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Le Canada veut changer les règles de dépistage du cancer du col de l’utérus

Un groupe de chercheurs et de spécialistes unis pour étudier les méthodes de prévention et de traitement du cancer du col de l’utérus ont rendu leurs conclusions, rapporte notamment Le Devoir.

Celles-ci semblent vouloir indiquer que des changements sont à prévoir au Canada en ce qui a trait à la prévention de cette maladie.

D’abord, on parle beaucoup des fameux tests PAP ces temps-ci, et l’étude suggère justement de faire passer ce test de dépistage aux trois ans (il est aujourd’hui suggéré annuellement).

Ces tests peuvent comporter leur lot de désagréments, semble-t-il, et il serait possible d’avoir un système de prévention tout aussi efficace en évitant les méthodes intrusives chaque année.

La prévention du cancer du col de l’utérus devrait commencer à 25 ans environ et être mieux ciblée. On veut donc rendre les choses plus efficaces pour les femmes qui doivent subir le test.

Pour terminer, notons que le risque de cancer du col de l’utérus est passé de 1,5 % à 0,66 %. Les taux de mortalité sont aussi en baisse, passant de 0,94 % à 0,22 % depuis la mise en place du fameux test PAP.

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Des chercheurs tracent un lien entre le gras saturé et le sperme faible

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui trace un lien entre des cas de sperme déficient et les gras saturés.

Ce sont des chercheurs danois qui sont en tête de ces recherches. Selon eux, le lien est clairement vérifiable. Pour prouver leur théorie, ils ont analysé les dossiers de plusieurs hommes, dont certains recevaient des aliments forts en gras saturés.

Résultat : les sujets ayant reçu plus de gras saturés que les autres dans leur alimentation ont vu leur nombre de spermatozoïdes descendre en flèche. Étonnant? Pas tant que ça, si l’on considère que plusieurs autres études du genre sur le sujet ont déjà été publiées, mais que la population semble tarder à les prendre au sérieux.

Par exemple, à l’inverse, des chercheurs brésiliens avaient déterminé que le fait de manger des grains entiers, de l’avoine et du blé pouvait contribuer grandement à une fertilité plus abondante.

Les chercheurs danois expliquent qu’ils ne peuvent encore parler de cause à effet directe, car le phénomène de la baisse des spermatozoïdes est aussi influencé par d’autres facteurs. Ces facteurs seraient par contre pour la plupart tous liés au style de vie.

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Le cancer fait moins de morts en Amérique du Nord

C’est un constat rempli d’optimisme que publie www.cancer.org, alors que les taux de mortalité dus au cancer seraient encore en baisse en Amérique du Nord, notamment aux États-Unis.

Ces résultats proviennent du rapport annuel sur le sujet (Annual Report to the Nation on the Status of Cancer), publié cette année dans le Journal of the National Cancer Institute.

On remarque que les décès à la suite d’un cancer sont en baisse, malgré une hausse des diagnostics. Il s’agit d’un déclin constant depuis les années 90, affirment les spécialistes, ce qui a de quoi surprendre.

Ainsi, on note des baisses respectives de 1,8 % et 1,4 % de mortalité chez les hommes et les femmes atteints d’un cancer. De plus, ces statistiques touchent la plupart des cancers connus, comme ceux du poumon, du sein et de la prostate, pour ne nommer que ceux-là.

« La continuité de la baisse de la mortalité par cancer depuis deux décennies est certainement une raison de célébrer. Le défi auquel nous faisons maintenant face est de continuer cette progression malgré l’apparition de nouveaux problèmes comme l’obésité et le VPH, entre autres. »

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La maladie d’Alzheimer serait encouragée par l’obésité

Santelog.com et quelques autres sources rapportent que des chercheurs ont établi un lien entre l’Alzheimer et l’obésité.

Bien que l’on ne puisse exclusivement pointer du doigt le surpoids pour cette terrible maladie dégénérative, il semble néanmoins que celui-ci pourrait jouer un rôle important dans son déclenchement et son développement.

C’est ce qu’on comprend des conclusions de ces chercheurs, publiées dans le magazine Diabetes. On parle entre autres de la protéine Tau et des plaques amyloïdes au cerveau, deux facteurs associés à la maladie d’Alzheimer.

