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Bruno Landry partage son secret du travail d’équipe

Fort de son expérience, notamment avec le groupe Rock et Belles Oreilles, Bruno Landry offre maintenant aux gens de partager son expérience afin de mieux travailler en équipe. Comme il le dit si bien, on ne donne aucune formation pour apprendre à travailler avec d’autres personnes et pourtant, on sera sans doute appelé à le faire dans notre vie, du moins pour une grande partie des gens.

« Moi, j’ai surtout appris par essais et erreurs. Au début, quand les choses vont moins bien, ce n’est pas compliqué. Mais quand ça commence à bien aller, que ça prend de l’expansion et que le succès est là, ça change la dynamique de groupe. Il faut donc définir les objectifs communs. Il faut que tout le monde aille dans le même sens, mais il faut aussi apprendre à gérer les différentes personnalités. On ne réagit pas tous de la même façon au succès », confie Bruno Landry à BUM Interactif Groupe.

Ce qu’il retient de son expérience de groupe est qu’il aime être entouré de gens forts. « Pas des suiveux, car on n’avance pas quand les autres sont toujours d’accord. Mais il ne faut pas non plus que ce soit toujours “non”. Il faut un équilibre, savoir se dire les vraies choses, sans brusquer. Des conflits, il y en aura toujours, il faut apprendre à les gérer et parfois même à piler sur son orgueil. Il faut juste trouver un équilibre. »

Lorsqu’il a commencé ses conférences, Bruno Landry parlait surtout de persévérance, c’était plus général également, mais avec le temps, le travail d’équipe revenait souvent dans les questions, et il a constaté que son expérience pouvait aider les autres, et ce, peu importe leur domaine.

La franchise demeure une des clés principales de la réussite d’un travail d’équipe, mais il faut savoir le faire avec délicatesse également.

Pour le moment, l’humoriste n’a pas l’intention de présenter un one-man-show, il fait quelques apparitions dans des événements, continue de faire des voix, notamment pour l’émission Rire et délire, et fait la mise en scène du nouveau spectacle de l’imitateur humoriste Martin Dubé qui, selon les dires de Bruno, « va nous jeter à terre ».

Pour en savoir plus sur les conférences de Bruno Landry, cliquez ici.

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Winston McQuade : Mon cancer a été un grand choc

En 2003, Winston McQuade a vécu un dur coup lorsque son médecin lui a annoncé qu’il avait un cancer de la prostate. Double choc lorsque la maladie est réapparue deux ans plus tard. Heureusement, il touche du bois depuis; il n’y a plus de trace du cancer. Toutefois, il a choisi de se lier à la fondation Procure pour donner des conférences et ainsi redonner un peu d’espoir aux hommes qui ont reçu un tel diagnostic, mais aussi aux conjointes de ceux-ci.

« Quand j’ai eu le diagnostic, j’ai eu peur. C’était comme si j’étais devenu incapable de parler et de penser pendant quelques jours. Les pires scénarios se présentaient. Le médecin m’a dit plein de choses que je n’ai pas entendues. Ma compagne était avec moi, on est sorti la mine basse et on a pleuré. C’était la fin du monde. Deux jours plus tard, mon médecin m’a rappelé pour me revoir et discuter de la suite. J’ai aussi appelé mon ami Jean Pagé, qui avait aussi vécu ce type de cancer. Il a désamorcé la chose, et c’est là également qu’il m’a parlé de Procure. On m’a enlevé la prostate, mais le cancer avait un peu débordé, donc en 2005, la maladie est revenue. Ça a été un autre dur coup, car je croyais avoir réglé le problème. Pendant un mois, j’ai eu de la radiothérapie tous les jours. J’avais encore peur, mais en même temps, j’ai rencontré des gens chez Procure qui ont ouvert la lumière de l’espoir. Ce n’était pas la fin du monde. J’étais encore jeune », raconte Winston McQuade à BUM Interactif Groupe.

