C’est en stories Instagram, mardi, que Cintia d’OD Chez nous et d’OD Espagnea annoncé qu’elle quittait le Québec pour une durée indéterminée, afin de rejoindre sa famille en Amérique du Sud en vue du possible reconfinement, dont les détails seront partagés lors du point de presse du premier ministre François Legault à 17h ce mercredi.
Consciente que toute la province se retrouve dans le même bateau et que les voyages ne sont pas conseillés, Cintia a tout de même tenu à expliquer son choix, alors que celle-ci a l’habitude de visiter sa famille chaque année. « Je suis toute seule avec Léo ici et ça me rend vraiment en panique. Ma situation psychologique, ça va juste pas bien pis j’ai besoin juste d’être auprès de ma famille », a-t-elle souligné, en larmes, mentionnant qu’elle ne veut pas voyager pour le plaisir.
Mercredi matin, Cintia a finalement remercié sa communauté pour leur compréhension envers son choix et sa situation, indiquant ne pas avoir reçu de messages haineux concernant sa décision de prendre l’avion.
La belle Québéco-Brésilienne a également partagé de touchants souvenirs de la première rencontre de bébé Léo avec sa famille en 2016, trois mois après la naissance du petit garçon.
On souhaite de douces retrouvailles avec leurs proches, de la santé et du repos à Cintia et Léo!
Dans la nuit de samedi à dimanche, un gros party d’étudiants provenant de plusieurs universités d’un peu partout comme Sherbrooke et Toronto s’est terminé grâce à la police. Ce party qui se tenait dans un AirBnb loué à Chelsea en Outaouais a été reporté par un voisin qui entendait beaucoup de bruit et qui a donc cru qu’un rassemblement s’y trouvait.
L’appel du voisin a été fait vers 1h40, les agents sont arrivés au lieu du rassemblement vers 2h et le dernier véhicule a quitté les lieux vers 4h25. Tout s’est déroulé dans le respect et les étudiants ont pour la plupart collaboré comme il se doit avec la police. Huit agents se sont rendus sur place pour y découvrir plus de 80 jeunes pour la plupart entre 20 et 25 ans qui faisaient le party sans masque pour la grande majorité.
Le sergent Martin Fournal a indiqué à TVA Nouvelles que certaines personnes ont rapporté avoir remarqué que des jeunes ont pris la fuite dans le bois. Les agents ont quand même réussi à donner 83 amendes de 1000$, pour un total de 83 000$. Ils ont ensuite fait évacuer le lieu, un étudiant à la fois, soit dans leurs voitures ou à l’aide de taxi, puisque certains n’étaient pas en mesure de conduire.
On ne le répétera jamais assez, il faut faire attention à ne pas se rassembler ces temps-ci. Nous souhaitons que cette période de confinement finisse rapidement, et pour cela il faut rester le plus confiné possible pour ne pas propager le virus.
Faites attention à vous, et surtout, pas de party!
Le sportif et médecin Laurent Duvernay-Tardif invite les Québécois à se serrer les coudes, alors que trois régions entrent dans un confinement sélectif.
Les régions de Montréal, de la Capitale-Nationale (Québec) et de Chaudière-Appalaches passent au code rouge.
Pour plus de 5 millions de personnes, la vie marque un arrêt de 28 jours. La situation de plus en plus catastrophique de la pandémie dans ces régions pousse la Sécurité publique et le Gouvernement du Québec à agir.
Devant cette situation difficile, Laurent Duvernay-Tardif ne reste pas les bras croisés.
Le garde des Chiefs de Kansas City, champion du Super Bowl, passe à l’action.
«Aujourd’hui, plus que jamais depuis le début de cette crise, nous avons l’occasion de faire la différence. En faisant ces sacrifices individuels, nous avons le pouvoir de changer le cours de cette pandémie et de protéger nos communautés», écrit le grand gaillard.
Ce texte de l’athlète coiffe une vidéo produite par la NFL intitulée On The Line. On y voit LDT entrer au travail le 30 avril denier dans un CHSLD, quelques semaines seulement après avoir remporté le Super Bowl.
Le 22 mai, ayant été en contact avec deux membres du personnel soignant atteint de la COVID-19, le numéro 76 passe un test de dépistage qui s’avèrera négatif.
Le 31 juillet, Laurent Duvernay-Tardif devient le tout premier joueur de la NFL a annoncer qu’il se retire de la saison 2020. Une décision saluée par son coach Andy Reed et par son coéquipier Patrick Mahomes.
«J’ai vu des gens mourir, je ne vois pas comment je peux retourner jouer au football en ce moment», explique à ce moment l’athlète en entrevue.
