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Amanda Seyfried admet que sa relation avec Dominic Cooper était vouée à l’échec

Amanda Seyfried n’a pas peur d’affronter et d’admettre la vérité, semble-t-il, alors que la jeune actrice fait le bilan de sa précédente relation sérieuse, rapporte ELLE.

Seyfried fréquentait depuis deux ans l’acteur Dominic Cooper avant que la relation se termine, il y a quelques années. La vedette de Lovelace et de In Time croit que cette union était de toute façon vouée à l’échec et n’aurait pu durer sur une longue période de temps.

« Ça n’aurait jamais marché à long terme. Je suis trop tendue pour lui, ou il est trop détendu pour moi. Il est avec la même fille depuis longtemps maintenant, j’espère qu’ils sont heureux », lance candidement Amanda Seyfried.

L’actrice accepte également de parler du trouble obsessif compulsif et de l’anxiété qu’elle a dû surmonter plus jeune, ce qui explique peut-être aussi une partie de sa personnalité actuelle. Elle admet par ailleurs vérifier ce qui se dit sur elle sur Twitter, mais avec une « saine curiosité ».

« Je me sens désolée pour la jeune moi, parce que je pensais être folle. D’où venait cette peur? Ça ne fait aucun sens. Ça devient physique », explique-t-elle.

Amanda Seyfried fréquente maintenant Justin Long, un hyperactif bien connu du cinéma, et peut-être que ces deux personnalités sont mieux adaptées pour tenir sur du long terme.

L’actrice de 28 ans sera en vedette dans Fathers and DaughtersPan et Ted 2 en 2015.

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Le buzz du menteur

Avez-vous déjà fait la connaissance d’un menteur compulsif? Peut-être avez-vous en ce moment dans votre entourage un personnage du genre, qui semble apprécier le moindre petit mensonge, tel un passe-temps tordu…

Selon une étude rapportée par le Daily Mail (UK), ce type de personnalité pourrait bien trouver un réel plaisir physique dans le mensonge, un peu comme les personnes dépendantes à différentes substances.

On parle donc d’un véritable « buzz du menteur » dans cette étude publiée par des chercheurs de l’Université de Washington dans le Journal of Personality and Social Psychology.

Ainsi, chaque petit mensonge serait accompagné d’une « récompense » au niveau cérébral, ce qui pousserait l’individu à recommencer… encore et encore!

Cependant, chez la plupart des cas recensés et démontrés, ce plaisir coupable ne serait efficace que si le mensonge n’a pas de réelles conséquences et qu’il ne fait pas de véritable tort à la personne qui le reçoit.

Tricher à un examen ou à un jeu, par exemple, a semblé éveiller la plus grande émotion positive chez ces menteurs, remarquent les chercheurs après avoir analysé plus de 1000 sujets.

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La stimulation cérébrale profonde : solution aux désordres obsessifs compulsifs?

The National Library of Medicine rapporte les conclusions obtenues à la suite des recherches sur les désordres obsessifs compulsifs et de la réaction des patients à des traitements par stimulation cérébrale profonde.

On parlait déjà beaucoup de cette façon de faire pour enrayer, ou à tout le moins prévenir, des troubles cognitifs ou dégénératifs, mais c’est la première fois que des spécialistes tentent vraiment le coup en ce qui a trait aux désordres obsessifs compulsifs.

Publiées dans l’édition du 24 février du journal Nature Neuroscience, ces recherches confirmeraient l’idée que ces désordres sont l’œuvre d’un dérèglement cérébral, et qu’ils sont donc réversibles.

À tout le moins de moitié, puisque les chercheurs hollandais en tête de l’étude révèlent avoir réglé 50 % du problème chez certains patients, grâce à la stimulation cérébrale profonde.

On définit un désordre obsessif compulsif par un comportement répété de la part d’un individu, qui ne peut y mettre un terme volontairement. On parle bien sûr notamment de certaines dépendances, mais ce trouble peut aussi se traduire par des gestes simples, comme placer les choses dans un ordre précis ou encore constamment s’inquiéter d’un geste que l’on a pourtant bien accompli, comme verrouiller une porte.

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Une zone du cerveau liée au trouble compulsif

Des scientifiques ont découvert que le cortex orbitofrontal des personnes aux prises avec le trouble obsessionnel compulsif (TOC) ne s’active pas complètement lorsqu’il est stimulé, comparativement aux autres sujets.

Selon l’auteur principal de cette étude, le neurologue Samuel Chamberlain de l’Université de Cambridge, cette découverte pourrait aboutir à un diagnostic plus rapide de ce trouble anxieux et ainsi permettre un meilleur traitement.

Environ 2 à 3 % des personnes souffrent de TOC à l’échelle mondiale. Cette maladie se caractérise par des pensées, impulsions ou représentations récurrentes (obsessions) et des actes mentaux ou des actions répétitives (compulsions) que le sujet se sent poussé à accomplir afin de neutraliser son sentiment de détresse ou d’empêcher un événement redouté.