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Le Viagra en renfort dans la lutte à l’obésité

Le Viagra connait un élan de popularité sans précédent en Amérique du Nord, et une récente étude pourrait bien encourager davantage cette mode.

D’après Santé Log, des chercheurs ont établi que le populaire médicament contre les troubles érectiles aurait un autre effet qui pourrait être utilisé dans la lutte à l’obésité.

Selon les auteurs de l’Université de Bonn, le Viagra aurait la capacité de transformer les graisses, faisant passer certaines graisses blanches en graisses brunes, celles-là mêmes qui se transforment en énergie au lieu de se stocker dans l’organisme.

Il pourrait donc être combiné à un autre type de traitement contre l’obésité et ainsi permettre un contrôle du poids plus efficace.

Les chercheurs affirment travailler depuis longtemps afin de démontrer ce lien. Ils souhaitent que cette étude pave la voie à de nouveaux outils et de nouvelles façons de faire en la matière.

L’obésité est considérée par un grand nombre de spécialistes comme la « maladie du siècle », un fléau qui peut mener à différentes maladies graves et chroniques, ou encore à des problèmes cardiaques.

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Le tabagisme passif maintenant reconnu

Top Santé rapporte un jugement provenant d’une cour d’appel française qui valide le concept de « tabagisme passif » et tranche en faveur d’une enseignante qui décriait le phénomène.

Cette enseignante originaire de Toulouse a dû se faire enlever un poumon à la suite d’un cancer dont l’origine est suspecte, puisque la dame ne fume pas.

S’il est difficile de tracer un lien clair entre le tabagisme passif et ce genre de cas, la cour d’appel en question semble avoir été convaincue par la plaidoirie de la plaignante.

Il s’agit d’une grande première, car les tribunaux du monde entier sont souvent réticents à accepter une notion de causalité dans ce genre d’affaires.

Or, des statistiques tendent à démontrer que le phénomène du tabagisme passif est bien réel et qu’il pourrait même tuer 1 personne sur 100.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’était aussi penchée sur la question en 2004, avant de conclure : « Le tabagisme passif résulte de la fumée qui envahit restaurants, bureaux ou autres espaces clos lorsqu’il y a combustion de produits du tabac, comme des cigarettes. Ses effets nocifs concernent tout le monde. Et il n’existe pas de seuil au-dessous duquel l’exposition à la fumée du tabac serait sans danger ».

On peut s’attendre à ce que plusieurs tribunaux emboîtent le pas dans ce dossier, à la suite de cette affaire qui fait office de jurisprudence.

 

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Trop de café pourrait mener à des problèmes d’incontinence

Les hommes qui ont certains problèmes d’incontinence devraient surveiller leur consommation de café et de caféine, suggère une étude rapportée par The National Library of Medicine.

« C’est quelque chose à considérer. Les gens qui ont des problèmes urinaires, dont l’incontinence, devraient modifier leur consommation quotidienne de caféine. Je crois que cela s’inscrit dans une démarche clinique », lance la Dre Alayne Markland, auteure principale de l’étude.

Dre Markland, de l’Université de l’Alabama à Birmingham, rappelle toutefois qu’il n’y a pas de causalité prouvée entre la prise de caféine et des dommages subséquents à la vessie chez les hommes.

Toutefois, l’étude qui observait les dossiers de plusieurs hommes a permis de constater que ceux qui consommaient plus de café que les autres étaient clairement plus sujets à ce genre de problème urinaire.

L’étude suivait les comportements de 4000 hommes par voie de sondage et cherchait à établir l’impact de la caféine sur la santé de ces sujets. Après trois ans de recherches, il est évident pour Dre Markland que ses théories s’avèrent exactes.

On conseille donc vivement aux hommes qui souffrent d’incontinence de ralentir la caféine, ce qui pourrait s’avérer un excellent premier pas pour régler le problème.

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Les petits fruits à la rescousse de votre santé cardiaque

Une toute nouvelle étude américaine vient saluer les vertus des petits fruits dans la prévention des maladies du cœur, rapporte Top Santé.

Ce sont des chercheurs de Harvard qui proposent ces conclusions, qui feront le bonheur des fanatiques de fraises, bleuets, framboises, mûres et autres petits fruits.

