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Un logiciel 3D de Google favorise le bien-être d’enfants autistes

Bien des parents d’enfants autistes vous confirmeront que leur bambin est exclu de son environnement et a peu d’intérêt pour des passe-temps ou pour un domaine d’apprentissage, mais voilà qu’une solution semble avoir été découverte par des chercheurs de l’Université de l’Utah.

Google SketchUp, qui est un logiciel de modélisation 3D, d’animation et de cartographie orienté vers l’architecture, se caractérise par des outils simples (rotation, extrusion, déplacement, etc.). Cela en fait un logiciel de 3D très différent des modeleurs 3D classiques.

Outil principal utilisé pour une nouvelle étude, le logiciel a fait place au renforcement positif des aptitudes, des relations interpersonnelles et de la confiance en soi chez les enfants autistes. Tout cela grâce à la pensée visuo-spatiale, les ordinateurs et autres médias électroniques.

Pendant plus d’un an, plusieurs enfants ont participé à des ateliers de Spectrum projet de Google, une initiative visant à enseigner des compétences professionnelles aux enfants atteints d’autisme. Après quelques semaines, les parents de ces enfants ont remarqué une grosse différence : une grande amélioration du comportement de leur enfant.

L’étude, qui se concentre sur les effets des ateliers sur les élèves participants, ainsi que sur plusieurs générations au sein des familles, a permis de redonner espoir aux parents et grands-parents qui croyaient que c’était peine perdue. Il a permis aux enfants autistes de découvrir quelque chose d’inconnu en eux : une passion, un champ d’intérêt. Cette passion s’est transformée en réel sujet quotidien de conversation à l’école et à la maison, ce qui a favorisé les relations interpersonnelles.

Le programme a été présenté lors de conférences nationales, et une trousse pédagogique gratuite sera développée afin que les enseignants puissent commencer un programme similaire dans leurs propres classes.

L’étude est publiée dans le numéro de décembre du Family & Consumer Sciences Research Journal.

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7 trucs pour élever un enfant résistant

Au terrain de jeu, il vous faudra peu de temps avant d’entendre une multitude de : « Bravo! Tu as fait la plus belle glissade au monde », « Ne va pas trop loin » ou encore « Fais attention, c’est dangereux ».

Il est clair que la génération de parents actuelle encourage plus qu’à son tour l’estime de soi et est quelque peu trop protectrice.

L’éducatrice et chroniqueuse Alissa Sklar remarque que la plupart des enfants ne sont pas prêts à faire face à la réalité et s’écroulent au moindre obstacle, difficulté ou échec.

Selon elle, ces enfants n’ont pas évolué dans la « douleur nécessaire ». « Ne criez pas de faire attention lorsqu’il court. Laissez-le faire. Il faut qu’il tombe pour connaître la douleur des genoux blessés. Ainsi, il fera plus attention la prochaine fois ».

L’idée est de continuer à encourager nos enfants et de les aimer, mais de les préparer à être confiants et compétents pour l’avenir. Comment y arriver?

Développez ses compétences
Aidez-le à trouver ce dans quoi il sentira qu’il est bon. Cela peut se traduire par laisser le petit s’habiller seul ou passer du temps à faire une activité qu’il aime vraiment et qu’il maitrise bien.
 
Faites-lui confiance
Donnez-lui des responsabilités et de l’autonomie afin qu’il vous prouve ses réelles capacités. (Emmener sa petite sœur au terrain de jeu, le laisser régler un conflit avec un ami sans être à ses côtés, etc.)
 
Entourez-le de bonnes personnes
Tissez des liens avec les membres de la famille, les amis, les collègues et le voisinage propices à avoir une belle relation et une bonne influence pour votre enfant. Il aura ainsi plusieurs modèles adultes.
 
Développez son caractère et ses valeurs
Apprenez-lui le bien et le mal. Servez-vous de films et de livres d’histoires pour lui faire comprendre différentes leçons.
 
Altruisme
Montrez-lui que ces actions peuvent donner le bien-être à d’autres. Développez son besoin d’altruisme en lui faisant participer à des activités bénévoles ou autres.
 
Servez-lui d’exemple
Les enfants qui ont appris de leurs parents la résolution des problèmes à la maison et l’importance de ne pas être stressé pour un rien seront mieux armés.
 
