Catégories
Uncategorized

Plus de malformations congénitales après un cancer

On peut lire dans le Journal of the National Cancer Institute les résultats d’une recherche concernant le lien entre les malformations congénitales importantes et l’historique de cancer du géniteur.

Des chercheurs de l’Hôpital universitaire de Lund, en Suède, ont en effet remarqué une légère hausse des cas de malformation lorsque le père était un survivant du cancer, en comparaison aux naissances issues d’un père qui n’en avait jamais souffert.

Ils ont suivi une cohorte de 8 670 enfants nés en Suède ou au Danemark entre 1994 et 2004. Tous les enfants de l’étude avaient un père ayant survécu au cancer. Il semble donc que ce passé médical augmente de 17 % le risque pour le bébé de naître avec une malformation congénitale majeure.

Mentionnons au passage que le risque global était de 3,7 %, contre 3,2 % si le père n’avait aucun historique de cancer. La différence est donc plutôt mince.

D’autre part, on se questionne depuis longtemps sur l’incidence de malformations congénitales pour la conception soutenue par les technologies actuelles de reproduction. On compte parmi celles-ci la fécondation in vitro et l’injection de sperme.

Parmi les participants de la présente recherche, 508 bébés étaient nés de ces méthodes. Or, aucune différence n’a pu être prouvée entre les enfants conçus naturellement et les autres.

Pour ce qui est des raisons possibles du développement d’anomalies lorsque le géniteur a eu le cancer, on n’a pas été en mesure de noter une hausse marquée si la chimiothérapie ou la radiothérapie avait été employée. Il faudra donc poursuivre les recherches, car pour l’instant, il ne s’agit que d’une corrélation.

Catégories
Uncategorized

N’attendez pas trop avant de concevoir un enfant

Le journal Obstetrician and Gynaecologist rapporte que les experts mettent en garde les couples de ne pas trop tarder avant de concevoir un enfant.
 
À 35 ans, les femmes ont six fois plus de difficultés à concevoir qu’à 25 ans. Même chose chez les hommes; leur fertilité diminue après 25 ans. En moyenne, à 40 ans, cela prend deux ans avant que leur conjointe tombe enceinte, même si cette dernière est dans la vingtaine.
 
De plus, à 40 ans, les risques pour la mère et le bébé sont beaucoup plus grands, tant durant la grossesse qu’à l’accouchement. Les femmes peuvent souffrir de prééclampsie, de grossesse extra-utérine, de fausses couches ou avoir un bébé mort-né. Si elles donnent naissance à un enfant, celui-ci peut être prématuré, plus petit ou il peut souffrir du syndrome de Down ou d’autres maladies génétiques.
Selon les résultats de l’étude, les experts croient que les risques de grossesses tardives devraient être enseignés aux jeunes, tout comme on le fait avec l’importance d’avoir des relations sexuelles protégées.
Catégories
Uncategorized

Preuves scientifiques quant aux liens de l’alimentation et du sexe du bébé

On peut lire dans le Daily Mail qu’une récente étude aurait jeté officiellement les bases pour qu’une grossesse résulte en un bébé de sexe féminin.

En effet, selon des chercheurs des Pays-Bas, un couple qui souhaiterait avoir une fille devrait suivre certains principes quant à la fréquence de ses relations sexuelles et l’alimentation de la future mère.

Ainsi, une femme devrait consommer beaucoup d’aliments contenant du calcium (yogourt, fromage, épinards, tofu, etc.) et du magnésium (noix de cajou, figues, céréales à grains entiers, etc.).

D’autres aliments devraient être évités, tels que ceux contenant beaucoup de sel et de potassium.

Les chercheurs de l’étude en question recommandent aussi aux couples souhaitant une fille d’avoir des relations sexuelles sur une base régulière, mais pas nécessairement avant ou après l’ovulation.

Pour tirer ces conclusions, ils ont suivi 172 femmes âgées de 23 à 42 ans. Toutes les participantes avaient déjà eu un garçon et souhaitaient avoir une fille.

On leur a demandé de suivre une diète et d’avoir des habitudes sexuelles comme il a été décrit plus haut. Or, plusieurs des participantes n’ont pas suivi toutes les règles à la lettre.

Malgré tout, parmi les 21 femmes qui avaient suivi le régime proposé de façon stricte, 16 ont accouché d’une petite fille.

Il semble que les deux méthodes combinées augmentent les chances de concevoir un bébé de sexe féminin.

Catégories
Uncategorized

Un lien inquiétant entre la grossesse et le cancer du sein

Des spécialistes se sont réunis cette semaine à Strasbourg dans le cadre des 32es Journées de la Société française de Sénologie et de Pathologie mammaire (SFSPM).

Selon eux, 0,1 % des femmes sont touchées par le cancer du sein durant une grossesse. Plusieurs raisons pourraient être en cause.

