Catégories
Uncategorized

La moindre dose d’antidépresseurs crée des modifications cérébrales

Le cerveau serait affecté dès les premières heures suivant la prise de médication contre les symptômes dépressifs, rapporte Science World Report.

Des chercheurs allemands du Max Planck Institute for Human Cognitive and Brain Sciences ont effectué des tests auprès de 22 participants en santé. Aucun d’entre eux n’avait déjà reçu un traitement contre la dépression.

On a administré une dose d’inhibiteur du recaptage de la sérotonine (Lexapro), un antidépresseur couramment prescrit, à certains d’entre eux, puis un placebo à d’autres. Et on a observé l’imagerie de leur cerveau.

Des changements au niveau des connexions cérébrales par rapport au premier scanneur avant médication étaient visibles 3 heures suivant la prise du médicament, lors de la seconde imagerie.

Le médicament a en effet réduit la connectivité intrinsèque de plusieurs régions du cerveau. Seuls le cervelet et le thalamus, au contraire, ont vu leurs connexions proliférer.

« Nous espérons qu’ultimement, notre travail permettra des traitements plus adaptés et personnalisés selon les besoins thérapeutiques individuels des patients souffrant de dépression », ont conclu les chercheurs.

Catégories
Uncategorized

Une nouvelle solution pour éliminer la dyslexie

Un enfant dyslexique peut avoir de sérieux troubles d’apprentissage. Dans le but de « guérir » ce trouble d’association des lettres et des sons, le psychologue Bart Boers, de l’Université catholique de Louvain, située en Belgique, apporte de nouvelles informations.

La science a toujours revendiqué que la dyslexie est le résultat d’informations mal stockées. Néanmoins, Boers rapporte, selon Top Santé, que ce serait en réalité la connectivité donnant accès à ces informations qui causerait le trouble dyslexique.

En d’autres termes, les connexions analysant la phonétique seraient inaccessibles. Les tests portés dans le cadre de la recherche ont analysé l’imagerie par résonnance magnétique du cerveau de 45 étudiants, dont 23 étaient dyslexiques.

Les résultats ont démontré que l’information phonétique était stockée de la même façon, tant par les participants atteints de dyslexie que les autres. Or, lorsqu’il s’agissait d’isoler les phonèmes (unités du son), les caractéristiques désordonnées de la dyslexie se manifestaient par l’incapacité de certaines zones du cerveau à traiter l’information.

Boers compte bien poursuivre sa recherche et prouver que l’on peut rétablir la connectivité des régions défectueuses du cerveau par stimulation électromagnétique.

S’il a raison, le traitement pourrait être prometteur pour aider les enfants qui ont des troubles d’apprentissage reliés à cette affection.

Catégories
Uncategorized

Les hommes et les femmes possèdent des cerveaux complémentaires

Une nouvelle étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie explique les différences notables et observables au niveau des cerveaux des hommes et des femmes, qui ne sont visiblement pas « branchés » de la même façon.

Alors que ce genre d’étude a généralement pour effet d’alimenter la guerre des sexes et de stimuler les railleries entre partenaires et membres des sexes opposés, celle-ci affirme que malgré leurs différences, les cerveaux masculins et féminins sont absolument complémentaires.

Il est donc intéressant de lire les conclusions de Ragini Verma, qui mène la recherche, expliquant que les hommes seraient véritablement moins doués pour effectuer plusieurs tâches simultanément, au contraire de la gent féminine. Les hommes seraient toutefois efficaces lorsqu’il s’agit d’effectuer une action directe, par exemple lors de la pratique de sports.

Après avoir observé des centaines de cerveaux masculins et féminins, Verma et son équipe concluent que les connexions cérébrales ne travaillent pas de la même façon en fonction du sexe de l’individu.

« Ces cartes de la connectivité cérébrale montrent des différences frappantes et aussi complémentaires dans l’architecture du cerveau humain. Elles aident à fournir une base neuronale potentielle expliquant pourquoi les hommes excellent dans certaines tâches et les femmes dans d’autres », écrivent-ils.

Des différences qui prennent tout leur sens lorsqu’on constate que ces deux « types de cerveaux » sont parfaitement complémentaires, et donc destinés à travailler en équipe!