Or, l’obésité engrange ces protéines et favorise donc, directement ou indirectement, le développement de maladies comme l’Alzheimer et la démence. Même son de cloche en ce qui concerne le diabète de type 2, qui peut lui aussi mener à la maladie d’Alzheimer.

C’est notamment la présence de cette protéine Tau dans l’hippocampe qui poserait problème, comme l’explique le chargé de recherche David Blum, de l’INSERM.

« Une pathologie aggravée tant du point de vue de la mémoire que des modifications de la protéine Tau », lance le chercheur, pour qui ces liens ne font aucun doute possible.

De plus en plus de recherches démontrent les multiples conséquences d’un gain de poids trop important.

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Les blessures à la tête n’augmenteraient pas les risques de démence

Si les risques de démence en vieillissant ne sont pas augmentés par une blessure à la tête au cours de votre vie, il en va autrement des risques de nouvelles blessures, selon une nouvelle étude sur le sujet.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte ces recherches, alors que plusieurs personnes s’inquiètent de leur avenir à la suite d’une blessure sérieuse à la tête.

C’est notamment le cas des sportifs, qui subissent souvent ce genre de chocs.

« Il y a beaucoup de peur chez les gens qui ont eu une blessure à la tête ou au cerveau, peur de développer d’horribles problèmes à long terme en vieillissant. Ce n’est pas vrai. Par contre, nous avons constaté un risque de nouvelle blessure similaire », explique l’auteure Kristen Dams-O’Connor, de l’école de médecine du Mount Sinai Medical Center à New York.

Voilà qui rassurera les principaux intéressés, surtout que l’étude est exhaustive, rassemblant des données depuis plus de 16 ans et analysant les cas de plus de 4000 adultes ayant déjà subi ce genre de blessures à la tête.

Les résultats ont été publiés récemment dans le Journal of Neurology, Neurosurgery & Psychiatry.

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L’antagoniste du fructose : le glucose

On a beaucoup parlé, et encore tout récemment, du fructose et de ses effets néfastes sur la santé. On vous apprenait cette semaine que les études concluent non seulement que le fructose est mauvais pour la santé (notamment parce qu’il est employé dans plusieurs produits de consommation usinés sous la forme de sirop de maïs, par exemple), mais aussi parce qu’il donne une impression de faim… sans fin.

Le fructose ne donne donc pas l’impression de satiété, ce qui pousserait les gens à manger davantage, malgré l’ingestion d’une tonne de calories.

Cependant, ce n’est pas le cas du glucose, qui fait ici figure d’antagoniste à son camarade. En effet, selon santelog.com, le glucose réussit quant à lui à envoyer le bon message de satiété à l’organisme, ce qui ne donne pas envie à l’individu qui en consomme de manger de nouveau tout de suite après.

Les chercheurs de Yale en tête de l’étude croient même que le glucose offre plus qu’une impression d’être rassasié, mais aussi un sentiment de plénitude, de bien-être.

C’est ce qu’observent les chercheurs chez les sujets qui favorisent le glucose au fructose, et c’est aussi vérifiable chez les animaux.

Bien sûr, on rappelle que le sucre en général est mauvais pour l’organisme, et que l’on doit en limiter sa consommation.

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Cesser de fumer permettrait de réduire le stress

Une nouvelle étude rapportée par topsante.com parle des effets bénéfiques de l’arrêt du tabagisme sur la santé, notamment en ce qui concerne le stress.

On explique d’abord que les vertus antistress que l’on prête souvent à la cigarette sont fausses, puisque celle-ci est un excitant.

Les gens qui prétendent fumer pour se détendre ou qu’une « bonne cigarette » les aide à se détendre ou à réfléchir seraient dans l’erreur, ou du moins victimes d’un effet placebo.

Pour prouver leur théorie, les chercheurs britanniques en tête de l’étude ont analysé les cas de 500 fumeurs qui tentaient d’arrêter cette vilaine habitude.

Du nombre, 68 ont véritablement réussi à écraser, et on a remarqué chez ces sujets une baisse radicale du niveau de stress perçu et ressenti. Cet effet serait plus facilement vérifiable près de six mois après l’arrêt complet du tabagisme, mais n’en demeure pas moins tout à fait réel.

Pour les chercheurs, une équipe formée de spécialistes d’universités réputées comme Cambridge, Oxford et le King’s College, il s’agit d’une preuve qui corrobore leur théorie initiale.