Ainsi, après avoir vécu cette épreuve, il a voulu partager son expérience et a créé une conférence remplie d’espoir, mais où il aborde aussi la peur. « On ne meurt pas vraiment du cancer de la prostate, à moins d’être diagnostiqué trop tard ou d’être trop vieux. On préconise la prévention. Dès la quarantaine, les hommes devraient passer un test de sang d’abord. Dans ma conférence je m’adresse beaucoup aux femmes, car elles sont affectées aussi. Je leur dis d’inciter leur conjoint à consulter, car ils ne le feront pas. Les gars ont souvent peur de deux choses avec ce cancer, l’incontinence et la dysfonction érectile. Cela prend plusieurs mois avant de se rétablir, mais il y a des solutions. »

Comme conférencier, Winston McQuade offre aussi de parler de retraite anticipée, mais surtout de ne pas avoir de regret et d’oser prendre les décisions qui feront que nous aimerons notre vie, mais avant tout, qu’on s’aimera nous-mêmes. « J’ai vu mon père mourir en colère, amer, insatisfait de la vie qu’il avait eue. Je l’ai accompagné dans la mort, il avait éloigné tout le monde. J’étais seul avec lui. Je me suis dit que je n’irais jamais là. »

Après avoir pris une pleine préretraite de Radio-Canada, il s’est consacré à ses premiers amours, les arts visuels, surtout la peinture. Si aujourd’hui il fait aussi partie de l’équipe de l’émission Alors on jase, il aborde le métier différemment, sans pression et avec un immense plaisir.

Dès aujourd’hui, il est également le porte-parole des Concerts populaires de Montréal.

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Les multifacettes de Winston McQuade

Dès demain (27 juin) et jusqu’au 1er août, Winston McQuade vous invite à découvrir les Concerts populaires de Montréal. Le public aura notamment le plaisir d’entendre des solistes réputés tels que Lyne Fortin, Karine Boucher, Marc Hervieux, Gino Quilico et Étienne Dupuis.

« La musique symphonique a toujours fait partie de ma vie. Ma mère raconte qu’en couche, j’étais assis devant la radio et je “dirigeais” l’orchestre. Ma mère en écoutait beaucoup. Moi, je suis de la génération hippie, alors plus tard, on écoutait du rock, mais dans l’intimité, j’avais toujours de la musique symphonique. Puis, j’ai passé au moins 30 ans à Radio-Canada, où j’ai pu couvrir de nombreux spectacles. Plus récemment, il y a eu quelqu’un dans ma vie, une musicienne, violoniste, et je me suis beaucoup plus rapproché de ce milieu. »

« On m’a demandé d’être le porte-parole des Concerts populaires, et c’était pour moi comme mettre la main dans un gant. C’est très grand public, et ça rejoint ce que j’ai toujours fait, soit de rendre la musique symphonique accessible. C’est pour toutes les générations », mentionne Winston McQuade à BUM Interactif Groupe.

Il se dit très heureux de voir que de plus en plus de jeunes assistent à des concerts de musique symphonique ou d’opéra, car cela prouve que la santé du milieu est bonne, et qu’ils sont surtout sur la bonne voie. Cet amour pour la musique semble être de famille, car sa petite-fille de 19 ans étudie en opéra au Conservatoire. Le grand-père n’en est pas peu fier!

Malgré son amour pour la musique, il n’avait malheureusement pas le talent d’être musicien. Pour lui, son mode d’expression était plutôt la peinture et la sculpture, mais dans les dernières années, il s’est plus concentré sur les toiles. Il prépare d’ailleurs une exposition et une rétrospective pour 2015.

Cet automne, Winston McQuade retrouvera l’équipe d’Alors on jase pour une deuxième année.

Pour en savoir plus sur les Concerts populaires, cliquez ici.

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Massif de Charlevoix : vers un premier Club Med au Canada?

On apprend, par voie de communiqué, que Le Massif de Charlevoix pourrait s’associer à Club Med pour la création d’un centre qui deviendrait le tout premier Club Med au Canada.

C’est ce que confirmait récemment le président du conseil d’administration du Groupe Le Massif, Daniel Gauthier, lors de la conférence Unir nos forces pour favoriser le développement touristique présentée à la Chambre de commerce et d’industrie de Québec

Il a également profité de l’occasion pour remercier les partenaires du groupe qui ont permis la création du Massif de Charlevoix, dont il est très fier.

Il confirme aussi qu’une lettre d’expression d’intérêt mutuel a été signée entre Club Med et Groupe Le Massif, ce qui dépasse le cadre de la simple rumeur. L’entente s’inscrirait aussi parfaitement dans la vision d’avenir de la compagnie, qui souhaite voir le Massif de Charlevoix devenir un attrait touristique d’envergure internationale, ouvert 12 mois par année.