Catégories
Uncategorized

Le cerveau d’Einstein partiellement démystifié

Une tentative de la part de deux chercheurs qui cherchaient à mieux comprendre le cerveau et l’intelligence ahurissante d’Albert Einstein aurait porté certains fruits, selon ce que rapporte Top Santé.

Weiwei Men, un chercheur chinois, et Dean Falk, de l’Université de la Floride, ont uni leurs forces pour tenter de percer le mystère. Ils révèlent leurs conclusions dans la plus récente édition du magazine Brain.

Les deux chercheurs prétendent qu’une partie du secret d’Albert Einstein réside dans le système qui relie les deux hémisphères du cerveau l’un à l’autre, particulièrement efficace dans le cas du père de la théorie de la relativité.

En parvenant à créer des photos haute résolution du cerveau d’Einstein et en les comparant à celles de sujets jugés pertinents à l’étude, par exemple des jeunes adultes de 26 ans (âge prolifique d’Albert Einstein), Men et Falk affirment que les connexions qui relient les deux hémisphères du cerveau sont plus sophistiquées ou nombreuses chez Albert Einstein.

« Cette étude, plus que toutes celles qui ont été réalisées jusqu’à aujourd’hui, est la seule qui a véritablement exploré l’intérieur du cerveau d’Einstein », s’enorgueillit Dean Falk, avec raison.

Cela dit, malgré la volonté féroce des scientifiques à vouloir démontrer ce qui a fait d’Einstein un personnage historique éternel, parions que nul ne pourra jamais réduire la personnalité et le charisme unique d’Einstein, ainsi que tout ce qui faisait de lui ce qu’il a été, à une équation mathématique.

Catégories
Uncategorized

Percée étonnante dans le traitement des troubles alimentaires

Plusieurs troubles alimentaires pourraient être mieux traités dans un avenir rapproché, si les récentes découvertes d’un groupe de chercheurs de l’Université d’East Anglia s’avéraient fondées.

Selon Nutrition News, ces spécialistes auraient réussi à cerner le processus qui régit le contrôle de l’appétit, en plus de déterminer que notre relation avec notre estomac serait tracée dès la naissance.

Certaines personnes seraient appelées à manger plus que d’autres « naturellement », la différence s’établissant dès la formation du cerveau chez le bambin.

Toutefois, les chercheurs en tête de ces recherches croient qu’il est possible de « recâbler » le cerveau d’une telle façon que l’on permettrait à ces gens de retrouver des sentiments de faim et un appétit dans la moyenne.

Exit alors les problèmes d’obésité, et on croit même que ce procédé permettrait des percées intéressantes dans le traitement d’autres troubles de la santé, comme l’anorexie.

Dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience, les chercheurs font état d’un groupe de cellules souches qui permettraient la régénération des neurones capables de réguler efficacement l’appétit, une découverte fascinante!

Catégories
Uncategorized

Autisme : une nouvelle découverte qui étonne

Des chercheurs affirment être très surpris des conclusions tirées de leur propre étude concernant l’autisme et ses effets sur la connexion de certains circuits cérébraux, dévoile The National Library of Medicine.

En effet, les chercheurs du Massachusetts tentaient de confirmer certaines théories voulant que la connectivité entre certaines parties du cerveau soit moins efficace chez les autistes que les autres, mais qu’elles agissaient tout de même en synchronisme. Plus encore, on croyait que ce que l’on appelle la « connectivité fonctionnelle » pouvait être plus active chez les autistes.

Or, on apprend que non seulement les parties du cerveau en cause ne sont pas en symbiose, mais aussi que la connectivité fonctionnelle fractionne chaque action de façon indépendante.

Les chercheurs tentent d’expliquer la signification de ces conclusions en y allant d’une métaphore musicale.

« Imaginez le cerveau comme un orchestre. Quand les violons sont coordonnés avec les instruments à vent, l’orchestre joue en harmonie. C’est un exemple de connectivité. La connectivité locale, c’est comme de se concentrer sur les violons alors qu’ils jouent tous ensemble. On croyait que, chez les autistes, “l’orchestre” n’était pas bien coordonné entre les sections, mais que les instruments similaires jouaient ensemble. Mais on se rend compte que chaque instrument joue indépendamment des autres. »

Cette découverte permettra une meilleure analyse du phénomène et aide à comprendre ce que peuvent traverser les gens aux prises avec l’autisme.

