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Les conflits conjugaux affectent les pères de famille

Lorsqu’il y a des tensions dans un couple de parents, la mauvaise énergie se transposerait souvent entre les adultes et leurs enfants.

Les pères qui ont des conflits avec leurs conjointes auraient d’ailleurs beaucoup plus de difficulté à laisser de côté leurs tracas que leurs femmes et cela aurait des conséquences sur leur relation avec leurs enfants.

C’est du moins ce que démontre une nouvelle étude américaine publiée dans le Journal of Family Psychology.

Lors de la recherche, 203 familles ont rempli un journal quotidien pendant 15 jours consécutifs. Il est ressorti que lorsqu’il y avait un conflit conjugal durant la journée, il n’était pas rare que l’enfant ait aussi noté un conflit avec ses parents et plus en particulier avec son père, indique Top Santé.

On pourrait croire le contraire, mais ce sont les femmes qui sont plus aptes à dissocier vie maritale et lien familial. Elles sont donc en mesure de maintenir, voire d’améliorer leur relation avec leur jeune.

Selon l’étude de la Southern Methodist University à Dallas, certains problèmes conjugaux iraient même jusqu’à créer des rapprochements mère-enfant.

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Les mamans se sentent souvent comme les « méchantes »

La majorité des mamans croient qu’elles sont associées à la discipline, aux règlements, aux ordres pour le rangement et les devoirs, alors que les papas sont plus liés à la récréation et l’amusement.

La question du « mauvais rôle » dans le couple tourmente tellement certaines femmes que six mères sur dix ont dit en avoir déjà parlé avec leur partenaire et que cela avait donné lieu à des conflits.

Ce sont 53 % des femmes qui ont dit se sentir comme une « police » à la maison, alors que les deux tiers des participantes au sondage admettent que les papas sont souvent accueillis comme des héros quand ils arrivent à la maison.

Par ailleurs, ils se retrouvent souvent avec des tâches amusantes, comme divertir, donner le bain ou faire une lecture aux enfants.

Il est important d’équilibrer la discipline et l’amusement entre les parents, encourage le co-auteur de l’étude Paul Thompson.

Le site Female First mentionne que des recherches antérieures ont prouvé qu’il suffit de 12 minutes de temps quotidien et régulier aux parents pour « reconnecter » avec leurs enfants.

Crédit photo : monkeybusinessimages/Bigstock.com

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Éduquer un enfant sans exploser de colère

Selon les chercheurs, les tout-petits peuvent avoir besoin d’être « corrigés » ou remis dans le droit chemin toutes les 6 à 9 minutes.

C’est normal, à un moment, d’être à bout et de crier après nos enfants. Surtout si l’on manque de sommeil, si on ne s’alimente pas bien, qu’on ne bouge pas, ou encore que notre vie sociale a perdu de sa dorure. Pour éviter de crier à tue-tête ou pire, de lever la main sur vos enfants, essayez ces trucs simples, suggérés par Psychology Today.

1- Tapez fort dans vos mains – Il se peut que ce geste fige momentanément la scène conflictuelle et vous permette de respirer plutôt que de vouloir faire du mal à votre enfant.

2- Retardez votre intervention – En comptant jusqu’à 10, en buvant un verre d’eau ou même en suçant un glaçon. Un temps d’arrêt qui peut vous aider à reprendre votre sang-froid.

3- Éloignez-vous du conflit – Si ce n’est toujours pas suffisant, retirez-vous de la pièce, sortez dehors, trouvez un endroit calme ou nettoyez la salle de bain, pourquoi pas? L’objectif, c’est de vider votre esprit. Il faut éviter de ruminer négativement pendant cet exercice.

4- Sortez de la maison – Surprenez votre ou vos enfants. Amenez-les immédiatement faire une marche ou sortez-les simplement dans la cour. Même un tour en voiture peut faire. Le changement brutal de contexte risque fort bien de vous redonner l’attention de vos enfants.

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Les personnes religieuses seraient plus heureuses

En cas de conflits ou de difficultés, les personnes religieuses arriveraient mieux à survivre et à continuer à être heureuses que les personnes athées.

C’est ce qui ressort d’une étude de l’University of Illinois parue dans le Journal of Personality and Social Psychology.

Les chercheurs ont analysé des données recueillies entre 2005 et 2009 auprès de personnes provenant de 150 pays. Elles parlaient de leur religion, du soutien affectif qu’elles avaient et de leur satisfaction de la vie.

Apparemment, la religion apporterait un soutien affectif en cas de besoin, et les croyants se sentiraient valorisés et auraient moins de sentiments négatifs.

Des données qui seront fortement questionnées par d’autres chercheurs. Mais nous le savons, la religion est l’un des thèmes qui peuvent soulever les passions et les confrontations.</pas de conflits ou de difficultés, les personnes religieuses arriveraient mieux à survivre et à continuer à être heureuses que les personnes athées.

C’est ce qui ressort d’une étude de l’University of Illinois parue dans le Journal of Personality and Social Psychology.

Les chercheurs ont analysé des données recueillies entre 2005 et 2009 auprès de personnes provenant de 150 pays. Elles parlaient de leur religion, du soutien affectif qu’elles avaient et de leur satisfaction de la vie.

Apparemment, la religion apporterait un soutien affectif en cas de besoin, et les croyants se sentiraient valorisés et auraient moins de sentiments négatifs.

Des données qui seront fortement questionnées par d’autres chercheurs. Mais nous le savons, la religion est l’un des thèmes qui peuvent soulever les passions et les confrontations.

Crédit photo : dan / FreeDigitalPhotos.net

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Les adolescentes de 14 ans sont les plus difficiles

Selon les résultats d’un sondage rapporté par le Daily Mail, la grande majorité des parents mentionnent que l’adolescence est le moment le plus difficile à maîtriser.
 
Alors que l’on dit que les garçons de 15 ans sont les plus difficiles, car ils traversent les problèmes de la puberté, se referment souvent sur eux-mêmes et ont des difficultés scolaires, ce ne serait rien comparativement aux jeunes filles de 14 ans.
 
Selon le sondage effectué auprès de 2 000 parents, les deux tiers disent que les filles de 14 ans sont les plus difficiles à maîtriser. Leur désir de grandir rapidement, les demandes pour avoir plus de liberté et l’expérimentation de l’alcool sont souvent des problèmes qui mettent en conflit les jeunes filles et leurs parents.
Selon les répondants, les filles auraient tendance à devenir des femmes durant la nuit de leur 14e anniversaire. Après cet âge, elles succombent plus facilement à la pression de leurs amies, se soucient énormément de leur poids, peuvent commencer à boire et défendent jalousement leur vie privée. Elles deviennent plus préoccupées par leur petit ami, le magasinage et des sorties entre copines que par leurs résultats scolaires. 
 
Neuf parents sur dix disent que les filles mûrissent plus rapidement que les garçons.
 
Les spécialistes mentionnent toutefois que l’adolescence n’est pas seulement difficile pour les parents, mais aussi pour les enfants eux-mêmes. Il y a beaucoup de changements hormonaux et bien souvent, ils sont désorientés et effrayés face à l’avenir.