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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Autisme : les parents font-ils confiance aux pédiatres?

C’est ce qu’ont avoué les pédiatres et parents ayant un enfant autiste interrogés dans le cadre de l’étude menée par la Dre Susan Levy, qui dirige le Centre régional de recherche sur l’autisme à l’Hôpital pour enfants de Philadelphie.

En matière de traitements, les parents seraient davantage portés à se fier à eux-mêmes et à se renseigner dans leur entourage pour trouver des spécialistes et des ressources communautaires, au lieu d’aller rencontrer un pédiatre. Un cheminement indépendant qui peut s’avérer stressant, complexe et déroutant, affirment les spécialistes en autisme.

Les parents ajoutent qu’il arrive fréquemment qu’ils se tournent vers un traitement alternatif pour aider leur jeune, mais qu’il est difficile de parler de ce choix avec les médecins. Ces derniers semblent souvent fermés à la médecine douce ou complémentaire.

Lors d’une récente réunion médicale à Toronto, des experts en autisme ont proposé qu’une formation spéciale soit offerte aux pédiatres pour qu’ils soient au moins aptes à diriger les petits patients aux bons endroits et aux bonnes ressources.

Les cliniques pédiatriques pourraient ainsi servir de « pôle central » où le pédiatre ferait la gestion de tous les aspects des soins de l’enfant, la réception des rapports, des consultations avec des spécialistes, et aiderait les parents à intégrer les traitements spécifiques selon le développement global de l’enfant.

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Jouer pour mieux apprendre à lire et écrire

S’adonner à des jeux qui développent les habiletés de langage, lors de séances de courte durée, mais intenses, serait l’une des clés de la réussite, selon le projet de recherche de l’Université de Göteborg en Suède.

En effet, parmi les 370 enfants qui ont participé à l’étude, ceux qui ont pratiqué des jeux de langage durant 25 minutes chaque jour pendant six semaines, répétant l’expérience pendant trois années consécutives, ont eu de meilleurs résultats à des tests, plus de facilité et de meilleures connaissances en matière d’écriture et de lecture, une fois à l’école.

Des recherches antérieures avaient déjà démontré que s’amuser à ce style de jeux dès l’âge de six ans pouvait être très bénéfique. Toutefois, la récente étude suédoise confirme que commencer à s’adonner aux jeux de langage dès quatre ans peut avoir un impact sur le développement précoce de la conscience linguistique et phonologique.

Par conscience phonologique et linguistique, les chercheurs définissent que les petits sont en mesure de s’initier, de manipuler et d’identifier la structure sonore de leur langue, puis de faire des liens entre les lettres et les sons, faire des rimes et des associations entre des mots à un âge précoce.

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Obésité infantile : il y a une lacune dans les connaissances parentales

Bien que 40 % des gens savent qu’une mauvaise alimentation peut affecter le poids d’une personne, nombreux sont ceux qui auraient besoin d’aide de la part de pédiatres ou d’autres spécialistes sur la manière d’appliquer leurs connaissances dans la vie quotidienne, expliquent les chercheurs du Centre médical pour enfants de l’Université Johns Hopkins en Floride.

L’obésité est un phénomène multifactoriel et complexe, avouent-ils.

Dans la revue Pediatrics, ils révèlent qu’il n’y a pas vraiment de différence entre les connaissances des parents d’enfants avec un indice de masse corporelle (IMC) normal et ceux en surpoids.

En effet, un facteur hautement négligé dans les deux groupes est qu’il n’y a que 7 % (groupe poids sain) et 8 % (groupe en surpoids) des parents qui croient que le manque d’activité physique influence le poids de leur jeune.

De récentes études ont révélé que les enfants d’âge préscolaire sont sédentaires 85 % du temps.

Les deux groupes ont cité que l’utilisation de la nourriture comme récompense pour une bonne conduite pouvait être un facteur de risque, ajoutant que demander à l’enfant de manger toute son assiette était le facteur le plus critique à l’embonpoint ou l’obésité.

