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Les voyageurs veulent Internet dans l’avion

Pouvoir accéder à internet même à bord d’un avion devient de plus en plus important pour les voyageurs, selon une étude l’institut américain Honeywell Aerospace.

Menée auprès de 1000 Américains qui ont pris un avion offrant une connexion wi-fi au cours des douze derniers mois, cette étude montre que le choix de la compagnie aérienne est de plus en plus déterminé par la possibilité pour les passagers d’obtenir un tel service.

Les deux tiers des sondés (66 %) reconnaissent que la présence du wi-fi influence le choix du transporteur. 22 % ont même déjà payé plus pour disposer du service et 17 % ont osé abandonner leur compagnie préférée au profit d’une autre autorisant de surfer sur le Web pendant le vol.

Outre le fait d’accéder au Web, les passagers sont exigeants et réclament une connexion de qualité permettant de télécharger des vidéos ou des fichiers rapidement et facilitant la communication avec leurs proches restés sur la terre ferme.

Certains même seraient prêts à des sacrifices pour obtenir un débit satisfaisant comme subir des contrôles deux fois plus longs (45 %) ou devoir arriver plus de trois heures avant l’embarquement (34 %).

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Nouvelles quotidiennes

Les voyageurs veulent rester connectés en vol

Pouvoir accéder à internet même à bord d’un avion devient de plus en plus important pour les voyageurs, selon une étude l’institut américain Honeywell Aerospace.

Menée auprès de 1000 Américains qui ont pris un avion offrant une connexion wi-fi au cours des douze derniers mois, cette étude montre que le choix de la compagnie aérienne est de plus en plus déterminé par la possibilité pour les passagers d’obtenir un tel service.

Les deux tiers des sondés (66 %) reconnaissent que la présence du wi-fi influence le choix du transporteur. 22 % ont même déjà payé plus pour disposer du service et 17 % ont osé abandonner leur compagnie préférée au profit d’une autre autorisant de surfer sur le Web pendant le vol.

Aujourd’hui, pouvoir naviguer sur la Toile devient quasi aussi important que de pouvoir acheter une boisson ou un en-cas pendant la traversée aérienne. 37 % seraient contrariés de ne pas disposer du wi-fi à bord, contre 34 % qui seraient dans le même état si on ne leur proposait pas des rafraîchissements ou des collations, même payants.

Outre le fait d’accéder au Web, les passagers sont exigeants et réclament une connexion de qualité permettant de télécharger des vidéos ou des fichiers rapidement et facilitant la communication avec leurs proches restés sur la terre ferme.

Certains même seraient prêts à des sacrifices pour obtenir un débit satisfaisant comme subir des contrôles deux fois plus longs (45 %) ou devoir arriver plus de trois heures avant l’embarquement (34 %).

Toutefois, s’ils souhaitent pouvoir surfer librement et rapidement, plus de la moitié des voyageurs (54 %) seraient gênés si leur voisin de bord découvrait ce qu’ils font en ligne, comme consulter un site de rencontres (50 %), regarder des vidéos amusantes de chats (32 %) ou même des films pour enfants (30 %).

Les compagnies aériennes sont de plus en plus nombreuses à proposer l’internet en vol, à l’instar d’Air France, de KLM, d’Emirates ou encore de Japan Airlines.

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Mode et accessoires

Les vêtements connectés, encore vus comme absurdes ou anecdotiques

Pour la 21e vague de ce baromètre sur les usages numériques des Français, dédié cette fois-ci aux vêtements connectés, l’institut Pollingvox a interrogé en ligne un échantillon de 997 personnes, représentatif de la population internaute française âgée de 18 ans et plus.

Baptisé « Sommes-nous prêts à voir nos corps connectés? », l’étude passe en revue différents objets et vêtements connectés existants, comme des montres, lunettes, vestes GPS et t-shirts permettant de mesurer l’activité physique d’une personne ou le niveau d’ensoleillement reçu par la peau chaque jour, et même des couches qui alertent les parents par tweet dès qu’il est nécessaire de changer bébé.

67 % des personnes interrogées indiquent n’avoir jamais entendu parler des vêtements connectés.

Lorsqu’on leur présente des exemples de vêtements de ce type, les avis ne sont pas tranchés sur un t-shirt permettant d’évaluer le rythme cardiaque : 49 % des sondés le jugent ainsi « utile » ou « intéressant », contre 50 % qui le trouvent « anecdotique » ou « absurde ».