Apprenez-lui à se contrôler et à prendre des décisions
C’est important de lui enseigner, car ce n’est pas inné chez l’enfant. Lorsqu’il est fâché, enseignez-lui à prendre de grandes respirations. Dites-lui qu’il a une heure au total pour jouer aux jeux vidéo et qu’il doit lui-même choisir comment répartir ces minutes dans sa journée, etc.
 
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Les enfants adoptés sont plus à risque de problèmes comportementaux

Une récente recherche suggère que les enfants d’adoption, comparativement à ceux qui vivent avec leurs parents biologiques, sont plus enclins à développer des troubles comportementaux tels que l’hyperactivité, le manque de confiance en soi et des difficultés d’apprentissage scolaire.

Néanmoins, selon Science Daily, cette étude, publiée dans le Spanish Journal of Psychology, met l’accent sur ces différences d’adaptation dans une région spécifique de l’Europe. La recherche a été réalisée par des chercheurs du Département UAB de la Clinique de santé psychologique en Espagne et les résultats sont basés sur un échantillon de 52 enfants.
 
Les candidats d’adoption, âgés de 6 à 11 ans, provenaient de différents pays, notamment la Chine, le Népal, la Bulgarie, la Russie, l’Ukraine, la Colombie, le Guatemala, Haïti, le Pérou et l’Éthiopie. D’autre part, un groupe supplémentaire de 40 enfants mésadaptés étaient aussi comparés.
 
Bien que dans la majorité des cas, tant les enfants biologiques que ceux d’adoption réagissent de façon similaire aux contraintes d’adaptation sociale, les garçons adoptés semblent avoir plus de difficulté. Ces troubles sont d’autant plus fréquents lorsqu’un enfant est adopté après l’âge de 3 ans.
 
D’autre part, les résultats affirment que ceux qui développent des troubles comportementaux proviennent principalement de l’Europe de l’Est, soit de Bulgarie, de Russie et d’Ukraine dans le cas présent. Les facteurs évalués considéraient également le contexte familial et socio-économique de ces régions.
 
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Une enfance heureuse mènerait plus souvent vers un divorce à l’âge adulte

Une surprenante étude dévoile que les gens qui ont eu une enfance heureuse seraient plus enclins à divorcer une fois adultes, rapporte le Journal of Positive Psychology.

Ce sont les résultats d’une longue étude de l’Université de Cambridge qui a suivi des personnes nées en 1946. Dans leur jeunesse, leurs professeurs avaient évalué leur bonheur, leur convivialité et leur énergie. De plus, on avait relevé les problèmes d’agitation, de désobéissance et d’anxiété.

Des décennies plus tard, des renseignements sur la vie de ces personnes ont de nouveau été recueillis.

On constate que les jeunes ayant eu une éducation stable et heureuse auraient plus confiance en eux et seraient plus prêts à quitter une union qui ne répond pas à leurs besoins.

« Un facteur serait peut-être que les enfants positifs ont une meilleure estime d’eux-mêmes que les autres et sont donc plus enclins à laisser un mariage qui ne leur convient pas », explique la professeure Felicia Huppert.

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Un enfant a besoin d’une interaction pour apprendre

Nous pouvons lire les résultats d’une récente recherche sur ce sujet dans l’édition de septembre de Developmental Psychology.

Des chercheurs de l’Université Queen, en Ontario, ont fait passer un test à des adultes et à des enfants, lesquels étaient âgés de quatre et sept ans.

Les participants se faisaient poser une question et avaient ensuite le choix, à l’écran d’un ordinateur, entre deux personnes; l’une donnait la bonne réponse, l’autre donnait la mauvaise.

Ensuite, on leur demandait de ne choisir qu’une seule personne pour donner la bonne réponse à une deuxième question.

Il en est ressorti que les adultes et les enfants de sept ans demandaient toujours à la personne ayant fourni la bonne réponse de la première question.

Les enfants de quatre ans, quant à eux, ont réagi à cette demande en fonction de la manière dont la question numéro deux était posée.

Il semble donc que les plus jeunes participants avaient besoin, en général, de plus d’un échange pour se tourner vers quelqu’un en particulier afin de recueillir de l’information.