Si la collaboration se concrétisait, le Massif pourrait voir apparaitre un tout nouvel hôtel de 300 chambres dès 2015.

Par ailleurs, Club Medaffirme qu’il désire créer une série de ces fameux centres de vacances au Canada, afin de satisfaire les désirs des skieurs et de ceux qui préfèrent la neige au soleil des plages.

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Le retour des Rendez-Vous de la BD à la bibliothèque Gabrielle-Roy

C’est ce mercredi (14 novembre) que débutent les Rendez-Vous de la BD, présentés cette année à la bibliothèque Gabrielle-Roy de Québec.

Les amoureux de bandes dessinées ou simples curieux sont donc conviés au deuxième étage de la célèbre bibliothèque, à la salle Gérard-Martin, pour une célébration de cet art et de ses artisans.

Si vous ratez celle d’aujourd’hui, pas de panique! Les Rendez-Vous de la BD sont présentés chaque mercredi jusqu’au 5 décembre. Un thème différent est abordé chaque semaine.

Au programme : ateliers, découvertes, rencontres et commémorations. Bref, des hommages à la bande dessinée, des plus connues aux plus marginales, ainsi qu’à ses créateurs, vivants ou disparus.

Venez rencontrer Jean-Claude Mézières et Michel Giguère, qui discuteront avec les gens présents de la passion de la BD. Michel Giguère assure par ailleurs l’animation de l’événement, selon www.quoifaireaquebec.com.

L’entrée est gratuite pour tous, et l’événement est présenté par le Réseau des bibliothèques du Québec.

Cette semaine, découvrez les œuvres et l’histoire d’André Franquin et de Jean Giraud, deux grands disparus de l’industrie de la bande dessinée, qui ont marqué l’histoire de cet art illustré.

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Un salon pour célibataires à Montréal en novembre

Ah, vivre seul! S’il est un style de vie décrié par plusieurs qui en sont incapables, beaucoup d’autres font le choix (volontaire ou non) d’être célibataires pour une certaine période de temps.

Ces gens auront maintenant leur propre salon, un événement qui se tiendra dans la métropole du 23 au 25 novembre prochain.

C’est à la Place Bonaventure que ce tiendra le Salon Vivre en Solo, un événement qui fait honneur aux célibataires de partout et qui veut leur permettre de célébrer leur style de vie tout en apprenant davantage.

L’organisation parle d’une source d’inspiration et de ressources pour les gens qui s’y rendront, alors que plusieurs kiosques, cours, ateliers et conférences seront présentés. Du nombre, des ateliers de mode et de soins esthétiques, de nutrition et santé, de regroupement et développement personnel, mais aussi en finance et en emploi.

Des services de transport sont organisés pour les gens qui aimeraient visiter le Salon. Des départs sont prévus de Québec, Ottawa et Sherbrooke. D’autres villes peuvent également en faire la demande sur le site web du Salon, au www.vivreensolo.com.

Le coût d’entrée est de 20 $ par personne pour une journée, et de 30 $ pour toute la durée de l’événement.

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Québec Kerouac 2012 – Du 21 au 25 novembre

Les amateurs de littérature ou de Jack Kerouac sont conviés dans la Vieille Capitale en novembre! C’est que la ville accueille l’événement Québec Kerouac 2012, du 21 au 25, qui souligne le 90e anniversaire de naissance du célèbre auteur de On The Road.

De plus, cette année marque également le 25e anniversaire de la Rencontre internationale Jack Kerouac, un événement qui avait aussi eu lieu dans la capitale provinciale, en 1987.

www.quebecregion.com décrit Québec Kerouac 2012 comme un événement « multidisciplinaire », alors qu’artistes et conférenciers viendront échanger avec les nombreuses personnes attendues sur place, dont le légendaire chanteur de jazz américain Mark Murphy.

Ces ateliers, activités et conférences se tiendront un peu partout dans la ville, dont au Cabaret du Capitole, au Largo Resto-Club, à la salle Méduse (danse) et au Musée National des Beaux-Arts du Québec.

Québec Kerouac 2012 est présenté en marge du Festival de Jazz de Québec, qui propose une foule d’activités.

