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Chialer serait bon pour votre santé

Voici une étude qui en fera rigoler plus d’un et qui donnera des munitions aux personnes qui aiment bien maugréer, ruminer, chialer, bref, exprimer leur mécontentement.

C’est que selon ce que rapporte topsante.com, exprimer ses émotions négatives et ses humeurs maussades serait excellent pour la santé.

Plus question de dire à ces personnes de cesser ce comportement, hélas! Plus encore qu’un simple truc santé, toujours selon l’étude allemande, ce comportement pourrait même être l’une des raisons qui expliquent la longévité accrue des Italiens et des Espagnols!

Ces peuples sont reconnus pour être plus extravertis, critiques, bref, avec le sang chaud. Le fait qu’ils émettent leurs opinions et émotions à voix haute serait excellent pour l’organisme, qui ne réprime pas de « mauvaise énergie ».

Cette étude vient corroborer plusieurs théories qui prétendent que le secret d’une longue vie en santé passe par la façon de gérer ses émotions, dont le stress.

Une autre étude rapportait même que les gens qui ne mentent pas ont une durée de vie plus grande! Alors, si vous êtes du genre à dire « oui » quand vous voulez dire « non », ou que vous réprimez vos émotions négatives, il serait sûrement temps de vous exprimer!

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La spiritualité oubliée lors des soins palliatifs

Une étude américaine parle d’un problème étonnant en matière de soins palliatifs, celui du manque flagrant de spiritualité dans les soins accordés aux patients en fin de vie.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs bostonnais pensent que la situation pourrait être corrigée et améliorée.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’aspect spirituel ne serait pas une priorité dans les centres de soins palliatifs.

« J’ai été très surpris de constater que ce n’était qu’un problème de formation des employés qui explique ce phénomène », explique Dre Tracy Balboni, une radio-oncologiste de l’institut Dana-Farber de Boston.

Malgré des directives précises qui encouragent pourtant une attention particulière à l’aspect spirituel des gens en fin de vie, l’étude constate que seulement le quart des patients reçoivent ce genre d’attention.

Dre Balboni ajoute : « Il fut un temps où les praticiens et infirmiers (ères) auraient dit que ce n’était pas leur travail, mais les esprits sont maintenant beaucoup plus ouverts, et nous sommes prêts pour ce genre de travail auprès des patients ».

Il faut souligner qu’en cette ère moderne où les tabous ne semblent plus vraiment exister, la foi semble en être devenu un.

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L’Égypte pourrait être la destination la plus abordable en 2013

Des recherches en tourisme concernant les meilleurs rapports qualité/prix pour la prochaine année pointent vers l’Égypte comme destination de prédilection pour 2013.

C’est ce que rapporte le Daily Mail, qui parle de certaines des meilleures destinations touristiques à venir, toujours dans une perspective financière.

C’est l’Égypte qui semble trôner au sommet de ce palmarès, avec un coût moyen de 1358 $ CAN pour un séjour d’une semaine. De plus, ce pays possède certaines des plus belles merveilles de la planète, ce qui ajoute au prestige de la destination.

Si certains sont inquiets de la situation géopolitique qui sévit dans ce pays depuis la crise qui a secoué certains pays arabes il y a un an, et encore en ce moment avec la mise en place d’une nouvelle constitution, il semble que les touristes n’ont rien à craindre.

Outre les coûts moyens abordables, la relativement faible économie de l’Égypte permet à certains pays en forme financièrement d’obtenir beaucoup pour chaque dollar.

De plus, les nombreux forfaits permettent d’accéder à certains des plus beaux hôtels du pays, des trois, quatre et cinq étoiles.

Vraiment, l’Égypte est à surveiller pour les touristes et aventuriers du monde entier en 2013.

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L’Égypte pourrait être la destination la plus abordable en 2013

Des recherches en tourisme concernant les meilleurs rapports qualité/prix pour la prochaine année pointent vers l’Égypte comme destination de prédilection pour 2013.

C’est ce que rapporte le Daily Mail, qui parle de certaines des meilleures destinations touristiques à venir, toujours dans une perspective financière.

C’est l’Égypte qui semble trôner au sommet de ce palmarès, avec un coût moyen de 1358 $ CAN pour un séjour d’une semaine. De plus, ce pays possède certaines des plus belles merveilles de la planète, ce qui ajoute au prestige de la destination.