Cesser de fumer réduirait donc le stress et augmenterait par conséquent l’espérance de vie sur deux tableaux.

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Étude contradictoire dans le dossier du surpoids et de la longévité

Voilà une étude qui fait jaser et qui continuera de le faire au fil des prochaines semaines. Le Journal of the Medical American Association (JAMA) vient de publier des recherches qui indiquent la possibilité d’une meilleure espérance de vie chez les gens légèrement en surpoids.

Voici qui contredit à peu près tout ce qui a été publié jusqu’à maintenant en matière de poids, de santé et de longévité.

La nouvelle de cette publication est reprise par plusieurs médias, dont Radio-Canada. On explique par ailleurs que cette étude n’en est pas une mince, mais plutôt ce que l’on appelle une « méta-étude ». On entend par là que cette étude analyse les résultats de plusieurs autres études précédentes sur un même sujet, dans ce cas-ci plus de 97 recherches couvrant pas moins de trois millions de personnes.

On parle de l’indice de masse corporelle, qui pourrait favoriser une plus grande durée de vie chez ceux qui en affichent une plus grande que la moyenne (IMC de 25 à 29,9, par exemple, contre 18,5 à 24,9 pour la moyenne).

Passé ces chiffres, les risques de mortalité prématurée grimpent en flèche. On parle donc d’un « bénéfice » observable dans les cas de surpoids léger.

Les chercheurs expliquent le phénomène par plusieurs théories plausibles, à commencer par celle qui veut que ces graisses en trop puissent bien fournir des énergies supplémentaires lorsque le corps tente de combattre les virus et maladies.

On peut s’attendre à voir d’autres études et recherches réagir à celle-ci dans un avenir rapproché.

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Meilleures chances de survie en Colombie-Britannique

Les rois de la longévité au Canada en 2011-2012 sont les gens de la Colombie-Britannique, annonce Radio-Canada.

On rapporte une étude du Bureau de l’état civil de la Colombie-Britannique sur le sujet, qui parle d’une légère augmentation de l’espérance de vie moyenne dans la province de l’Ouest, passant de 81,7 ans à 82 ans tout juste.

L’étude propose plusieurs chiffres sur la vie et la mort des citoyens canadiens. On y apprend notamment, et tristement, que le cancer est toujours la cause numéro un de mortalité en Colombie-Britannique, tout comme dans toutes les autres provinces canadiennes.

On note cependant que les taux de mortalité concernant le VIH et le SIDA sont encore en baisse, avec 59 décès en 2011.

La population de la Colombie-Britannique a aussi augmenté, avec un gain de 31 776 citoyens, toujours selon l’étude.

Ces recherches sont effectuées chaque année afin de compiler le plus de statistiques possible sur la mort, les causes de mortalité, la vie ainsi que sa qualité, et les variations de population, afin de mieux réagir aux problèmes sociaux, notamment en santé.

L’espérance de vie ailleurs au Canada était de 80,8, en moyenne, en 2010.

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Meilleures chances de survie en Colombie-Britannique

Les rois de la longévité au Canada en 2011-2012 sont les gens de la Colombie-Britannique, annonce Radio-Canada.

On rapporte une étude du Bureau de l’état civil de la Colombie-Britannique sur le sujet, qui parle d’une légère augmentation de l’espérance de vie moyenne dans la province de l’Ouest, passant de 81,7 ans à 82 ans tout juste.

L’étude propose plusieurs chiffres sur la vie et la mort des citoyens canadiens. On y apprend notamment, et tristement, que le cancer est toujours la cause numéro un de mortalité en Colombie-Britannique, tout comme dans toutes les autres provinces canadiennes.

On note cependant que les taux de mortalité concernant le VIH et le SIDA sont encore en baisse, avec 59 décès en 2011.

La population de la Colombie-Britannique a aussi augmenté, avec un gain de 31 776 citoyens, toujours selon l’étude.

Ces recherches sont effectuées chaque année afin de compiler le plus de statistiques possible sur la mort, les causes de mortalité, la vie ainsi que sa qualité, et les variations de population, afin de mieux réagir aux problèmes sociaux, notamment en santé.

L’espérance de vie ailleurs au Canada était de 80,8, en moyenne, en 2010.