Pour obtenir des renseignements sur cet événement, il est possible de contacter l’organisation au 418 977-9455 ou en visitant le site internet.

À noter également que On The Road a été porté à l’écran, avec Kristen Stewart (Twilight) dans l’un des rôles principaux.

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Festival du polar à Québec du 25 au 27 octobre

Les amateurs de romans policiers sont conviés dans la Vieille Capitale à partir de ce soir (25 octobre) pour un festival qui réunit des auteurs de partout, annonce www.quoifaireaquebec.com.

Au programme, des rencontres, des conférences, des lectures, des ateliers et des panels, le tout en compagnie de certains des auteurs les plus prisés du genre. Entre autres, on attend la présence de Patrick Senécal, Johanne Seymour, Martin Michaud et Geneviève Lefebvre, pour ne nommer que ceux-là.

Fait intéressant, les activités et ateliers seront offerts dans les deux langues officielles du pays, soit en français ou en anglais.

Le prix d’entrée est de 20 $ en admission générale et de 15 $ pour les étudiants. Il est aussi possible de se procurer un passeport qui donne accès aux huit événements présentés lors de ce festival.

Cet événement, qui rend hommage aux contes policiers en tout genre, se poursuit jusqu’au 27 octobre au Centre Morrin de Québec.

Pour obtenir plus d’informations, il suffit de consulter le www.quebecrime.com ou de contacter l’organisation au (418) 694-9147.

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Un rôle sur mesure pour Jacynthe René

« Je vais avoir un beau, très gros rôle. C’est vraiment un beau projet avec un producteur, un réalisateur et un auteur géniaux », a expliqué Jacynthe René à BUM Interactif.

Ce serait la première fois que la comédienne travaillerait avec ce réalisateur et cet auteur, dont elle ne peut dévoiler les noms. Cependant, elle dit les avoir déjà rencontrés.

« Ils m’avaient approchée à une autre époque, pour une série que je n’avais pas pu faire, et là, je retrouve le réalisateur et l’auteur », explique-t-elle.

En ce moment, l’équipe derrière la série est à l’étape de la présentation du projet.

Son dernier rôle au cinéma remonte à La ligne brisée, sorti en 2008, tandis que son dernier projet à la télévision date d’Au nom de la loi, qui a pris fin en 2005.

Depuis, l’actrice de 38 ans a donné naissance à un fils, Louis, et a animé l’émission Par ici la sortie sur la chaîne Mlle.

Rappelons que l’actrice a lancé 3 DVD de danse et a écrit un livre intitulé Respirer le bonheur. Elle ne compte pas, toutefois, écrire de nouveau prochainement.

« On me le demande, mais je ne suis pas rendue là », dit-elle. Par contre, elle donnera des conférences.

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Cancers infantiles : il y a du progrès

Selon la Dre Dominique Valteau-Couanet, chef du département de cancérologie de l’Enfant et de l’Adolescent à l’Institut Gustave Roussy-Villejuif, cette diminution de mortalité importante, remarquée depuis le début des années 70, est notamment due à la prise en charge efficace et souvent hâtive des enfants porteurs de cancer.
 
Le santelog.com rapporte que Valteau-Couanet a affirmé lors d’une conférence : « Ces améliorations sont liées à la prise en charge des enfants dans des centres spécialisés et au travail coopératif des oncopédiatres regroupés en sociétés savantes spécifiques nationales, la SFOP puis la SFCE, et internationales, la SIOP ».
 
La spécialiste, comme plusieurs autres, a participé à une première conférence nationale sur les cancers et leucémies des enfants, organisée par le ministre de la Santé et par l’Association Enfants et Santé à Paris, le 11 février dernier. Celle-ci a servi à faire le point sur les progrès effectués dans la prise en charge des enfants atteints de cancers.
 
Selon ce qui a été révélé, l’élaboration de protocoles prospectifs multicentriques a permis de mieux progresser en ce qui concerne la prise en charge, le contrôle et la prévention des complications aiguës, comme la mise en place d’un protocole en 1981 qui a permis d’augmenter la guérison du lymphome de Burkitt de 35 à 75 %.
Pour l’Association Enfant et Santé, « les clés du progrès sont l’enthousiasme et l’expertise des médecins, leur coopération à l’échelon national et international, le fort soutien académique et le soutien financier et humain des associations ».