

Un grand merci à Julie Snyder pour sa générosité et ce bel entretien fort intéressant!

D’ailleurs, l’animatrice avait d’autres confidences à nous faire… que l’on garde pour la suite de l’entrevue, qui sera disponible au cours des prochaines heures.

Mais, pour le moment, ne ratez surtout pas la grande première de Chaque seconde compte, ce soir, 20H, sur Noovo!

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Grands Titres

Une mère découvre que sa fille de cinq ans a acheté 10 motos sur Amazon avec son téléphone.

Une mère au Massachusetts a découvert avec stupéfaction que sa fillette de 5 ans avait utilisé son téléphone cellulaire afin d’acheter 10 motos sur son compte Amazon.

En une seule journée, la petite Lila Varisco a dépensé pour 5000 $ US.

En plus d’avoir acheté 5 motos roses et 5 motos bleues, la fillette de 5 ans a aussi fait l’acquisition de 10 paires de bottes de cowboy, ainsi qu’un véhicule de type Jeep.


Jessica Nunes, la mère de la petite Lila, a expliqué aux médias locaux que «le prix des motocyclettes et le Jeep s’élevait à 3 180 $. Les bottes seules étaient environ 600».

Pour ajouter au malheur de la mère, les items commandés par sa fille sont arrivés très rapidement à la maison en raison de la fameuse politique d’Amazon qui promet une «Livraison en deux jours».


La mère a raconté aux médias locaux que «ces articles ne sont normalement pas remboursables, mais j’ai contacté Amazon et j’ai dit « s’il vous plait, peut-on faire quelque chose? »». Cette demande de la mère lui a au moins permis d’annuler la livraison des bottes.

Il n’en demeure pas moins que Jessica Nunes doit maintenant composer avec une situation plutôt inusitée: «Nous avons toujours un énorme Jeep deux-places qui s’en vient et je n’ai pas réussi à annuler la commande, mais on m’a autorisé à le renvoyer.»


Alors que la petite Lila est bien attristée de voir ses achats être retournés, sa mère assure qu’elle profitera de la situation afin de donner une bonne leçon à son enfant: «Je lui ai dit que si elle agit correctement et qu’elle fait des tâches à la maison, peut-être qu’on pourra lui acheter une moto adaptée à son âge.»

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Potins

Ben Affleck revient sur les incidents du Hard Rock Hotel & Casino

Ben Affleck est revenu sur les incidents de jeu et les rumeurs le concernant, rapporte BANG Media International. L’acteur a finalement admis être extrêmement habile au blackjack et avoir utilisé ce « talent » dans certains casinos.

Questionné sur l’incident qui lui a valu de se faire refuser l’accès aux tables de blackjack du Hard Rock Hotel & Casino de Las Vegas récemment, Affleck ne se défile pas.

« C’est une histoire vraie. Je veux dire, c’est arrivé. J’ai pris du temps pour apprendre le jeu, et je suis devenu un joueur de blackjack décent. Et une fois que je suis devenu bon, le casino m’a demandé de ne plus jouer au blackjack. »

« Le fait que d’être bon à un jeu soit contre les règles des casinos vous en dit long sur ces établissements. J’ai toujours été amateur de blackjack. Je ne joue à aucun autre jeu de hasard. Je ne parie pas sur les matchs de football et je ne joue pas du tout, vraiment, en dehors de ça. Mais je savais qu’au blackjack, il y a une façon d’améliorer ses chances. »

Ben Affleck n’admet donc pas catégoriquement avoir compté les cartes. Il précise également qu’il n’a pas été expulsé du casino, mais qu’on lui a plutôt indiqué qu’il devrait choisir un autre jeu de prédilection.

Selon les rumeurs, l’acteur aurait également été blâmé par le Caesar Windsor Hotel, au Canada, pour une histoire similaire.

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Un compte Gmail pour les enfants?

Après avoir créé en mars dernier une version de YouTube pour les moins de 10 ans, voilà que Google songe à nouveau à ce public cible en voulant créer des comptes Gmail. 

Ces petites boîtes courriel « privées » seraient toutefois accessibles aux parents, car ce sont eux qui devraient les ouvrir à la place de leurs jeunes, rapporte le Wall Street Journal.  

Ainsi, l’adulte pourrait garder un œil sur le contenu et ce qui y est envoyé. En ce qui a trait à la diffusion d’informations personnelles, Google a même pensé à exiger le consentement des parents. 

Malgré ces idées et signes de prudence de la part de la société californienne, certains comme des défendeurs en droits humains revendiquent la nouveauté informatique qui aurait pourtant pris naissance à la suite de demandes parentales, mentionne Famili. 

Avec la loi Coppa aux États-Unis qui a pour but de protéger l’intimité des bambins sur internet, les enfants de moins de 13 ans – s’ils ne falsifiaient pas leur âge sur le web – ne pouvaient pas en théorie avoir accès à un compte privé… du moins jusqu’à aujourd’hui. 

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Potins

Emmanuelle Béart règle ses comptes

L’actrice Emmanuelle Béart effectue une sortie en règle et décide de régler ses comptes après des années de critique concernant sa chirurgie des lèvres, et en profite pour décrier une injustice homme-femme dans le dossier.