Si certains sont inquiets de la situation géopolitique qui sévit dans ce pays depuis la crise qui a secoué certains pays arabes il y a un an, et encore en ce moment avec la mise en place d’une nouvelle constitution, il semble que les touristes n’ont rien à craindre.

Outre les coûts moyens abordables, la relativement faible économie de l’Égypte permet à certains pays en forme financièrement d’obtenir beaucoup pour chaque dollar.

De plus, les nombreux forfaits permettent d’accéder à certains des plus beaux hôtels du pays, des trois, quatre et cinq étoiles.

Vraiment, l’Égypte est à surveiller pour les touristes et aventuriers du monde entier en 2013.

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Une étude suggère un nouveau traitement contre le cancer de la vessie

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont établi un lien entre une protéine retrouvée chez certains patients de façon héréditaire et le cancer de la vessie, ce qui pourrait mener à de nouvelles pistes de traitement, selon eux.

La protéine en question se nomme « cellule souche antigène de la prostate » et se retrouve également de façon massive chez les patients atteints du cancer du pancréas et de la prostate, notamment.

Le traitement éventuel auquel les chercheurs font référence est celui effectué par une concentration de traitement sur ces cellules de la tumeur, une façon de faire qui rend les spécialistes forts optimistes.

De tels traitements sont déjà à l’essai pour des cas de cancer de la prostate et du pancréas, et les chercheurs expriment le souhait de voir cette thérapie porter des fruits aussi dans le cas du cancer de la vessie.

Ceci s’inscrit encore dans cette nouvelle philosophie en oncologie, alors que l’on parle beaucoup plus de « cibler les cellules » et de « greffe de cellules » que de chimiothérapie dans les traitements de l’avenir.

La chimiothérapie et la radiothérapie sont là pour rester, mais pourraient grandement bénéficier de l’appui de ces traitements ciblés au niveau des cellules.

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Une protéine dans le sang liée à l’état dépressif

On apprend par l’entremise de www.nlm.nih.gov que des chercheurs viennent d’identifier une protéine spécifique qui pourrait indiquer l’état dépressif, voire mener à la maladie.

Les chercheurs danois qui publient cette étude croient avoir remarqué que les taux de la protéine C réactive dans le sang sont clairement plus élevés chez les gens qui souffrent de dépression que chez les autres.

Il est d’autant plus intéressant d’apprendre cet état de fait que la hausse de C réactive est aussi un symptôme lié aux inflammations ou à certaines infections.

Une grande question demeure : ces taux de protéine C réactive dans le sang sont-ils simplement des indicateurs ou sont-ils aussi en cause dans le développement des troubles dépressifs?

Bien sûr, s’il était prouvé que les humeurs peuvent varier en fonction de ces taux, les chercheurs pourraient éventuellement en arriver à certaines nouvelles formes de traitement.

Pour l’instant, le Dr Borge Gronne, du Copenhagen University Hospital, se limite à confirmer que les gens avec des taux élevés de C réactive sont deux à trois fois plus sujets à la dépression que les autres.

Il précise par contre qu’ils ignorent lequel déclenche quoi, c’est-à-dire quelle action vient en premier.

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Le syndrome métabolique et le cancer

On apprend par l’entremise de e-sante.fr que la façon dont les gens se traitent eux-mêmes est assurément un facteur influent dans les risques de cancer.

On traduit l’ensemble des comportements adoptés par un individu sur sa santé comme « l’hygiène de vie », mais un terme plus scientifique et précis s’attache à ce groupe de comportements : le syndrome métabolique.

Ce dernier est défini comme un ensemble de comportements et de caractéristiques physiques qui en découlent, comme l’obésité, la haute pression et le taux de cholestérol dans le sang, par exemple.

Ce groupe de problèmes physiques est maintenant clairement mis en évidence dans le développement de plusieurs cancers, et les chercheurs italiens en tête de l’étude démontrent son influence sur les risques de développement de la maladie.

Les conclusions sont celles qui découlent de l’analyse de 43 études précédentes sur le sujet, qui regroupaient les données recueillies sur pas moins de 39 000 personnes.