Les avis sont plus négatifs concernant les couches pour bébé qui alertent les parents : 66 % les qualifient d’« anecdotiques » ou d’« absurdes ».

Pour 63 % des sondés, les vêtements connectés vont rester réservés à certaines personnes, comme les sportifs, et seuls 36 % pensant qu’ils vont se généraliser.

Leur apparition est plutôt vue comme « un risque, qui renforce le nombre de données disponibles sur chaque individu » (69 % des personnes interrogées) que comme « une chance » débouchant sur des « applications utiles ».

Questionnés plus spécifiquement sur les lunettes connectées, les sondés ne semblent pas intéressés par un tel achat (50 % « pas du tout », 28 % « non, pas vraiment »).

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À Ibiza, des bracelets connectés pour payer et ouvrir sa chambre

Deux hôtels d’Ibiza, l’île la plus festive des Baléares, se mettent à la technologie portative en remplaçant les clés de chambres par des bracelets connectés, qui peuvent aussi permettre de payer dans l’enceinte de l’établissement.

Au lieu de perdre du temps à chercher au fond de leur sac les clés de leur chambre de retour de soirée, les clients du Ushuaia Ibiza Beach Hotel et du Hard Rock Hotel Ibiza auront un bracelet au bras. Surnommé « VIB » – Very Important Bracelet – ce gadget leur permettra aussi de payer certaines dépenses grâce à un code PIN personnel.

Ces bracelets offrent aussi la possibilité de partager des photos sur Facebook et Twitter ou de quitter l’hôtel plus rapidement que lors d’un « check out » traditionnel.

La technologie portative embarquée comprend des systèmes de radiolocalisation et de radio-identification.

Ces hôtels, qui attirent surtout une clientèle jeune et avide de soirées sur la plage, vont aussi proposer une vingtaine de « totems » numériques, sur lesquels des écrans 42 pouces afficheront les photos publiées et partagées par les clients.

Le Hard Rock Hotel Ibiza ouvrira ses portes le 18 mai.

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Les hôtels et restaurants de plus en plus connectés

Le 25 novembre se tenait à Paris le Lab Equip’Hôtel, une journée consacrée à l’innovation et la prospective dans l’hôtellerie restauration, rendant compte des évolutions de ce secteur. Parmi les nouveaux produits présentés, la high-tech était en bonne place, traduisant la tendance des hôteliers à proposer de nouveaux outils pour favoriser l’interactivité avec leurs clients.

Cette année a par exemple vu l’ouverture du premier hôtel Twitter, le Sol Wave House à Majorque aux Baléares, incitant ses hôtes à communiquer via le hashtag #Socialwave afin de faciliter les rencontres. À Sydney en Australie, l’hôtel 1888, inauguré en septembre, invite ses clients à photographier son décor soigné via leur téléphone ou des tablettes à disposition pour partager leurs clichés sur le réseau Instagram, les photos défilant sur un cadre numérique installé à l’accueil.

À Paris, le Best Western Premier Faubourg 88, ouvert en juillet dans le 10e arrondissement, est un hôtel design multiconnecté. L’entrée et la moquette des couloirs affichent des QR codes à flasher avec son téléphone pour accéder aux pages de l’établissement sur Tripadvisor, Foursquare, Twitter ou encore Facebook, où le client trouvera conseils de visites et de sorties.

Les outils innovent et vont plus loin dans l’interactivité, à l’image de ceux présentés lors de cette journée. L’application Fizzapps, à télécharger sur son téléphone ou fournie par l’hôtel sur une tablette à disposition, peut s’assimiler à un service de conciergerie numérique.

Adaptable selon les souhaits de l’hôtelier, le client peut y réserver une multitude de services, comme commander un repas, demander le nettoyage de sa chambre, retrouver des informations pratiques et touristiques. Disponible dans toutes les langues, c’est aussi pour l’hôtelier une manière de faciliter la communication avec la clientèle étrangère.

Les outils high-tech gagnent aussi la restauration. La société iDTouch vient de lancer l’iDTable, une table de restaurant interactive, testée par la brasserie La Fabrique à Toulouse.

Le client y retrouve sur un espace tactile la carte du restaurant qui peut être agrémentée de photos, passe commande et peut même régler son repas grâce à des cartes prépayées. Des jeux peuvent aussi y être proposés, un moyen d’occuper les enfants par exemple, tout comme un système de notation et de commentaires permettant au client de donner sa satisfaction.