Le sportif et médecin Laurent Duvernay-Tardif invite les Québécois à se serrer les coudes, alors que trois régions entreront dans un confinement sélectif à compter de minuit ce soir.
Les régions de Montréal, de la Capitale-Nationale (Québec) et de Chaudière-Appalaches passeront au code rouge dans les prochaines heures.
Pour plus de 5 millions de personnes, la vie marquera un arrêt de 28 jours à compter de minuit. La situation de plus en plus catastrophique de la pandémie dans ces régions pousse la Sécurité publique et le Gouvernement du Québec à agir.
Devant cette situation difficile, Laurent Duvernay-Tardif ne reste pas les bras croisés.
Le garde des Chiefs de Kansas City, champion du Super Bowl, passe à l’action.
«Aujourd’hui, plus que jamais depuis le début de cette crise, nous avons l’occasion de faire la différence. En faisant ces sacrifices individuels, nous avons le pouvoir de changer le cours de cette pandémie et de protéger nos communautés», écrit le grand gaillard.
Ce texte de l’athlète coiffe une vidéo produite par la NFL intitulée On The Line. On y voit LDT entrer au travail le 30 avril denier dans un CHSLD, quelques semaines seulement après avoir remporté le Super Bowl.
Le 22 mai, ayant été en contact avec deux membres du personnel soignant atteint de la COVID-19, le numéro 76 passe un test de dépistage qui s’avèrera négatif.
Le 31 juillet, Laurent Duvernay-Tardif devient le tout premier joueur de la NFL a annoncer qu’il se retire de la saison 2020. Une décision saluée par son coach Andy Reed et par son coéquipier Patrick Mahomes.
«J’ai vu des gens mourir, je ne vois pas comment je peux retourner jouer au football en ce moment», explique à ce moment l’athlète en entrevue.
Cet article est probablement comme mille autres articles qui ont été écrits. Je ne vais pas révolutionner le monde de la maternité aujourd’hui. Sauf que chaque fois que je lis un article qui exprime un sentiment que je ressens, ça me fait du bien, donc voilà. Mes enfants sont retournés à la garderie. C’est juste ça.
Un mélange d’émotions m’envahit. J’ai été 14 mois à la maison avec mon plus jeune. Ma grande, qui déjà n’allait à la garderie que 3 jours par semaine (son désir à elle), nous a joints à temps plein pendant le confinement.
Même si être maman à temps plein est, selon moi, un travail parmi les plus épuisants physiquement et mentalement (je suis prof et je suis plus épuisée quand je suis maman à la maison qu’à l’école à temps plein, ce n’est pas peu dire), j’étais bien. Vraiment, vraiment bien. Je me sentais à ma place, avec mes enfants. Par moments, ça m’a fait remettre en question des grandes décisions de la vie.
Est-ce que je veux retourner au travail juste parce que c’est la chose « normale » et « commune » à faire?
Est-ce que je veux retourner au travail juste parce que je suis très féministe et que je veux, inconsciemment, être une femme qui accomplit et réussit tout?
J’ai réfléchi longuement, tout en restant dans l’indécision. Au bout du compte, plus la date de mon retour au travail approchait, plus une partie de moi était heureuse de retourner dans le monde de l’enseignement au secondaire. J’avais envie de retrouver mes collègues, mes élèves, mon environnement professionnel.
En même temps, je n’avais pas envie de laisser mes enfants toute la semaine à la garderie. J’aurais aimé retourner travailler 4 jours par semaine. Ce serait peut-être possible, d’ailleurs! Une petite voix en moi me disait que j’avais besoin du sentiment d’accomplissement professionnel que mon travail me procure. J’ai besoin d’avoir autre chose que mes enfants dans ma vie, même s’ils en sont évidemment une immense part (la plus grande).
Finalement, je suis retournée travailler avec l’esprit et le coeur en paix. Le fait que j’adore la garderie en milieu familial que mes enfants fréquentent aide beaucoup.
Or, les premières journées de la rentrée sont des pédagogiques. J’étais donc à mon bureau toute la journée et je pensais souvent à mon garçon qui vivait une adaptation à la garderie, un monde complètement nouveau pour lui. Lui et ma fille me manquaient. Les questions sont revenues. Je me demandais si j’étais à ma place.
Puis, les jours ont passé. Chaque jour que mon garçon passait à la garderie était mieux que le précédent. Les enfants étaient heureux à leur retour, le soir. Ça m’a beaucoup rassurée.