Le syndrome métabolique augmenterait les risques de cancer du foie et colorectal de 43 % et 25 %, respectivement, chez l’homme, alors qu’il augmente de 61 % et 34 % les risques de cancer de l’endomètre et colorectal chez la femme, respectivement.

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Des bactéries qui influencent l’appétit et nos choix

« Avoir faim » est un processus beaucoup plus complexe qu’il n’y parait, et des études récentes démontraient, notamment, que le cerveau peut jouer un rôle important dans la notion d’appétit.

Cette fois, c’est santelog.com qui rapporte une autre étude sur le sujet, qui parle des bactéries gastro-intestinales et de leur influence sur la faim.

On apprend dans ces recherches, publiées dans une édition du Journal of Bacteriology, que ces bactéries jouent non seulement un rôle majeur dans l’organisme, mais qu’elles agissent et réagissent aussi en partenariat avec l’individu pour prendre des décisions comme quand et quoi manger.

En effet, il semble que ces bactéries (et la flore intestinale) ont un comportement de « boucle » avec le cerveau et l’organisme, et réagissent en fonction de ce que l’on mange et selon nos habitudes.

Ce que cela signifie, c’est que les bactéries gastro-intestinales réagissent presque émotionnellement et sont influençables. À l’origine de certains cancers, elles subiraient des changements selon les humeurs de l’individu et enverraient des messages au cerveau, qui lui « répondrait » à son tour.

« Les bactéries sont la reconnaissance et la synthèse des hormones neuroendocriniennes », conclut Victor Norris, de l’Université de Rouen.

Il s’agit d’une découverte qui pourrait changer la perception et l’analyse des spécialistes en matière d’alimentation, d’obésité et de certaines maladies graves.

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La malbouffe serait plus dévastatrice que la faim dans le monde

C’est tout un constat que rapporte topsante.com, qui devrait franchement nous porter à réfléchir sur nos habitudes alimentaires en tant que Nord-Américains surgâtés.

Une étude internationale dévoile des statistiques étonnantes indiquant que la malbouffe et les comportements alimentaires des pays développés sont à l’origine de plus de décès que la malnutrition.

Véritable paradoxe alimentaire, cette situation est d’autant plus inacceptable qu’il est facile de penser que les deux situations pourraient sans doute s’améliorer si on « coupait dans le gras » en donnant nos surplus alimentaires aux pays affamés.

Selon l’étude, intitulée Global Burden of Disease, c’est plus de trois millions de décès dans le monde en 2012 qui sont liés à de mauvaises habitudes alimentaires. La faim, elle, est en cause dans près d’un million de morts.

Trois fois plus de décès pour trois fois plus de bouffe, il y a de quoi faire un sérieux bilan social.

L’étude compilait aussi les taux de mortalité impliquant d’autres facteurs, comme le tabagisme (1re place du lugubre décompte) et le cancer (qui est en progression de 38 % par rapport à 2011).

Les maladies et problèmes cardiovasculaires sont en baisse, avec un taux d’un décès sur quatre mondialement, contrairement à un sur cinq il y a 20 ans.

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Le soya n’augmente pas la qualité de vie lors de la ménopause

Mauvaise nouvelle pour les femmes ménopausées du monde entier : si l’on en croit une étude rapportée par www.nlm.nih.gov, le soya n’aurait aucun impact réel sur la qualité de vie de ces femmes.

C’est ce que concluent les chercheurs américains en tête de l’étude, qui ont analysé les effets des suppléments de soya sur la qualité de vie durant la ménopause, sur une période de deux ans.

Cependant, les chercheurs croient qu’il est tout de même possible que le soya possède certains avantages pour les femmes ménopausées.

Paula Amato, de l’Oregon Health and Science University, explique : « Malheureusement, si vous êtes comme les patientes de l’étude, des suppléments de soya risquent fort de ne rien changer à votre qualité de vie durant la ménopause. Nous ne pouvons pas vraiment recommander cette méthode à nos patientes ».

Cette étude vient confirmer les théories les plus récentes sur le sujet. La prise de suppléments de soya pour calmer les bouffées de chaleur fait également l’objet d’une controverse, plusieurs spécialistes affirmant qu’il ne s’agit pas d’un traitement efficace réel.

Il est cependant possible qu’il existe une différence de résultats si l’on consomme du soya par les aliments plutôt que par suppléments, croient certains spécialistes, dont Paula Amato.