Catégories
Uncategorized

La méditation améliore les connexions au cerveau

Des chercheurs américains ont constaté que la méditation augmentait les connexions entre différentes parties du cerveau.
 
Ils ont comparé l’activité cérébrale de personnes adeptes de la méditation et d’autres qui n’en faisaient pas.
 
La différence notée est au niveau de la matière blanche du cerveau. Selon Neuroimage, celle-ci est composée de faisceaux qui font la connexion entre les parties du cerveau et envoient les signaux nerveux.
 
Chez les personnes qui sont des adeptes de la méditation, il y a plus de faisceaux dans la matière blanche et en plus, ils sont plus denses. Cela réduit l’atrophie cérébrale, notamment liée à la maladie d’Alzheimer, ainsi que le déclin normal lié à l’âge, qui est beaucoup moins important.
 
On croit que la méditation renforce le système immunitaire, ce qui aide à conserver la matière blanche, ou encore que les personnes qui méditent ont un cerveau différent composé de plus de connexions.
 
Catégories
Nouvelles quotidiennes

Le TGV français met à l’essai un nouveau service de connexion web

La Société nationale des chemins de fer français (SNCF) vient d’annoncer qu’une série de trains à haute vitesse, le TGV, teste une nouvelle connexion Internet, elle aussi à haute vitesse.

Baptisé BOX TGV, ce nouveau service permettra aux usagers qui voudront bien débourser le tarif demandé d’obtenir une connexion rapide lors de leurs déplacements à bord du TGV.

La connexion Wi-Fi, qui ne nécessite pas de clé 3G pour s’y relier, offre pour l’instant 3 plans, soit 1 heure pour 4,99 € (environ 6,75 $ CAN), tout le trajet pour 9,99 € (environ 13,25 $ CAN) ou encore une Kidbox destinée aux plus jeunes pour 4,99 € (environ 6,75 $ CAN).

En plus, l’instauration de ce service permet au voyageur de louer un film au coût de 4,99 € (environ 6,75 $ CAN) ou même un cours de cuisine ou de langue pour 2,99 € (environ 4 $ CAN).

À la suite de ce test, qui devrait durer quelques mois, la SNCF verra si elle étend ce service à l’ensemble des lignes de son réseau.

Catégories
Uncategorized

La grossesse est plus longue chez l’humain à cause du placenta

Des chercheurs des universités de Reading et de Durham, en Angleterre, ont pu démontrer que le placenta est la cause première de la durée de la gestation chez l’humain.

Selon l’American Naturalist, plus le fœtus et la mère sont reliés par des tissus, plus la grossesse est courte. Le placenta humain ne permet pas la connexion remarquée chez d’autres mammifères.

C’est pour cette raison que chez certains animaux, les fœtus se développent deux fois plus rapidement que nous. L’interconnexion des tissus permet un plus grand échange de nutriments.

La structure du placenta de la femme ne forme pas la connexion complexe que l’on peut observer chez le chien ou le léopard, par exemple.

Le développement du bébé n’est donc pas nécessairement dû à l’échange de sang entre la mère et le fœtus, mais bien plus à la manière dont sont interreliés leurs tissus.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

L’Internet haute vitesse maintenant au pied de l’Everest

Des milliers de personnes visitent le Népal et la base du mont Everest chaque année, plongeant dans une région sauvage dépourvue de moyens de communication décents.

Ça, c’était avant hier (28 octobre 2010), alors qu’une compagnie de télécommunication privée a inauguré le tout premier réseau 3G haute vitesse en effectuant un appel, vidéo de surcroit, à plus de 17 000 pieds d’altitude, à l’endroit même où des centaines d’alpinistes commencent leur ascension de l’Everest.

Heureusement, le réseau 3G ne détruit pas le mythique paysage de la chaîne himalayenne, mais ses ondes invisibles changeront à coup sûr le paysage des télécommunications dans ce pays considéré comme le plus pauvre du sud de l’Asie.

Les touristes effectuant un trekking au Népal pourront désormais rester en contact quotidiennement avec leurs proches.

La compagnie Ncell, qui est responsable de ce déploiement, promet un investissement de 100 millions de dollars dans le reste du pays d’ici l’an prochain, permettant à environ 90 % de la population d’accéder au Web.