Les propos de la star, rapportée par Voici, sont on ne peut plus clairs.

« J’ai fait refaire ma bouche, à l’âge de 27 ans. Ce n’est un secret pour personne, c’est loupé. Il y a des personnes que ça a profondément affectées, je fais partie de celles-là. Évidemment, si ma bouche m’avait plu, je n’aurais jamais eu envie de la refaire. Mais franchement, je ne suis pas près d’y retourner, parce que j’ai eu un tel choc, avec tout ça et sous le regard des autres », explique Emmanuelle Béart.

L’actrice poursuit avec des propos difficilement réfutables, concernant une attitude des fans et des médias envers les femmes qu’elle considère comme misogyne.

« Il y a une forme de bienveillance à l’égard des hommes dont nous, les femmes, nous ne bénéficions pas. Je ne me suis jamais considérée comme une victime, mais ce que j’entends sur les actrices, sur les femmes, est souvent abject. Est-ce qu’on demande à un acteur s’il se fera des injections de Botox quand il aura atteint la cinquantaine? »

Emmanuelle Béart touche la cible avec ces propos sentis, et même si elle semble avoir de bonnes raisons pour avoir recours à la chirurgie esthétique, on se demande si le véritable débat n’est pas dans l’utilisation abusive de telles pratiques chez les célébrités, qui proposent ainsi un exemple malsain pour leurs fans, et les femmes en général.

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Emmanuelle Béart règle ses comptes

L’actrice Emmanuelle Béart effectue une sortie en règle et décide de régler ses comptes après des années de critique concernant sa chirurgie des lèvres, et en profite pour décrier une injustice homme-femme dans le dossier.

Les propos de la star, rapportée par Voici, sont on ne peut plus clairs.

« J’ai fait refaire ma bouche, à l’âge de 27 ans. Ce n’est un secret pour personne, c’est loupé. Il y a des personnes que ça a profondément affectées, je fais partie de celles-là. Évidemment, si ma bouche m’avait plu, je n’aurais jamais eu envie de la refaire. Mais franchement, je ne suis pas près d’y retourner, parce que j’ai eu un tel choc, avec tout ça et sous le regard des autres », explique Emmanuelle Béart.

L’actrice poursuit avec des propos difficilement réfutables, concernant une attitude des fans et des médias envers les femmes qu’elle considère comme misogyne.

« Il y a une forme de bienveillance à l’égard des hommes dont nous, les femmes, nous ne bénéficions pas. Je ne me suis jamais considérée comme une victime, mais ce que j’entends sur les actrices, sur les femmes, est souvent abject. Est-ce qu’on demande à un acteur s’il se fera des injections de Botox quand il aura atteint la cinquantaine? »

Emmanuelle Béart touche la cible avec ces propos sentis, et même si elle semble avoir de bonnes raisons pour avoir recours à la chirurgie esthétique, on se demande si le véritable débat n’est pas dans l’utilisation abusive de telles pratiques chez les célébrités, qui proposent ainsi un exemple malsain pour leurs fans, et les femmes en général.

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Doit-on laisser les enfants au sein des médias sociaux?

La grande popularité des médias sociaux gagne non seulement les adultes, mais aussi les enfants, comme nous le savons. Par exemple, même si l’âge minimal pour détenir un compte Facebook est de 13 ans, on y compte beaucoup d’enfants plus jeunes.

Le réseau les supprimerait dès que l’on reconnaît qu’un utilisateur n’a pas cet âge. Il semble que 20 000 comptes sont éliminés chaque jour. Les plus jeunes demeurent toutefois très présents sur cette plateforme.
 
On apprend maintenant dans Ouest-France que les enfants font face à une toute nouvelle forme de violence, celle sur Internet. Il semble que les cas sont en hausse et que les plaintes de parents et d’enseignants se font de plus en plus courantes.

D’autre part, on suggère l’écoute et le soutien aux enfants qui se prêtent à ces pratiques, car on réussirait mieux, de cette façon, à régler le problème. Finalement, il est primordial que le parent ne devienne pas complice et protège trop son enfant dans cette situation : le compte Facebook de ce dernier devra être fermé.

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Règlements Facebook à revoir

On peut lire sur Clubic.com qu’un projet de loi californien est en ce moment évalué quant à la modification d’un règlement de Facebook.

Celui-ci, Social Networking Privacy Act, donnerait la maîtrise totale du compte Facebook d’un enfant à ses parents. Ainsi, les parents auraient la possibilité de supprimer toutes les données portant sur leur enfant s’ils en faisaient la demande.
 
Si la demande n’était pas traitée dans les 48 heures, Facebook pourrait se retrouver à payer une amende allant jusqu’à 10 000 dollars.
 
Le but de ce projet de loi semble être la protection des données personnelles des utilisateurs mineurs.

Rappelons que si Facebook n’est offert qu’aux 13 ans et plus, on évalue à 7,5 millions le nombre d’utilisateurs n’ayant pas encore cet âge. Ceux qui n’ont pas encore 18 ans représentent quant à eux 20 millions de personnes.