Comme Harvard ne fait jamais rien à moitié, les membres de l’équipe ont analysé les cas de près de 94 000 patientes âgées de 25 à 42 ans. Elles ont été suivies durant 18 ans et elles devaient répondre à plusieurs questions et sondages sur une base régulière.

Pour ces spécialistes de la prestigieuse université, il est évident que la consommation de fraises et de bleuets est hautement bénéfique pour la santé, plus particulièrement pour le cœur.

« Nous avons calculé que les femmes qui mangeaient des fraises et des bleuets au moins trois fois par semaine avaient 32 % moins de risques de souffrir de problèmes cardiaques que celles qui en mangeaient moins d’une fois par mois », lance le Dr Eric Rimm.

Les chercheurs notent également les effets à long terme de ces fruits. En effet, ils semblent que les gens qui en consomment dès leur jeune âge voient leur protection être efficace encore bien des années plus tard.

Cette étude devait d’abord statuer sur les effets des petits fruits sur la santé cardiaque des femmes, mais ils s’appliqueraient aussi aux hommes.

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La planche à neige, reine des blessures hivernales

The National Library of Medicine rapporte une étude qui place la planche à neige en tête de liste des sports d’hiver les plus dangereux.

Selon les U.S. Centers for Disease Control and Prevention, la planche à neige est responsable de près du quart des blessures sportives totales à survenir en hiver.

Le Dr Daryl O’Connor confirme ces statistiques en rappelant que l’hiver apporte son flot de nouveaux patients dans les hôpitaux un peu partout. Au banc des accusés : la planche, mais aussi le ski, la luge, le hockey et les traîneaux.

Ces derniers causeraient des lésions ou des blessures à près d’un million d’individus annuellement en Amérique du Nord!

Si la planche à neige est un sport louable et respecté (désormais présenté en compétition olympique), il en va autrement d’un autre fléau décrié par l’étude : le skitching.

Faisant référence au phénomène des gens (notamment des jeunes) qui se laissent trainer par un véhicule sur des routes enneigées ou glacées en se tenant au pare-chocs arrière, le skitching est une expérience qui peut s’avérer désastreuse, mettent en garde les spécialistes.

« C’est tout simplement inconscient », ajoute le Dr O’Connor.

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Les relations sérieuses augmenteraient l’espérance de vie

Célibataires, vous voudrez peut-être réviser votre style de vie à la suite de la parution d’une nouvelle étude qui traite de longévité et de relations amoureuses et sociales.

En fait, l’étude américaine propose le constat suivant : entretenir une relation amoureuse sérieuse et à long terme permettrait de vivre plus longtemps.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord, rapporte Santé Log, qui proposent ce constat, après avoir analysé les dossiers de près de 5000 personnes nées dans les années 40.

Ces sujets ont répondu aux questions des chercheurs, et ces derniers ont aisément remarqué que les gens qui vivaient en couple jouissaient d’une longévité supérieure.

Ceci serait particulièrement vrai à partir de 40 ans, souligne l’équipe de spécialistes. Être seul passé la quarantaine pourrait augmenter les risques de mortalité par trois fois, croient-ils.

Après avoir analysé les variables et les autres paramètres qui pouvaient influencer la santé des sujets en question, ils concluent que le concubinage a un réel impact, et un impact majeur.

Ceci pourrait s’expliquer par les réactions émotionnelles ressenties en couple, en plus des styles de vie plus sains qui accompagneraient ce choix de vie.

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La plupart des erreurs médicales seraient gardées secrètes

Un constat qui pourrait en effrayer plus d’un fait état de plusieurs erreurs médicales qui sont demeurées secrètes, les praticiens choisissant de ne pas révéler l’information à leurs patients.

Il semble que ce soit un comportement courant dans les corps médicaux du monde entier, rapporte nlm.nih.gov.

Il est cependant bon de spécifier que la plupart des erreurs non révélées dont on fait mention n’ont eu pour ainsi dire aucune conséquence sur les patients visés.

Doit-on alors inquiéter davantage un patient lorsqu’une erreur sans conséquence est commise? Voilà la grande question d’éthique qui se pose ici.

Le Dr Asad Latif, auteur en chef de l’étude, se dit surpris de ces révélations, mais prend le temps de préciser que 98 % des erreurs commises n’ont pas de réels impacts sur la santé ultérieure des patients.