Par exemple, le nombre de grossesses tardives est continuellement en hausse. Même si l’âge de conception du premier enfant a baissé, il demeure que les femmes peuvent être enceintes de plus en plus tard.

Ainsi, cela pourrait être une piste, car nous savons déjà qu’une femme est plus à risque de cancer du sein lorsqu’elle avance en âge.

Bien que pour l’instant, les spécialistes en soient à discuter d’une corrélation, ils proposent certaines solutions. Par exemple, ils suggèrent qu’un centre de référence soit créé pour appuyer les médecins et les futures mamans.

Catégories
Uncategorized

Les chances de développer le cancer sont déjà présentes avant la conception

Les experts croient depuis longtemps que le cancer est génétique. Toutefois, selon le professeur Ricardo Uauy, les facteurs environnementaux de la mère ont une grande influence sur les risques de développer un cancer chez son enfant, et ce, avant même sa conception.
 
Si la mère fume, boit ou est en surpoids, ces facteurs favorisent le cancer plus tard chez l’enfant, selon ce qu’il mentionne au journal The Observer. Il y aurait de plus en plus de preuves que ces facteurs en tout début de vie jouent un rôle important sur l’incidence de la maladie.
 
Les experts recommandent aux parents de manger moins de nourriture en conserve et de diminuer leur exposition aux agents cancérigènes s’ils souhaitent fonder une famille.
 
Selon le professeur Uauy, l’allaitement maternel aurait également un effet anticancer. De plus, il affirme que les bébés ne devraient pas manger de nourriture solide avant d’avoir atteint l’âge de six mois.
Catégories
Uncategorized

Les femmes ont moins de chances de tomber enceintes, si elles sont stressées

Des chercheurs britanniques viennent de démontrer pour la première fois qu’il existe bel et bien un lien entre un niveau élevé de stress et la difficulté de concevoir un enfant.

Selon les travaux de la Dre Cecilia Pyper et son équipe de l’Université d’Oxford, parmi les 300 femmes qui ont participé à la recherche, on a constaté que celles qui avaient un taux élevé d’adrénaline avaient 12 % moins de chances de tomber enceintes, rapporte le journal Fertility and Sterility.

On recommande donc aux couples qui tentent d’avoir un enfant de pratiquer des techniques de relaxation, ce qui pourrait grandement les aider.

Rappelons que d’autres facteurs peuvent également réduire les chances de concevoir un enfant, comme l’âge, un surpoids, la consommation d’alcool et le tabac. Toutefois, ce sont tous des facteurs qui peuvent être modifiés, avec un peu de volonté.

Catégories
Uncategorized

Les femmes ont moins de chances de tomber enceintes, si elles sont stressées

Des chercheurs britanniques viennent de démontrer pour la première fois qu’il existe bel et bien un lien entre un niveau élevé de stress et la difficulté de concevoir un enfant.

Selon les travaux de la Dre Cecilia Pyper et son équipe de l’Université d’Oxford, parmi les 300 femmes qui ont participé à la recherche, on a constaté que celles qui avaient un taux élevé d’adrénaline avaient 12 % moins de chances de tomber enceintes, rapporte le journal Fertility and Sterility.

On recommande donc aux couples qui tentent d’avoir un enfant de pratiquer des techniques de relaxation, ce qui pourrait grandement les aider.

Rappelons que d’autres facteurs peuvent également réduire les chances de concevoir un enfant, comme l’âge, un surpoids, la consommation d’alcool et le tabac. Toutefois, ce sont tous des facteurs qui peuvent être modifiés, avec un peu de volonté.

Catégories
Uncategorized

Les conséquences d’une conception avec un don de sperme

Pour la toute première fois, une étude américaine s’est penchée sur les conséquences d’une conception grâce à un don de sperme. On a comparé ce que ressentaient les adultes nés par cette méthode aux enfants adoptés ou nés de parents biologiques.
 
Selon l’étude My Daddy’s Name is Donor rapportée notamment par le journal Le Monde, 52 % des hommes et 48 % des femmes nés par don de sperme disent avoir eu un préjudice en raison de leur conception. Près de 50 % d’entre eux mentionnent penser à leur situation plusieurs fois par semaine.
 
Bien souvent mal dans leur peau, 25 % des personnes nées de don de sperme se sentent totalement incomprises des autres, comparativement à 13 % des enfants adoptés et 9 % des enfants biologiques.
 
De plus, 43 % des adultes nés grâce à un donneur inconnu ont peur d’avoir des relations sexuelles avec une personne qui pourrait avoir un lien de parenté avec eux, comparativement à 16 % des personnes adoptées.  On note également que 67 % de ces personnes aimeraient en savoir plus sur leurs origines.
 
À la lumière des résultats, on recommande aux autorités américaines de lever l’anonymat sur les dons de sperme et de limiter le nombre d’enfants possibles pour chaque donneur.