Enfin, j’ai rencontré mes nouveaux élèves. J’ai enseigné. Ma passion s’est enflammée, comme si elle s’était un peu dissipée quand j’étais en congé de maternité, seulement pour revenir en force à mon retour.
Maintenant, 2 semaines après la rentrée, je me sens sur mon x. Je profite de chaque moment passé en famille, mais aussi de mes beaux moments d’enseignement.
Je suis aussi heureuse d’avoir un travail avec un horaire family friendly qui me permet d’être à la maison quand mes enfants le sont.
Comment avez-vous vécu votre retour au travail après votre congé parental?
L’homme est un artiste tatoueur dans la vie. Depuis le début du confinement à la suite de la pandémie de coronavirus, l’Anglais exerce son art sur son propre corps.
Le résident de Londres porte des tatouages depuis l’âge de 18 ans. Son défi l’a maintenant recouvert de tatouages des pieds à la tête.
«J’ai commencé à me tatouer chaque jour pour créer une sorte de structure dans nos journées de confinement. C’est impressionnant de voir comment mon corps s’est modifié dans le processus. Je vais continuer jusqu’à ce que je n’ai plus de place», explique l’artiste à la BBC.
Chris Woodhead arborait déjà plus de 1000 tatouages avant le début du confinement. Après plus de 40 jours entre quatre murs, il lui reste moins d’espace de peau vierge.
«Réalistement, j’ai encore peut-être pour un mois d’espace de peau», souligne l’homme de 33 ans.
«Pour être honnête, j’ai l’air ridicule. Je ressemble à un morceau de fromage bleu. Il y a encore quelques petits espaces que je peux atteindre», conclut l’homme coloré.
Chris Woodhead dévoile son défi sur Instagram où il présente ses créations quotidiennes.
Au début de la COVID-19, j’étais inquiète, mais une part de moi aimait ce grand ralentissement. J’avais un peu de mal à l’avouer étant donné la gravité de la situation. Je saisissais tout le privilège qui me permettait d’avoir ce raisonnement : je suis jeune, en bonne santé et j’ai gardé mon travail (et je suis vraiment reconnaissante de cela, malgré tout le chialage qui va suivre).
Ma fille de deux ans était heureuse d’être confinée elle aussi. Elle aimait ça, être avec son papa ou sa maman toute la journée (nous sommes séparés). C’était un temps mort pour réfléchir à la vie. Même si n’ai jamais vraiment arrêté étant maman et directrice, je trouvais ça bon d’être plus souvent avec ma fille et d’arrêter de courir après les projets et les activités. Il y avait un vent de changement qui me plaisait bien. j’avais l’espoir d’un virage vers une décroissance programmée en faveur de la planète ou je ne sais quel rêve utopique.
Mais aujourd’hui, j’ai craqué. J’ai pleuré toute la journée. Je suis tout simplement à bout de souffle.
Je me rends compte que depuis que je fais du télétravail, je n’ai plus aucun horaire, plus vraiment de pause. Je n’ai jamais eu si peu de temps pour moi. Mes journées de télétravail quand je m’occupe de ma fille de trois ans n’ont aucun sens, c’est du non-stop de 6h30 jusqu’à minuit, parfois plus! En plus de toute cette charge mentale et physique, je me sens coupable de mettre ma fille au moins 3h par jour devant Netflix et Disney+, mais c’est ça ou je perds ma job.
Quand je n’ai pas ma fille, je rattrape toutes les heures manquées et ça peut aller jusqu’à travailler 13h par jour sans aucune pause, même pas pour manger.
Résultat, c’est pendant la COVID-19 que je suis au bord du burn-out. Quand je vois toutes les vidéos passer sur les films à regarder, les livres à lire, les conseils pour faire du yoga chez soi, j’ai le goût de brailler ben raide. Moi, je ne fais rien de tout ça, je suis en mode survie. J’ai l’impression de passer ma vie entre un lit, une cuisine (jamais autant fait la vaisselle), une ruelle et ce, toujours avec un ordinateur ou mon cell sur moi. Ma fille commence à trouver ça bien moins drôle de ne plus voir ces amis et elle souffre de mon manque d’attention quand je travaille. Je m’impatiente plus vite, elle me provoque encore plus et c’est un cercle infernal sans fin.
Donc ce soir, j’ai décidé de prendre 20 minutes de temps que je n’ai absolument pas, pour ventiler, pleurer un bon coup et, pourquoi pas, apporter un petit élan de solidarité aux nombreux parents qui se retrouvent dans ma situation! À vous, parents épuisés, j’ai envie de dire, vous n’êtes pas seul.es et guess what? OUI ça va bien aller.