De plus, il semble que la majorité de ces erreurs soient commises en urgence et aux soins intensifs, alors que la pression est à son paroxysme.

Il ajoute qu’il serait prématuré de s’inquiéter de ce phénomène, et que d’autres études sont à prévoir pour relancer le débat.

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L’aspartame blanchi par les autorités européennes

Des conclusions de l’Autorité européenne de sécurité des aliments, rapportées par Top Santé, risquent fort de créer de vifs débats en matière de santé et de nutrition.

Les spécialistes européens viennent de « blanchir » l’aspartame, cet édulcorant utilisé notamment dans les boissons gazeuses et la gomme à mâcher pour remplacer le sucre.

Ils concluent donc que l’aspartame n’est d’aucun danger pour la population et les consommateurs, ce qui s’avère un brusque virage d’opinion. L’aspartame est considéré depuis longtemps comme un puissant ennemi de la santé, ce qui pourrait s’avérer un mythe.

L’étude semble étoffée, et des tonnes de documents connus ont été épluchées et analysées afin d’en venir à ce constat final.

« … pas de problème de toxicité pour les consommateurs aux niveaux actuels d’exposition », affirme l’équipe de chercheurs.

Ces derniers expliquent qu’avec les niveaux d’aspartame contenu dans les différents produits offerts sur le marché en ce moment, il faudrait une consommation inouïe, et ce, tout au long de la vie d’une personne, pour arriver à des seuils de toxicité dangereux.

L’Agence met toutefois en garde les femmes enceintes contre ces produits, et suggère de les éviter pendant la grossesse.

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Le ginseng et la dysfonction érectile

On prête depuis des lunes des propriétés thérapeutiques ainsi que des vertus sexuelles et aphrodisiaques au ginseng.

Si certaines théories s’avèrent exactes, d’autres ne seraient que des légendes et des mythes. L’une d’entre elles propose que le ginseng puisse venir en aide aux hommes souffrant de troubles érectiles. Mythe ou réalité?

Santé Log s’est penché sur la question, en rapportant une étude coréenne sur le sujet. Publiés dans le Journal of Impotence Research, les résultats décevront les fans du ginseng : celui-ci n’aurait presque aucun effet sur les problèmes de dysfonction érectile.

Les chercheurs coréens parlent de « presque », car ils notent un léger effet placebo chez certains sujets, en plus d’une certaine amélioration des fonctions sexuelles chez des hommes déjà en bonne santé.

On lierait plutôt ce phénomène aux vertus aphrodisiaques confirmées du ginseng, plutôt que de parler de résolution dans les cas de troubles érectiles.

On attend d’autres recherches sur le sujet, mais il semble que ceux qui comptaient sur cet ancien ingrédient pour régler leur problème devront se tourner vers d’autres solutions.

Le ginseng ne comporte essentiellement aucun effet secondaire et peut être utilisé sans risque par la population.

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Un traitement pour le coeur pourrait avoir une double utilité

www.nlm.nih.gov rapporte des conclusions tirées par des chercheurs qui croient qu’un médicament couramment employé pour contrôler la haute pression et le rythme cardiaque pourrait avoir une deuxième utilité.

En effet, les spécialistes pensent que le traitement appelé « bêta bloquant » serait également fort utile dans le suivi des patients qui se remettent d’un cancer du poumon.

On observerait une hausse des taux de survie de 22 % chez les patients en rémission qui utilisent ce traitement.

« Ces découvertes étaient les premières, à notre connaissance, démontrant une hausse des taux de survie avec l’utilisation des bêta bloquants parallèlement à la radiothérapie dans les cas de cancer du poumon. Ces résultats laissent présager qu’il y a peut-être un autre mécanisme inexploré qui pourrait aider les patients aux prises avec cette maladie très agressive », déclare le Dr Daniel Gomez, de l’Université du Texas.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans la plus récente édition des Annals of Oncology et laissent présager de nouvelles façons de faire en oncologie dans les cas de cancer du poumon.

Les chercheurs tiennent à spécifier que les statistiques concernant les rémissions et les taux de survie peuvent aussi varier en fonction de l’âge et de la condition physique des patients.