Cette étude, qui comprenait trois expérimentations différentes, se concentrait sur l’influence d’une seule phrase quant à la façon dont les enfants recherchent de nouvelles connaissances.

Cela a finalement démontré que les enfants de sept ans font confiance aux personnes détenant de la nouvelle matière et qu’ils s’en souviennent, même s’ils n’ont interagi avec elles qu’une seule fois.

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Votre enfant croit tout ce que vous lui dites

Une récente étude publiée dans Psychological Science fait état d’un test où de jeunes enfants ont cru au mensonge d’un adulte, et ce, devant l’évidence et à huit reprises.

Des chercheurs de l’Université de la Virginie, aux États-Unis, ont pu démontrer que des enfants de trois ans avaient plus confiance en des renseignements énoncés qu’à d’autres, transmis sans paroles.

Pour ce faire, un adulte devait montrer à un enfant une tasse rouge et une tasse jaune. Un autocollant était placé sous la tasse rouge. On leur disait que s’ils trouvaient l’autocollant, ils le gagnaient.

Certains enfants se sont fait dire que l’autocollant était en fait sous la tasse jaune, d’autres se le sont fait montrer du doigt uniquement. L’expérience a été répétée huit fois, avec des tasses de différentes couleurs.

Or, les enfants à qui l’on a montré sans dire un mot la mauvaise tasse ont appris à ne pas croire cette information, tandis que ceux à qui on l’avait dit persistaient à croire qu’ils trouveraient l’autocollant.

La différence a ici été marquante, car sur les 16 enfants, 9 d’entre eux n’ont pas choisi la bonne tasse à 8 reprises.

À la fin du test, tous ces enfants ont mérité des autocollants, qu’ils aient choisi les bonnes tasses ou non.

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Potins

Megan Fox a redonné confiance à Brian Austin Green

Marié à Megan Fox depuis juin dernier, Brian Austin Green affirme qu’elle est une excellente belle-mère pour son fils de huit ans, Kassius, né de son union avec Vanessa Marcil.
 
« Megan est ma meilleure moitié dans la parentalité. Elle l’a tout simplement. C’est instinctif pour elle », confiait l’acteur au magazine Details. Fox s’était déjà décrite comme étant très maternelle dans une entrevue précédente.
 
Kassius a d’ailleurs participé à leur cérémonie de mariage secrète à Hawaï au début de l’été.
 
Le couple a commencé à se fréquenter il y a six ans, alors que l’actrice n’avait que 18 ans et Green 31 ans.
 
« Quand nous nous sommes rencontrés, je venais de me séparer de la maman de Kash et une relation était la dernière chose que j’avais à l’esprit. Ce n’était pas une chose que je croyais qui allait devenir sérieuse. Mais elle a fait ressortir des parties de moi que j’avais perdues dans ma dernière relation. J’avais terminé 90210 et je ne voulais plus sortir de la maison. J’avais peur de la presse et de l’opinion des gens à mon égard. Megan a beaucoup contribué à renforcer ma confiance », confie Green.
 
Il mentionne que déjà à 18 ans, Megan Fox était mature et très responsable.
 
Le couple a eu une brève séparation durant leurs six ans d’amour, mais aucun d’eux n’a fréquenté une autre personne.
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Les barbus inspirent la confiance

Une récente étude inusitée, publiée dans le Journal of Marketing Communications et rapportée par la revue The Chronicle of Higher Education, mentionne que les hommes barbus inspireraient plus la confiance.
 
Toutefois, les hommes obtiennent cette confiance si leur barbe est propre et d’une longueur moyenne. L’étude en question constate que les hommes qui étaient parfaitement rasés avaient plus de mal à vendre des produits comme des téléphones cellulaires ou du dentifrice. Par contre, les barbus avaient quant à eux plus de difficulté à vendre des sous-vêtements.
 
Les auteurs de l’étude croient que les résultats de cette recherche pourraient mener les agences à revoir certaines publicités ou encore la façon de voir les choses dans certains domaines où l’image doit inspirer confiance aux gens, par exemple pour les politiciens.
 
« La présence d’une barbe sur le visage de candidats peut augmenter leur charisme, la perception de leur fiabilité, et surtout de leur expertise, aux yeux des électeurs, ce qui peut avoir des effets positifs sur les intentions de vote », expliquent les auteurs dans un communiqué de presse.