Un tiers des 150 enfants d’âge préscolaire participant à l’étude dépassaient leur poids santé. La plupart provenaient de foyers urbains à faible revenu et étaient d’origine afro-américaine.

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Fablus Yoga : de l’exercice et des contes pour enfants

Apprivoiser son monde intérieur pour trouver la paix, le calme et la créativité, voilà ce que propose Nicole Lebel, professeure de hatha yoga, mère de trois enfants et créatrice de ces activités.

Pour ce faire, elle suggère d’unir les techniques de gymnastique douce, de méditation et de relaxation du yoga à celles du pouvoir imaginatif des contes.

Ces ateliers permettent aux jeunes de 5 à 12 ans de s’envoler dans leur imagination. Pendant la séance de yoga, ils retournent dans leur mémoire pour revivre chaque détail.

Améliorant la qualité du sommeil, la santé et la condition physique, cette méditation enfantine a pour autres avantages d’améliorer les relations avec autrui et la culture générale chez l’enfant du primaire.

Un conte-yoga a d’ailleurs été spécialement conçu par Mme Lebel pour ses ateliers. Il s’agit de Petit trésor sous les mers de Tahiti.

Outre les postures de méditation à pratiquer, on retrouve dans ce livre des jeux plaisants, une morale enrichissante et des informations sur d’autres pays.

Pour en savoir davantage sur Fablus Yoga et ses contes, cliquez ici.

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Les baby-boomers connaissent peu la maladie d’Alzheimer

La Société Alzheimer du Canada a effectué un sondage auprès de 1 000 personnes âgées de 45 à 65 ans, soit les baby-boomers. Les résultats démontrent que la maladie d’Alzheimer est encore très méconnue par ce groupe d’âge, même s’ils deviennent de plus en plus à risque de la développer en vieillissant.
 
23 % des baby-boomers ont été incapables de nommer un des signes précurseurs de la maladie et la moitié n’ont cité que les pertes de mémoire.
 
Outre les problèmes de mémoire, les sautes d’humeur et les difficultés à exécuter les tâches quotidiennes sont des signes à surveiller de près et à discuter avec son médecin.
 
Très peu de personnes savaient également que le diabète, l’obésité, les maladies cardiovasculaires et la dépression chronique augmentent les risques de développer cette maladie dégénérative qui affectent 500 000 Canadiens.
 
Avoir une bonne limentation, faire de l’exercice, maintenir un poids santé et avoir une pression artérielle et un taux de cholestérol adéquats peuvent aider à prévenir la maladie d’Alzheimer.
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Un enfant a besoin d’une interaction pour apprendre

Nous pouvons lire les résultats d’une récente recherche sur ce sujet dans l’édition de septembre de Developmental Psychology.

Des chercheurs de l’Université Queen, en Ontario, ont fait passer un test à des adultes et à des enfants, lesquels étaient âgés de quatre et sept ans.

Les participants se faisaient poser une question et avaient ensuite le choix, à l’écran d’un ordinateur, entre deux personnes; l’une donnait la bonne réponse, l’autre donnait la mauvaise.

Ensuite, on leur demandait de ne choisir qu’une seule personne pour donner la bonne réponse à une deuxième question.

Il en est ressorti que les adultes et les enfants de sept ans demandaient toujours à la personne ayant fourni la bonne réponse de la première question.

Les enfants de quatre ans, quant à eux, ont réagi à cette demande en fonction de la manière dont la question numéro deux était posée.

Il semble donc que les plus jeunes participants avaient besoin, en général, de plus d’un échange pour se tourner vers quelqu’un en particulier afin de recueillir de l’information.

Cette étude, qui comprenait trois expérimentations différentes, se concentrait sur l’influence d’une seule phrase quant à la façon dont les enfants recherchent de nouvelles connaissances.

Cela a finalement démontré que les enfants de sept ans font confiance aux personnes détenant de la nouvelle matière et qu’ils s’en souviennent, même s’ils n’ont interagi avec elles qu’une seule fois.