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Compter les calories serait inutile, selon une étude

Se pourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

ourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Comment apprend-on à compter?

Selon une récente étude parue dans Developmental Science, les enfants d’âge préscolaire arriveraient à compter uniquement s’il y a au moins trois objets devant eux. C’est qu’en bas de ce nombre, il n’est pas nécessaire de savoir combien il y en a.

Des chercheuses de l’Université de Chicago ont pu faire cette remarque après avoir suivi 44 enfants âgés de 14 à 30 mois et leurs parents. Elles tentaient, à la base, de définir la façon dont les enfants peuvent comprendre le lien entre les chiffres en mot et leur véritable valeur numérique.
 
Ce lien se nomme le principe cardinal : la grandeur d’un ensemble d’objets est déterminée par le dernier nombre atteint en les comptant. Or, apprendre les chiffres et comprendre le principe cardinal sont deux choses distinctes.

Il a déjà été démontré que les enfants d’âge préscolaire qui maîtrisent bien ledit principe sont meilleurs en mathématiques. Il semble maintenant que les enfants étant exposés aux chiffres de 4 à 10 (ainsi que ceux de 1 à 3) sont plus enclins à comprendre rapidement le principe cardinal que les autres.